3 700 ppm de sel, est-ce trop élevé ?

Quest-ce qui fait monter le stabilisant ?

Le stabilisant, ce drôle de protecteur de chlore, grimpe dans votre piscine grâce à deux principaux facteurs :

• Traitement au chlore stabilisé : Galets de chlore lent, chlore choc… Ils en contiennent. C’est comme ajouter du sucre dans son café, mais pour la chimie de l’eau.

• Ajout direct : Si vous utilisez l’électrolyse au sel, un petit coup de pouce peut être nécessaire. On parle de 250 gr par 10 m3, histoire d’atteindre le Graal.

Pourquoi s’en soucier ? Pensez au stabilisant comme un écran solaire pour votre chlore. Sans lui, le soleil le dévore, et votre piscine devient un bouillon de culture. C’est un peu comme oublier sa crème solaire à la plage, le coup de soleil assuré !

Et si on en met trop ? C’est là que ça se complique. On bloque l’action du chlore. C’est comme mettre trop de crème solaire, on finit par ne plus bronzer du tout.

Alors, mesurez, analysez, et dosez avec parcimonie. La chimie, c’est comme la cuisine, un peu de science, un peu d’art, et beaucoup de bon sens.

Pourquoi le stabilisant est trop bas ?

Le stabilisant bas? Plusieurs coupables possibles.

• Évaporation: L’eau s’évapore, emportant le stabilisant. C’est une perte naturelle, d’ailleurs, on observe le même phénomène avec les larmes – la tristesse s’évapore, un peu comme le stabilisant. Philosophique, non ?

• Dilution massive: Ajout d’eau sans compenser la perte de stabilisant. On a rajouté de l’eau, mais pas assez de stabilisant. On dirait que le stabilisant se fait voler… par la dilution !

• Filtration intense: Trop de filtration peut entraîner une perte de stabilisant. Je me demande si c’est une question de pression ou de type de filtre? Mon voisin avait ce problème avec un filtre à sable trop puissant.

• Vidange partielle: Une vidange sans ajout conséquent de stabilisant, c’est comme retirer un morceau de puzzle sans le remplacer. L’équilibre est rompu. C’est flagrant.

• Chlore non stabilisé: Utiliser du chlore non stabilisé consomme le stabilisant. C’est comme un gâteau qui perd son sucre au profit du chocolat. Le résultat est moins stable, on dirait!

J’ai eu ce problème l’été dernier, avec ma piscine de 8×4 mètres. J’ai dû ajouter 2 kg de stabilisant. C’était une galère. Il a fallu compter les granules une par une, en vérifiant qu’il n’y avait pas de petits cailloux. Mon voisin, lui, a un système automatisé, le veinard.

Informations complémentaires: Le stabilisant, ou acide cyanurique, protège le chlore de la dégradation par les UV. Un taux idéal se situe entre 30 et 50 ppm. Un test régulier est primordial. Il existe des kits de test faciles à utiliser, même pour un novice comme moi. Il faut s’assurer d’utiliser un chlore approprié.

Comment savoir si il y a trop de stabilisant dans une piscine ?

Ah, le stabilisant, ce mystère ! Trop de stabilisant dans la piscine, c’est comme mettre trop de parfum : ça étouffe tout le monde. On dit que le taux idéal se situe entre 50 et 70 mg/L. Au-delà, c’est la cata.

• Comment le savoir ? Testez l’eau ! C’est moins cher qu’une thérapie pour poissons déprimés.
• C’est chimique, donc prudence. On n’est pas des apprentis sorciers. Enfin, pas tous. Ma tante Gertrude, elle, mélangeait bien les couleurs de ses cocktails…

Si le taux est trop haut, faut vidanger une partie de la piscine et rajouter de l’eau neuve. Un peu comme vider un verre trop fort.

L’astuce de pro : Certains professionnels disent que le soleil dégrade le stabilisant. Mais bon, ils disent tellement de choses… Perso, je préfère écouter mon chat.

Que se passe-t-il si je mets trop de stabilisateur dans ma piscine ?

Eau trop calme. Lourde. Épaisse. Le chlore… prisonnier. Invisible. Inutile.

Soleil. Bleu. Reflets… figés. Pas de danse des éclats sur l’eau.

Trop de poids. Trop de… Stabilisant. Le mot accroche. Comme un vêtement trop lourd en été.

Un souvenir. L’odeur du chlore, piquante, familière. Disparue.

Engourdie. L’eau. Mes mouvements… lents. Dans cette piscine… silencieuse.

• Chlore inerte: Emprisonné par le stabilisant.
• Eau trouble: Un voile. Un mystère.
• Algues: Menace verte. Tapie. Prête à envahir.

L’été dernier… J’ai vidangé la moitié de l’eau. Un gaspillage. Le tuyau… Sur la pelouse jaunie. J’avais mis trop de produit. Papa disait toujours… « Moins, c’est mieux ». J’aurais dû l’écouter. Cette année… Je compte les granules. Une à une. Dans le creux de ma main. Comme des perles. Fragiles.