Comment calculer le niveau de salinité ?

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Calculer la salinité est simple : multipliez la quantité de sodium (en grammes) par 2,54. Le résultat vous donne la teneur en sel, également en grammes. Ainsi, 1 gramme de sodium équivaut à 2,54 grammes de sel. Pour les valeurs en milligrammes, convertissez d'abord en grammes avant d'appliquer la formule.

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Question ?

Ah, le sodium et le sel, toute une histoire. C’est vrai que souvent on voit les deux, et c’est pas toujours clair.

En gros, oui, la formule que tu donnes est correcte : Sodium (g) × 2,54 = Sel (g). C’est le coefficient de conversion pour passer du poids du sodium au poids du sel (chlorure de sodium, NaCl).

Me souviens d’avoir galéré une fois à calculer ça pour une recette. Je voulais réduire le sel, mais les infos nutritionnelles étaient en sodium. Un vrai casse-tête !

J’avais trouvé des infos sur un site de nutrition, genre le 15/03/2023 (j’étais à Lyon). Ils expliquaient bien le truc.

Donc, si t’as 1 gramme de sodium, ça correspond à 2,54 grammes de sel. Easy.

Et pour ton exemple, 1000mg de sodium (donc 1 gramme), ça fait bien 2,54 grammes de sel. Voilà, tu sais tout.

Comment convertir la conductivité en salinité ?

C’est tard, hein? Et la conductivité… ça me rappelle le labo où j’ai bossé. Convertir ça en salinité… C’est jamais aussi simple qu’on le dit.

  • En gros, conductivité multipliée par un facteur. 0,5, c’est le chiffre qu’on balance souvent. Mais bon, faut voir le contexte.
  • Unité de la salinité : ppm ou g/L. Souvent, on s’en fout, mais faut quand même checker, parce que sinon… c’est la catastrophe.
  • C’est toujours une approximation en réalité. Ça depend de la température et de la composition de l’eau.
  • Parfois j’aimerais tellement pouvoir revenir en arrière. Je crois que j’aurais aimé être artiste.

Ce boulot au labo, je m’en souviens des nuits blanches, les erreurs qu’il ne fallait pas faire… Genre une fois, on a foiré le facteur de conversion, c’était l’angoisse. J’habitais à Villeurbanne à l’époque. C’était pas la joie tous les jours.

Comment mesurer la salinité par la conductivité ?

Ah, la salinité et la conductivité, un couple improbable ! C’est un peu comme demander à un sourd-muet de chanter l’opéra. On y arrive, mais c’est spécial.

  • La base : On prend une solution de KCl (32,4356 g/l, précisons !) et on dit : “Toi, tu vaux 35 unités de salinité”. C’est arbitraire, oui, mais c’est notre arbitraire. Un peu comme choisir le meilleur vin… toujours subjectif !

  • La conductivité, le détective : Elle détecte les ions, ces petites particules chargées. Plus y en a, plus ça conduit, et plus on “voit” la salinité. Un peu comme les ragots, plus ils circulent, plus on en entend parler.

  • Limites ? Détection à 2 et ça monte à 42. En-dessous, c’est le désert de Gobi ; au-dessus, la Mer Morte.

  • Unité ? Arbitraire, je te dis ! C’est comme mesurer l’amour en battements de cils. Mais bon, ça marche… plus ou moins.

Si ton eau salée se prend pour le lac rose à côté de chez moi à Montpellier, j’offre une dégustation de vin.

Comment convertir la conductivité en TDS ?

La conversion conductivité-TDS, un casse-tête somme toute assez simple, repose sur un facteur de conversion, variable selon la composition de l’eau. On utilise souvent 0,50 pour une eau “normale”, mais c’est une simplification. J’ai moi-même travaillé sur des eaux assez spécifiques, où ce facteur grimpait jusqu’à 0,75. Pfff… La complexité, c’est ça, non ?

Le facteur, compris entre 0,40 et 1,00, dépend de la nature des ions présents. Eau de mer ? Eau douce ? Eau riche en minéraux ? Chaque ion apporte sa petite contribution à la danse des conductivités et des TDS. C’est fascinant, n’est-ce pas?

On pourrait même se perdre dans des considérations plus philosophiques : la mesure, elle-même, une approximation. On mesure un phénomène, on le traduit en nombre… Est-ce réellement la réalité ou une construction de notre esprit ? Bref. Retour à nos moutons, ou plutôt, à notre eau !

  • Facteur TDS typiquement entre 0,5 et 0,7.
  • 0,5 est une valeur par défaut courante, mais attention.
  • La plage admissible est plus large : de 0,4 à 1,0.
  • La précision dépend fortement de la composition ionique de l’eau.

Mon expérience personnelle avec des eaux usées industrielles m’a appris à être prudent. On s’éloigne alors de cette belle simplification du 0,5… L’année dernière, par exemple, sur un projet dans la vallée du Rhône, j’ai dû utiliser un facteur de 0,65. Alors voilà, pas de formule magique.

Donc, pas de formule universelle. Chaque cas est un cas particulier. L’important, c’est la compréhension du système et de ses subtilités, et pas seulement la simple application d’une formule. Sinon, on risque de se tromper lourdement.

Comment trouver la concentration à partir de la conductivité ?

Trouver la concentration à partir de la conductivité ? Pff, comme trouver une aiguille dans une botte de foin… sauf que la botte de foin, c’est votre solution, et l’aiguille, c’est la concentration. Pas glamour, hein ?

Kohlrausch, mon vieux Kohlrausch, il avait une formule magique, σ = k × C. Simple comme bonjour, paraît-il. En vrai, c’est plus “simple comme une déclaration d’impôt”.

  • σ, c’est la conductivité. Mesurée avec un truc qui bippe, je crois.
  • k, la constante de conductivité molaire. Un mystère pour moi aussi. On la trouve dans des tables, paraît-il. Un peu comme les recettes de grand-mère… sauf que celles-ci, elles ont du goût.
  • C, la concentration… notre Graal.

Alors, la courbe d’étalonnage, c’est votre arme secrète. Genre, vous tracez la conductivité en fonction de concentrations connues. Un peu comme une carte au trésor, mais avec plus de chimie. On trouve C en cherchant la valeur de σ sur la courbe. Facile, hein ? (Note pour moi : expliquer ça à mon cousin, passionné de cuisine moléculaire, pour voir sa réaction.)

Ma méthode préférée ? Prières ardentes adressées à la sainte patronne de la chimie. (Non, je plaisante… enfin, presque.) Plus sérieusement, une bonne courbe d’étalonnage, avec des points bien espacés, et on y arrive.

En gros: σ donne C. Simple comme un coup de poing dans l’estomac. (Mais moins douloureux, j’espère.)

Année actuelle : Mes dernières expériences de chimie datent de 2023, au labo de mon ami Marc, spécialisé dans la synthèse de molécules pour le parfum. Odeur terriblement persistante, d’ailleurs…

#Calcul #Niveau #Salinité