Comment devenir astronome au Canada ?

Devenir astronome au Canada ?

Devenir astronome au Canada, c’est un sacré défi! J’ai un ami, Marc, qui a fait ça. Licence en physique, à l’Université de Montréal, il y a quelques années, ça lui a coûté une fortune, plus de 20 000$ par année, je crois.

Ensuite, une maîtrise, pour aller plus loin. Lui, il s’est spécialisé en astrophysique. C’est super exigeant.

Des connaissances en chimie et bio, c’est un plus, paraît-il. Marc m’a raconté qu’il a utilisé ça en recherche sur les exoplanètes, en juin 2022. C’était pour analyser des atmosphères, je crois.

Pour trouver du boulot, c’est pas facile. Observatoires, planétariums… la compétition est féroce. Un M.Sc. est vraiment indispensable.

Informations courtes, concises et non personnalisées :

• Formation minimale: Licence (B.Sc.) en astronomie, astrophysique ou physique.
• Formation recommandée: Maîtrise (M.Sc.).
• Compétences utiles: Chimie et biologie.
• Emplois possibles: Observatoires, planétariums, centres scientifiques.
• Difficulté: Compétition importante pour les emplois.

Comment devenir astronome au Québec ?

Astronome au Québec? Ah, la voie lactée québécoise! Ambitieuse, dis donc! On ne devient pas astronome comme on attrape un caribou.

• Doctorat? Ouais, c’est le minimum. On ne parle pas d’une petite crêpe au sirop d’érable, hein? C’est une montagne de connaissances, ça! Genre, vous savez calculer la distance entre deux galaxies en faisant des équations avec vos larmes de frustration ?

• Spécialisation? L’astrophysique, c’est cool, mais la radioastronomie, c’est comme écouter les chuchotements de l’univers. Moins glamour, peut-être, mais tellement plus mystérieux. J’ai un ami qui travaille là-dessus. Il est un peu bizarre, mais brillant. Comme un hamster savant, quoi.

• Maîtrise? Bon, si vous êtes un génie surdoué, peut-être que vous pourrez vous faufiler. Mais préparez-vous à faire votre preuve. Pensez compétition olympique, mais avec des équations différentielles.

Bref, préparez-vous à une vie de sacrifices. Au revoir, soirées tranquilles devant Netflix. Bonjour, nuits blanches à scruter le ciel! Mon voisin, un ancien étudiant en astrophysique, a maintenant un chat. Il dit que c’est moins stressant.

Petit conseil perso: Apprenez à coder. L’astronomie, c’est beaucoup de données. Sortez de votre bulle. Allez boire des bières avec des ingénieurs. Ils sont bizarres aussi, mais utiles.

En gros: Doctorat en astrophysique ou domaine connexe. Préparation mentale au sacrifice ultime: délaisser les soirées pizza. Et beaucoup, beaucoup de café. Ah oui, et un bon réseautage.

(Informations supplémentaires, non demandées mais offertes par ma grande générosité): L’Université de Montréal et l’Université Laval sont vos meilleurs amis dans cette quête cosmique. Préparez-vous à des études très pointues, avec des concours d’entrée difficiles. Vous devrez probablement effectuer un stage à l’extérieur du Québec, ou même à l’étranger. L’année dernière, j’ai vu une offre d’emploi pour un poste d’astronome au Mont-Mégantic. Je ne sais pas si elle est encore disponible. Bonne chance! (Mais vous en aurez besoin).

Quel salaire pour un astronome ?

Astronome : Rémunération 2023

3500€ net mensuel. Moyenne.

Disparités:

• Femmes : -10%
• Hommes : 4000€ net mensuel (estimation).

Note personnelle: Mon ami, astrophysicien au CNRS, touche plus. Expérience significative. Paris.

Autres facteurs:

• Secteur public/privé.
• Expérience.
• Spécialisation.
• Lieu de travail (Paris > Province).
• Publications.

Mon salaire personnel: confidentiel.

#Astronomie #Canada #Métier