Comment rendre une nourriture moins salée ?

Comment supprimer le sel de son alimentation ?

Bon, virer le sel… ah là là, toujours un défi.

• Boire plus d’eau genre 1.5L minimum. Facile à dire hein.
• Une gourde, oui, bonne idée la gourde. La mienne est toujours vide, faut que je pense à la remplir, sinon je me retrouve à boire du coca, c’est pas top.
• Les reins qui éliminent. Ouais, si seulement c’était aussi simple. Les miens doivent faire grève parfois.

Pourquoi est-ce si dur de se passer de sel ?

• Le sodium, c’est partout en fait. Dans le pain, même le pain de campagne !
• On s’habitue au goût, c’est ça le pire. Je sais que ma grand-mère en mettait dans le café, dingue non ?
• Est-ce qu’il y a vraiment une vie sans sel? Question existentielle.

Et sinon, ma nièce, elle collectionne les timbres. C’est fou ça les timbres, un truc d’un autre âge.

Mais revenons au sel.

• Les plats préparés, une catastrophe. Blindés de sel, évidemment. Faut cuisiner, quoi.
• Les étiquettes, les lire attentivement. Une corvée, mais bon.
• Remplacer par des herbes aromatiques. Pas toujours évident de trouver le bon dosage.

J’ai vu un truc sur les algues aussi, apparemment ça remplace le sel, à tester… peut-être.

Comment faire pour manger moins de sel ?

Minuit sonne déjà… J’y pense encore… Le sel… C’est fou comme on en mange sans même s’en rendre compte.

Difficile de réduire sa consommation, hein? J’ai essayé… Ce n’est pas facile.

Produits transformés : C’est le gros problème. Les chips, les soupes en brique… Je suis accro aux soupes de légumes Picard, pourtant, c’est un vrai piège à sel. J’en suis consciente.

On se dit qu’on va en mettre moins… Et puis, bam ! On a dévalisé un paquet de bretzels. Honteux.

Lire les étiquettes: Oui, oui, je sais. Je devrais le faire. Mais des fois, j’oublie. Ou je suis trop fatiguée le soir.

Hier soir, j’avais trop faim. J’ai dévoré un pot de yaourt au fromage blanc de ma marque préférée. Le sel caché! C’est terrible.

J’ai pris rendez-vous avec une diététicienne le mois prochain. J’espère qu’elle pourra m’aider.

Cuisiner soi-même: C’est la solution idéale, je le sais. Mais le soir, après le boulot… J’ai pas la force. Je finis par commander des sushis. Trop de sauce soja…

• Le sel, c’est vraiment un ennemi invisible.
• Je me sens un peu perdue, là.
• Il faudrait que je trouve une solution…
• Un truc simple et efficace.

J’ai 32 ans, je travaille chez Orange comme ingénieur, et je vis seule à Lyon. Je suis épuisée.

Comment réduire sa consommation de sel ?

Comment réduire le sel ? Putain, c’est dur, hein ?

J’essaie… vraiment. Mais le sel, c’est tellement facile. On en met partout, sans même y penser.

• Regarder les étiquettes, oui, je sais. J’ai même acheté un de ces trucs là, un comparateur de sel. Mais bon, on oublie. C’est lourd.

• Goûter avant de saler… pfff. Je le fais des fois, mais je suis tellement habituée au goût, tu vois ? C’est comme une addiction.

Hier soir, j’ai fait des pâtes, j’ai juré de ne pas ajouter de sel. J’ai réussi. Enfin presque. J’ai mis un peu de parmesan à la fin. C’était mieux.

Au début, c’était bizarre. Un peu fade, même. Mais après, ça va. On s’habitue.

Le problème, c’est le pain. J’adore le pain. Et c’est plein de sel. Je devrais peut-être faire mon propre pain. Mais j’ai la flemme.

Aujourd’hui, j’ai mangé une salade au resto. Trop salée. Je me suis sentie mal après. Voilà. C’est ça, le sel. Il est partout.

J’ai acheté des épices, du cumin, du paprika… On verra.

On verra. J’espère que je vais y arriver.
Cette année, 2024, je me suis fixée un objectif : moins de sel. Pour ma santé, pour mon cœur. Simplement, pour moi.

Comment éliminer le sel dans la nourriture ?

Diluer, voilà le mot clé. Eau, crème, même un bouillon léger, ça marche. On allonge, on disperse le salé. Pensez-y, c’est une leçon de physique basique, une dilution en quelque sorte, mais aussi, et c’est là que ça devient intéressant, une métaphore de la vie : on dilue les excès, on tempère les ardeurs.

Le sucre, ensuite. Miel, sirop d’érable, même un peu de sucre blanc, ça masque le goût. Un petit côté sucré-salé, ça peut être agréable, vous savez, un peu comme la vie, un mélange de saveurs. Mais attention, faut pas en abuser, sinon on passe de la casserole au purgatoire gustatif.

Acides, la solution secrète ? Oui. Citron, vinaigre, vin blanc… l’acidité entre en friction avec le sel, une sorte de petite guerre chimique subtile, et ça modifie la perception du salé. J’ai personnellement testé avec du vinaigre balsamique sur une salade un peu trop salée, ça a fonctionné! Bon, faut aimer l’acidulé hein, c’est pas pour tous les palais.

D’ailleurs, hier, j’étais chez ma tante, on a trop salé la soupe au potimarron… j’ai ajouté un peu de crème fraîche. Miracle!

• Dilution: Eau, crème, bouillon.
• Masquage: Miel, sirop d’érable, sucre.
• Neutralisation: Jus de citron, vinaigre, vin blanc.

Mon expérience personnelle avec la soupe est un exemple concret, mais il faut adapter en fonction du plat. Le goût est subjectif, n’oubliez pas. C’est une question de dosage, de subtilité, presque d’art culinaire. Un peu comme trouver l’équilibre dans la vie, non ? Il faut doser les ingrédients de son existence avec précaution.