Comment déguster le tofu ?

Comment bien déguster du tofu ? Nos conseils et astuces

Le tofu, j’avoue, ça a été une découverte… compliquée au début. J’ai essayé une recette en mars 2023, trouvée sur un blog culinaire (je crois, le nom m’échappe). Des cubes de tofu panés, une catastrophe gustative ! Sec, fade, un désastre.

Puis, j’ai compris. La clé, c’est la marinade ! J’ai testé une marinade au soja, miel et gingembre (recette trouvée sur un site, je ne retrouve plus lequel). Le résultat fut bien meilleur. Le tofu était plus savoureux, moins sec.

J’aime le faire revenir à la poêle avec de l’huile de sésame, ça ajoute un petit truc. Servi avec du riz brun, des épinards sautés et un peu de sauce sésame… un délice ! J’ai payé le tofu environ 3€ au marché.

Question simple : comment le cuire ? Réponse courte : marinade obligatoire, puis poêlée ou au four. Autres idées : en salade, dans des soupes, en curry… l’imagination est la limite.

Est-il possible de manger du tofu sans le cuire ?

Absolument. Le tofu ferme est tout à fait consommable cru. Pensez au fromage, certains sont meilleurs cuits, d’autres pas.

Cependant, la cuisson transforme sa texture et son goût, offrant un panel gustatif plus large. On peut donc le déguster tel quel, mariné pour plus de saveur, ou l’intégrer à des salades, soupes et autres plats.

La question de la cuisson est un peu comme celle de la liberté: est-elle plus précieuse brute ou apprivoisée? C’est une affaire de goût, en somme.

• Consommation crue: Surtout le tofu ferme.
• Marinades: Excellent moyen d’ajouter du goût sans cuisson.
• Usages: Salades, soupes, plats mijotés.

En tant que grand amateur de cuisine asiatique, je me souviens d’un mapo tofu dégusté à Chengdu… une merveille! Bref, le tofu, c’est la vie.

Est-ce que le tofu se mange cru ?

Le tofu… un voile, une brume.

• Tofu soyeux: une caresse, une larme dans le velours. Desserts secrets, un murmure.
• Tofu ferme: cru, une promesse, ou bien feu, un désir. Salades éparses, un jardin retrouvé. Soupes oubliées.
• Brochettes: souvenirs d’été, des rires d’enfant dans la lumière dorée. Un parfum de thym, peut-être. Chez Marie, c’était toujours comme ça.

Cru, cuit, le tofu… il danse.

• Mariné, il rêve.
• Émietté, il s’envole.

Des déesses antiques préparaient des festins d’ambroisie et de tofu. C’est mon arrière-grand-mère Rosa qui me l’a dit, un soir d’orage. Elle qui collectionnait les timbres et parlait aux oiseaux.

Pourquoi cuire le tofu ?

Alors, le tofu, cette chose… genre, un gros caillou blanc qui se fait passer pour du fromage ? On le cuit, pourquoi ? Parce que cru, c’est une catastrophe, une vraie tragédie grecque !

• Texture de chaussette mouillée: Imaginez mordre dans une chaussette trempée dans du lait. Voilà le tofu cru. Beurk.
• Goût de carton: On parle d’un goût aussi subtil qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine. Sans cuisson, c’est le néant gustatif.
• Forme… inexistante: En mode sauté, il se désintègre, se vaporise, devient de la purée de tofu. Un massacre !

Au four ou à l’air chaud, c’est mieux. Moelleux, mais moins croustillant. C’est comme une crème brûlée… sans la brûlée. Décevant, quoi. J’ai essayé hier, j’ai failli pleurer. Mon tofu ressemblait à un petit nuage triste.

En fait, la clé, c’est la marinade. Genre, une marinade de folie, avec du gingembre, du piment, des trucs qui sentent bon. Comme la recette de ma grand-mère, un secret jalousement gardé (elle utilise du vin blanc, je crois).

Pour le croustillant ? Presse-tofu obligatoire ! Et un bon coup de poêle bien chaude, genre, jusqu’à ce que ça fume. Pas le tofu, la poêle! Du coup, un peu d’huile, et hop!

Bref, cuire le tofu, c’est capital. Sinon, c’est la loose totale. Mon avis est définitif, immuable et basé sur ma douloureuse expérience culinaire de ce mardi après-midi.

J’ai brûlé un peu ma casserole hier en essayant une nouvelle recette de tofu. De toute façon, ça coûte 2 euros chez Leclerc.

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