Comment corriger un enfant distrait ?

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Aider un enfant distrait :

Favorisez la concentration de votre enfant grâce à des jeux sensoriels. La pâte à modeler, les balles antistress ou les peluches lestées sont d'excellents supports pour l'apaiser et améliorer son attention. Ces objets stimulent ses sens et l'aident à se recentrer.

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Comment aider un enfant distrait à se concentrer ?

Comment aider un enfant distrait à se concentrer ? Oh là là, vaste question, n’est-ce pas? Je me souviens de mon neveu, c’était une vraie pile électrique.

L’aider avec des trucs sensoriels, oui, ça marchait pas mal.

Pâte à modeler, balles anti-stress… ouais, le genre de bidules qui permettent de tripoter sans faire de bêtises. Ca les apaise, paraît-il, et les aide à se concentrer. J’avais acheté une balle anti-stress pour mon neveu au magasin Action à Nice en 2022, à 2,50€, et ça l’aidait pas mal pendant ses devoirs.

C’est vrai que ces petits objets peuvent faire des miracles, un peu comme un doudou pour les plus grands.

Comment calmer un enfant très actif ?

Pfiou, calmer un enfant hyperactif… facile à dire, hein? Dr Stéphanie Bioulac et Dr Nathalie Franc, elles ont peut-être la solution miracle, moi j’en suis loin…

  • Cadre calme: Euh, calme comment? Ma maison, c’est un zoo!

  • Emploi du temps adapté: Genre, plus de sport? Moins de télé? Plus de câlins avec Maman?

    • Je dois dire, ma fille adore les calins.
  • Règles claires: Ça, c’est le truc que je répète en boucle. Mais bon, ça rentre par une oreille et ça ressort direct…

    • Ne pas taper
    • Ne pas crier
    • Ranger ses jouets
  • Récompenser > Punir: Ah oui, la carotte, pas le bâton. Sauf que parfois, le bâton… bon, faut pas. Suis-je un mauvais parent ? J’espère que non.

Récompenser… mais quoi? Des autocollants? Des sorties au parc? J’ai tellement la flemme parfois…

Et si le problème, c’était moi?

Comment aider un enfant qui est facilement distrait ?

Alors, ton gamin papillonne ? On dirait qu’il a besoin d’une petite cure de concentration, façon moine bouddhiste, mais en plus fun (si, si, c’est possible!).

  • Réduire le brouhaha : Fais le vide autour de lui. Imagine ton salon comme un spot publicitaire minimaliste suédois, mais en moins froid (et avec des Legos cachés sous le canapé, soyons honnêtes).

  • Mission : Extinction des écrans : C’est l’apocalypse de la tablette! Les écrans, c’est comme des bonbons pour l’attention, ça donne un pic de sucre suivi d’une chute brutale. Donc, éteins tout avant qu’il ne devienne accro comme ma tante Huguette à “Amour, Gloire et Beauté”.

  • Une chose à la fois, Sherlock ! Ne lui balance pas un roman à lire quand il doit lacer ses chaussures. Une consigne à la fois, c’est comme déguster un bon vin, ça se savoure.

  • Parler comme un GPS : Lentement et clairement. Pas besoin de crier, juste articule. Imagine que tu lui expliques les règles du Monopoly, mais sans le risque de divorce à la clé.

Ah, et au fait, j’ai retrouvé mes vieilles cartes Pokémon dans le grenier de ma grand-mère. Qui sait, ça pourrait l’aider à se concentrer (ou pas, mais au moins ça me débarrasse!).

Informations complémentaires (façon clin d’œil) :

  • Si rien ne marche, inscris-le à un cours de claquettes. Ça défoule et ça demande une concentration de dingue pour ne pas se casser la figure.
  • Offre-lui un poisson rouge. Les poissons sont hypnotisants, parait-il. Et au moins, il ne risque pas de le noyer avec ses histoires de dinosaures.
  • Et surtout, respire. Parce que gérer un enfant distrait, c’est un marathon, pas un sprint. Et un bon verre de vin aide aussi… (chut!)

Pourquoi un enfant est-il toujours distrait ?

Tiens, ça me rappelle Léa… toujours ailleurs, la gamine. On était en CM1, je crois, à l’école Jules Ferry. Moi, je la voyais gribouiller des chats sur son cahier pendant que la maîtresse parlait de je ne sais plus quoi, des Gaulois sûrement.

C’est vrai que parfois, on dirait qu’ils sont sur une autre planète. Mais pourquoi?

  • Le cerveau qui turbine trop vite, peut-être. Trop d’idées qui se bousculent!
  • La tête ailleurs parce que y a un truc qui les tracasse.
  • Fatigue, tout simplement. Un gamin crevé, il décroche forcément.
  • Ou alors, c’est ennuyeux à mourir! Faut pas chercher plus loin parfois.

Une fois, j’ai surpris ma nièce, Zoé (elle a 8 ans), en train de dessiner des licornes pendant une visioconférence de sa prof. Je lui ai demandé après, elle m’a dit que le sujet, “les chaînes alimentaires”, c’était “archi nul”. Tellement nul qu’elle préférait imaginer un monde avec des licornes herbivores. Logique, non? La prochaine fois, essayons d’être plus créatif!

Comment aider un enfant qui a du mal à se concentrer ?

Aider un gamin à se concentrer, c’est un peu comme dresser un chat… avec moins de griffures, normalement.

  • L’appât : Proposez des trucs qu’il kiffe. Le mec qui a inventé les devoirs n’a visiblement jamais eu 10 ans.

  • Le coup de pouce : Démarrer l’activité avec lui. Un peu de compagnie au début, ça évite qu’il parte chasser des Pokémons imaginaires.

  • La zen attitude : Un environnement calme, rangé. Si sa chambre ressemble à Beyrouth après un bombardement, forcément, la concentration…

  • Le “one shot” : Une seule consigne à la fois. Évitez de le bombarder d’infos, il va juste buguer.

  • Les jeux de l’esprit : Observation, mémoire, réflexion. Des activités pour faire chauffer les neurones, pas les griller. Genre “Où est Charlie?” en plus cérébral.

  • Le repos du guerrier : Sommeil suffisant. Un gamin fatigué, c’est un gamin qui se concentre comme un poisson rouge.

Et si malgré tout, il est toujours aussi dissipé, offrez-lui un concert de jazz. Soit ça marche, soit vous avez un super souvenir.

Quels sont les outils pour aider un enfant à se concentrer ?

Le silence, lourd, épais comme la brume matinale sur la Seine. Mon fils, un petit oiseau nerveux, incapable de s’immobiliser. Il faut l’aider, le ramener à terre, à son souffle.

  • Un ballon, un ballon rebondissant, une promesse de mouvement contenu. Le ballon de yoga, il le remplace, il le berce.

  • Les balles, petites balles de tennis, sous les pieds. Un petit tremblement, une vibration qui monte, qui s’échappe. Le rythme, la texture.

  • L’élastique. Une tension, un fil rouge invisible entre ses pieds et la chaise. Une danse secrète, un rythme discret. Le mouvement contenu, la libération.

Un espace, un moment suspendu. Le parfum de la craie, le murmure des pages tournées. Je me souviens, des jours plus doux, lui, apaisé, dessinant des soleils. L’automne, les feuilles mortes sous mes fenêtres. Les souvenirs remontent, brumeux, doux et amers.

Ce qui compte, c’est l’instant, l’équilibre fragile.

  • Musique douce, le souffle. (2023: J’ai testé la musique classique, ça fonctionne plutôt bien pour lui. Pas trop fort, bien sûr).
  • La pause, l’arrêt. (Je lui fais faire des pauses de 5 min toutes les 30 minutes de travail).
  • Le dessin, les jeux calmes. (2023: On a testé des jeux de société, et il a vraiment apprécié. Les jeux de stratégie simples le fascinent).

L’enfant, cet être fragile, si sensible aux vibrations du monde. Il faut être patient, écouter le silence entre les mots, ressentir le tremblement de ses mains. Il faut comprendre. Il faut aimer. Ce besoin de mouvement, cette énergie qui refuse la cage. Un petit soleil, parfois voilé par les nuages.

Quelles sont les techniques pour aider un enfant à se concentrer ?

Aider un enfant à se concentrer, vaste programme! On dirait qu’il faut presque devenir un maître zen. Voici quelques pistes, glanées ici et là, à tester sans se prendre trop au sérieux:

  • Activités plaisantes: L’ennui est l’ennemi. Si l’enfant aime, il y a déjà un combat de gagné.

  • Débuter ensemble: Un coup de pouce initial, une présence rassurante. Comme lorsqu’on pousse un vélo pour la première fois.

  • Calme et ordre: Un environnement serein, visuellement peu stimulant. Moins de bazar, plus de clarté. Une sorte de désencombrement mental.

  • Instructions claires: Une seule chose à la fois. Diviser pour mieux régner, même dans l’esprit d’un enfant. Pas de surcharge d’informations.

  • Stimuler la réflexion: Jeux d’observation, mémorisation, énigmes. Bref, solliciter les neurones de manière ludique. Un peu comme jouer à cache-cache avec sa matière grise.

  • Sommeil suffisant: Un repos réparateur. La base. Un enfant fatigué est un enfant distrait.

D’ailleurs, en parlant de concentration, il me revient une anecdote. Ma cousine Sophie, quand elle était petite, ne pouvait se concentrer que si elle avait un caillou particulier dans sa poche. Un caillou porte-bonheur en quelque sorte. Drôle d’obsession. Mais ça marchait !

Et puis, une petite réflexion philosophique pour la route: la concentration, n’est-ce pas finalement une forme de méditation active? Se plonger pleinement dans l’instant présent, que ce soit en dessinant, en construisant une tour de Lego ou en résolvant un problème de maths.

Informations additionnelles pour approfondir :

  • L’alimentation : Certains aliments peuvent influencer la concentration. Les sucres rapides, par exemple, entraînent souvent des pics d’énergie suivis de baisses brutales. Privilégier une alimentation équilibrée, riche en fruits, légumes et céréales complètes.
  • L’activité physique : Bouger favorise l’oxygénation du cerveau. Une simple promenade dans la nature peut faire des merveilles.
  • Les écrans : Limiter le temps passé devant les écrans. La surexposition aux écrans peut perturber l’attention et le sommeil.

Et pour finir, n’oublions pas la patience et la bienveillance. Chaque enfant est unique et se développe à son propre rythme. L’important est de créer un environnement propice à l’épanouissement, sans pression excessive.

#Attention #Calme #Routine