Comment calculer la charge des électrons ?

Comment calculer… ou plutôt, comprendre la charge d’un électron ? Oh là là, ça me ramène à mes cours de physique, vous savez, ceux où j’essayais désespérément de comprendre pourquoi cette formule, aussi simple soit-elle, me semblait si… abstraite. On ne calcule pas vraiment la charge d’un électron, hein ? C’est comme demander comment on calcule la couleur du ciel, ça existe, c’est une donnée, un point de départ. C’est -e, environ -1,6 x 10^-19 Coulombs. J’ai toujours eu du mal avec ces puissances de dix, ça me donne l’impression de jongler avec des étoiles filantes !

Mais ce qui m’a toujours fascinée, c’est l’idée de la charge totale d’un atome. Z x e et Z x -e… c’est beau, non ? Cette parfaite symétrie, cette espèce d’accord secret entre les protons et les électrons. C’est comme dans cette histoire que ma grand-mère me racontait, celle du yin et du yang, toujours en équilibre, en opposition mais liés pour toujours.

Se souvenir qu’un atome est neutre, c’est presque magique, vous ne trouvez pas ? J’imagine les protons, tout positifs, ces petits soleils éclatants au cœur de l’atome, et autour, ces électrons, minuscules lunes négatives, dans une danse incessante, un ballet parfait, un équilibre presque fragile. Et puis, on arrive avec nos formules, nos calculs, on tente de quantifier cette harmonie, de réduire cette merveille à quelques chiffres… Mais est-ce qu’on y arrive vraiment ? On le quantifie, oui, mais on capture-t-on vraiment l’essence de cette beauté ? Je me pose souvent la question…

Enfin bref, Z x e, Z x -e… ça représente le nombre de protons et d’électrons, leur charge respective. Simplissime, en théorie. Mais il y a une sorte de poésie là-dedans, une élégance discrète que les équations ne peuvent pas vraiment exprimer. Et ça, c’est un truc que je n’oublierai jamais.