Quelle quantité de poisson manger par jour ?

Pourquoi ne faut-il pas manger trop de poisson ?

Je me souviens… c’était l’été dernier, à Arcachon. J’avais décidé de me faire une cure de fruits de mer. Huitres, palourdes, tout y passait. J’ai même mangé une dorade entière ! Un festin, quoi.

Et puis, patatras.

• Maux de tête terribles.
• Nausées constantes.
• Fatigue extrême.

J’ai cru que j’avais attrapé la grippe.

C’est mon médecin, le docteur Dubois, qui a fini par me dire : “Attention, le poisson, c’est bon, mais trop, c’est trop. Le mercure, les dioxines, tout ça se concentre dans les poissons gras”.

Il m’a expliqué qu’une consommation excessive pouvait avoir des effets à long terme :

• Problèmes neurologiques.
• Risque de cancers accrus.
• Troubles hormonaux.

Depuis, je fais beaucoup plus attention. Une sardine de temps en temps, oui, mais j’évite de me goinfrer comme un goinfre. Mon corps me remercie.

Ah, et j’ai appris que les femmes enceintes et les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables. Pour eux, c’est encore plus important de limiter la consommation.

C’est fou comme une simple envie de bien manger peut se transformer en cauchemar !

Quest-ce qui se passe quand on mange trop de poisson ?

Ah, le poisson… J’ai une histoire avec ça. C’était l’été dernier, à Saint-Malo, en Bretagne. Je me souviens, l’air marin, les mouettes. On était en vacances, quoi.

J’ai voulu me faire plaisir, une vraie orgie de fruits de mer. Moules, huîtres, crevettes, et un bar entier grillé. Un festin !

• Le soir même: Mal au ventre. Un truc qui couve.
• La nuit: Catastrophe ! Courbatures, fièvre, l’impression d’être un poisson hors de l’eau.
• Le lendemain: Plus envie de manger. Rien que l’odeur du poisson me retournait l’estomac.

J’ai pensé à une intoxication alimentaire, genre salmonelle, ou un truc du genre. J’ai mis ça sur le compte d’un poisson pas frais. Possible, hein, même si Saint-Malo, c’est censé être le top du top pour le poisson.

Le médecin a dit “gastro”. Classique.

Bon, plus sérieusement, manger trop de poisson, ça peut donner:

• Des troubles digestifs. Évidemment.
• Des risques d’infections, surtout avec des poissons mal conservés.
• Une accumulation de métaux lourds (mercure, plomb) si on en mange très régulièrement et en grande quantité. Surtout certains poissons comme le thon.

Bref, faut pas abuser, même si c’est bon pour la santé. Moi, depuis Saint-Malo, j’y vais mollo sur le poisson. J’ai un peu la nausée quand j’y pense. Surtout au bar entier grillé.

J’avais tellement envie de manger du poisson ce jour-là, je n’ai pas mangé de viande pendant toute la semaine.

Quelle fréquence pour le poisson ?

Deux à trois fois par semaine, c’est ce qu’on dit… Mais moi, des fois, j’oublie. La semaine dernière, j’ai mangé du poisson… une seule fois. Peut-être même pas. Je sais, c’est pas bien.

• Lundi, c’était pâtes.
• Mardi, pizza.
• Mercredi… ah, mercredi, je crois que j’ai pris un sandwich jambon-fromage.

Le poisson, ça me fait penser à ma grand-mère. Elle faisait un cabillaud à la sauce moutarde… un délice. J’aimerais réussir à faire pareil. Mais je suis nulle en cuisine. Plus jamais je n’arriverai à reproduire ça. C’est tellement compliqué.

Oméga-3, c’est important, hein ? Le médecin me l’a dit. Pour le cœur, le cerveau… J’essaierai de faire mieux. Promis.

Sauf que… j’ai tellement la flemme des poissonniers. Et puis, le prix du saumon… ça pique un peu. On a réduit le budget courses ce mois-ci. Alors voilà.

J’aime bien les sardines en boîte aussi. C’est moins cher, au moins. Mais c’est pas pareil. C’est moins… festif.

Deux fois par semaine, c’est l’objectif. On verra bien. Je me sens tellement fatiguée ce soir… j’arrête de penser à ça. Demain, je vais essayer de me faire un sandwich thon. Ou pas.

Problèmes: Budget serré, manque de motivation pour la cuisine, difficulté à trouver du poisson frais abordable.