Qui sont les 10 femmes les plus belles du monde ?

Qui sont les dix femmes les plus belles du monde ? Ah, cette question… Elle me hante, un peu, non pas que je sois obsédé par la beauté, mais plutôt par ce qu’elle représente. C’est si subjectif, n’est-ce pas ? On m’a dit une fois que je ressemblais à Marion Cotillard, un compliment que j’ai gardé précieusement, même si je sais que c’est juste une vague ressemblance. Elle, avec ses yeux si expressifs… J’en suis resté bouche bée la première fois que je l’ai vue dans « La Môme ».

En 2018, paraît-il, il y avait un classement… J’ai vu une liste, incomplète, il est vrai. Angelina Jolie, bien sûr, on la retrouve toujours dans ces tops-là. Son visage, sculpté, inoubliable. Puis Emily Ratajkowski, avec cette beauté… comment dire… un peu plus… sensuelle, que certains pourraient trouver provocante. Je me demande d’ailleurs ce que ça représente, la beauté “provocante”. Ça dépend tellement de l’observateur, non ?

Meghan Markle, avant… avant tout ça, avant… vous voyez, je suis un peu nostalgique de son image d’actrice, avant les paillettes et les obligations royales. Margot Robbie, tellement pétillante ! Je l’ai vu dans « Once Upon a Time in Hollywood », et j’ai été complètement sous le charme. Rihanna, puissante, magnétique… tout simplement extraordinaire. Gigi Hadid, je ne la connais pas assez pour en parler vraiment, mais je suppose qu’elle doit avoir quelque chose de spécial. Janelle Monáe aussi, avec sa classe incroyable, un style qui détonne…

Et puis, il y a toutes les autres. Des millions de femmes magnifiques, à travers le monde. Des visages inconnus, des sourires timides… Cette liste, c’est juste une infime partie de la beauté, de la grâce, de la singularité féminine. Dix noms, c’est ridicule, vraiment ! C’est comme essayer de quantifier l’infini, comme essayer de compter les étoiles. On se retrouve avec un chiffre, mais il ne signifie rien, au fond. Ça me rappelle cette fois où j’ai rencontré ma grand-mère, elle avait 80 ans, et sa beauté, sans être celle d’une star hollywoodienne, était infiniment plus touchante, plus vraie. C’est ça, pour moi, la vraie beauté. Au-delà des classements, au-delà des critères imposés… c’est quelque chose de profondément personnel, et inclassable.