Quel aliment ne fixe pas le fer ?

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Aliments inhibant l'absorption du fer :

L'absorption du fer est réduite par certains aliments. Les produits laitiers (lait, fromage, yaourt) riches en calcium interfèrent avec son absorption. Les aliments riches en phytates (grains entiers, noix, graines, légumineuses) peuvent aussi l'inhiber. Préférez les consommer à distance des repas riches en fer.

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**Question ?**

Ouh là là, le fer et sa capricieuse absorption… Ça me rappelle une période où j’étais vraiment anémique, vers octobre 2021, à Lyon. J’avais des analyses sanguines catastrophiques. Mon médecin m’a vraiment mis sur le régime, pas facile.

Il m’a expliqué, avec des schémas, comment le calcium du yaourt que j’adorais ( bio, 1,80€ la petite barquette !) bloquait le fer. Du coup, j’ai dû espacer la consommation de laitages et de mes céréales complètes préférées – celles avec les graines de chia, que j’adore.

Les phytates, j’ai appris que c’était ça, les “vilains” dans les graines. J’ai dû revoir mes habitudes. Moins de pain complet au petit déjeuner, et plus de légumes verts, riche en vitamine C, apparemment ça aide l’absorption. Un vrai casse-tête !

On m’avait aussi dit de prendre de la vitamine C en complément, mais bon… Ça a été une sacrée période d’adaptation.

Informations courtes :

  • Question: Le calcium interfère-t-il avec l’absorption du fer ?

  • Réponse: Oui, le calcium du lait, fromage et yaourt peut réduire l’absorption du fer.

  • Question: Les phytates affectent-ils l’absorption du fer ?

  • Réponse: Oui, les phytates (dans les céréales complètes, noix, graines) diminuent l’absorption du fer.

Quel aliment empêche la fixation du fer ?

L’ombre du café, une amertume qui voile le fer… Le thé, son parfum entêtant, un rideau sur l’hémoglobine. Lait, blanc et doux, un mur entre moi et la force.

  • Le cacao, son velours, étouffe la flamme rouge du sang.
  • Coca, un goût acide qui corrode.
  • Vin rouge, sang de la terre, qui se mêle au mien, mais le prive de sa force.

Le fer, une quête incessante. Une faim sourde, un besoin profond. Ces boissons, ces ennemis discrets qui s’invitent à ma table. Ces moments partagés, contaminés.

Une absence, une perte… un manque à combler.

Un silence lourd, entre le verre et l’assiette. Les couleurs se brouillent, le goût se perd. Mon corps, une maison vide.

Une image floue. Mon reflet dans une tasse, décoloré.

L’été dernier, à Collioure, j’ai bu un café au bord de la mer. Le goût, puissant, a éclipsé tout le reste. Mon corps s’est senti vide.

  • Café, le goût de la plage et du désespoir.
  • Vin rouge, le goût de la fête et du vide intérieur.

L’équilibre fragile. Chaque gorgée, une hésitation. Un choix. Un sacrifice.

  • Note: Ma grand-mère, elle-même anémique, me parlait de ces boissons. Son souvenir, une douleur diffuse, une leçon.
  • Note: J’ai 27 ans. Ces informations sont basées sur mes expériences personnelles et les enseignements de ma famille.

Quest-ce qui empêche de fixer le fer ?

Le fer, cet élément rebelle. Son assimilation, un vrai casse-tête! Pourquoi? Plusieurs facteurs entrent en jeu, une véritable symphonie de perturbations.

  • Le calcium, un rival de taille. Présent en abondance dans le lait et les produits laitiers, il concurrence le fer pour l’absorption intestinale. Un peu comme une compétition pour les places assises au premier rang d’un concert.

  • Le café et le thé, des inhibiteurs discrets. Les composés polyphénoliques qu’ils contiennent, ennemi juré du fer. Ils bloquent son absorption. Mon expérience avec mon café du matin et ma cure de fer? Catastrophe! J’ai dû les espacé de quelques heures.

  • L’acide phytique, un adversaire sournois. Présent dans les céréales complètes, les légumineuses, les noix… une vraie plaie pour l’absorption. On dirait qu’il joue à cache-cache avec le fer, rendant son accès à l’organisme plus difficile.

Il ne faut pas supprimer ces aliments, évidemment! Le bon sens reste maître. Une simple séparation dans le temps suffit généralement. Question de timing, quoi! La sagesse populaire a raison sur ce coup-là, il s’agit d’une affaire de dosage et d’équilibre. Un peu comme la vie, en fait.

  • Note personnelle: Après des analyses sanguines montrant une carence, mon médecin m’a recommandé un complément en fer, à prendre loin de mon cappuccino matinal. C’est une guerre chimique entre deux mondes, disons!

En résumé :Calcium, polyphénols (café, thé) et acide phytique sont les principaux obstacles à l’assimilation du fer. L’espacement des prises de compléments et des aliments riches en ces composés est crucial pour une absorption optimale. Simple, non? Enfin, presque…

Quels sont les aliments à supprimer quand on a trop de fer ?

Ouais, le fer… C’est chiant, ça. J’ai dû réduire, vraiment. Le doc m’a filé un régime, un truc de dingue.

  • Vin rouge, ouais, j’ai arrêté. Dur au début, hein ?

  • Curry… J’adorais le poulet au curry de ma grand-mère. Plus possible.

  • Boudin noir ? Même pas en rêve. Je n’en mangeais pas souvent de toute façon, mais bon.

  • Abats… Foie, cœur… j’aimais bien le foie gras, mais là…

  • Coquillages… les moules, surtout, j’étais fan. Finie la marée.

  • Oeufs… Ah, les œufs au plat… Je dois me limiter.

  • Fruits secs… J’ai arrêté les noisettes, principalement.

C’est dur, hein ? J’ai l’impression que je manque de trucs, toute ma vie qui s’effrite.

On m’a aussi dit de faire gaffe aux céréales enrichies. Je crois que c’est parce qu’ils rajoutent du fer… Et au chocolat noir aussi, apparemment. Putain.

L’année dernière, j’avais arrêté le pain complet. Plus cette année. J’ai tellement envie de manger. Le soir, c’est pire.

J’ai 38 ans, et je me sens déjà vieux. Cette hyperferritinémie… c’est une plaie. J’aimerais retrouver le goût des choses, simplement.

J’ai aussi une copine, Sophie, elle a ça aussi. On s’est rencontrés chez le gastro. C’est bizarre, hein ? On se soutient. Elle a arrêté la mélasse il y a 6 mois. Elle me dit que c’est dur les premiers mois.

Quels sont les aliments qui bloquent labsorption du fer ?

Le fer… un souffle, une brume rouille.

  • Calcium, échos blancs, fantômes de lait.

  • Thé, feuilles séchées, souvenirs amers.

  • Café, noir abîme, réveil brutal.

  • Vitamine C, soleil timide, espoir fragile.

Le calcium, je me souviens du camembert chez ma grand-mère… une odeur forte, un goût salé. C’était l’hiver. Il neigeait toujours chez elle. Toujours.

Le thé, mon oncle en buvait des litres. Son visage ridé, ses mains tremblantes. Il parlait de guerres lointaines.

Boire le fer, une énigme. L’absorber… le laisser couler en soi.

  • Fibres, forêts sombres, chemins tortueux.
  • Phytates, graines cachées, secrets enfouis.
  • Polyphénols, tanins amers, larmes séchées.

Ma tante, elle cultivait un potager incroyable. Tomates rouges, salades vertes. Elle connaissait le nom de chaque plante. Chaque feuille.

Le fer, un sang oublié. Vitamine c… orange pressée. Le matin. Souvenirs confus. Le fer, un écho lointain. Les aliments… un labyrinthe.

Quel aliment manger pour faire baisser le taux de ferritine ?

La ferritine… un poids, un ombre.

  • Menthe poivrée. Fraîcheur glacée, souvenir d’un été. 84%. Elle évacue, nettoie.

  • Cacao. Amertume profonde, terre et mystère. 71%. Un réconfort sombre, un apaisement.

L’amertume… elle purifie, non ?

  • Verveine. Son parfum, un sourire léger. 59%. Douceur délicate, elle effleure.

  • Tilleul. Sa chaleur apaisante. 52%. Un nid douillet, protecteur.

  • Camomille. Soleil couchant, paix dorée. 47%. Un baiser avant le sommeil.

Ces saveurs, ces couleurs… elles absorbent, elles soulagent.

Mon corps… il se rappelle de ces instants, ces infusions, ces moments de calme. Le jardin, en été, l’odeur de la terre après la pluie.

La menthe, surtout, la menthe… son goût vif, une fraîcheur presque douloureuse, efficace.

J’ai une tasse en ce moment même. Devant moi. Menthe poivrée, bien sûr. 2023. Ces pourcentages, je les ai notés dans mon vieux carnet vert, celui aux pages cornées.

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