Quel est le meilleur poisson pour la thyroïde ?

Quel est le meilleur poisson pour la thyroïde ? Ah, cette question… elle me hante, moi qui ai eu tant de soucis avec ma thyroïde ! On dirait que tout le monde a une opinion là-dessus, non ? Des tas de conseils, des régimes miracles… Bref, un vrai bordel.

Alors, moi, ce que j’ai appris, après des années de galère et de rendez-vous chez l’endocrino, c’est qu’il n’y a pas de miracle, mais plutôt une approche… intelligente, disons. On m’a toujours répété, et je le répète à mon tour, de privilégier les poissons gras. S’il y avait eu un petit manuel avec des images mignonnes, je l’aurais adoré, ça aurait été plus clair peut-être.

Saumon, thon, sardines… j’adore les sardines, au passage, à l’huile, sur une tranche de pain grillé… un délice ! Et puis il y a le maquereau aussi, moins mon truc, je l’avoue. Un peu fort au goût, surtout quand on a le palais un peu fatigué, comme moi ces derniers temps. Une à deux fois par semaine, on m’a dit… Facile à dire ! Parfois, la vie s’emmêle, et je me retrouve à manger des pâtes au pesto pendant trois jours d’affilée. C’est pas grave, je compense après, j’espère !

Le truc, c’est qu’ils sont bourrés de bonnes choses, ces poissons-là ! Des omégas 3, de la vitamine D… Je sais, des termes barbares, mais c’est important pour la thyroïde, paraît-il. J’ai même lu quelque part – je ne sais plus où, zut ! – qu’une étude a montré que ça pouvait aider à réguler tout ça, les hormones et tout le bazar. Mille milliards de choses, c’est fou !

Et puis, n’oublions pas les noix et les oléagineux ! Amandes, noix de cajou… J’en grignote souvent devant la télé. C’est moins glamour que le saumon, mais c’est bon pour le moral aussi ! C’est un peu comme une petite armée de mini-héros qui viennent aider ma pauvre thyroïde à faire son boulot. Parce que, soyons honnêtes, elle a un sacré boulot à faire, cette petite !

Donc voilà, mon expérience personnelle, avec ses hauts et ses bas, ses sardines adorées et ses maquereaux moins aimés. Pas de recette magique, mais une approche équilibrée, avec un peu de bon sens et beaucoup de patience. Et croyez-moi, la patience, quand on a une thyroïde capricieuse, c’est une vertu essentielle !