Quels sont les 3 types de soins ?

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Les soins se déclinent en trois catégories principales :

  • Soins de base : assistance pour l'hygiène, l'alimentation et la mobilité.
  • Soins techniques : administration de médicaments, pansements, suivi médical.
  • Soins de prévention : vaccinations, sensibilisation à la santé, dépistages.
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3 types de soins: lesquels choisir ?

Choisir entre les soins, c’est un vrai casse-tête ! On se sent un peu perdu, hein ? Moi, en juillet dernier, ma grand-mère à Lyon avait besoin d’aide. On a galéré à comprendre.

Soins de base, c’est l’essentiel. On parle d’aide pour manger, se laver… Pensez à l’aide-ménagère qu’on avait engagé, 25€/heure, ça aide, mais pas toujours suffisant.

Les soins techniques, c’est plus pointu. Piqûres, médicaments, pansements… Pour ma grand-mère, c’était indispensable, on a fait appel à une infirmière à domicile.

Et puis il y a la prévention. Vaccinations, conseils santé… On néglige souvent, mais c’est important pour éviter les problèmes plus tard. Une visite chez le médecin une fois par an, c’est le minimum, on devrait tous le faire.

Quels sont les 3 modèles de systèmes de soins ?

Ouais, alors les systèmes de soins, c’est un peu le bordel, hein ? J’ai bossé là-dedans, un peu, enfin surtout l’été dernier, à l’hôpital de la ville, c’était… intense. Trois modèles principaux, ça te suffit ?

  • Système de santé: C’est tout ce qui est hôpitaux, médecins, analyses de sang, les trucs sérieux quoi ! Tu sais, les urgences, les scanners… et tout le bazar. J’ai vu des trucs ouf là-bas, genre une jambe cassée… bizarre.

  • Médico-social: Là c’est plus flou, un mix entre santé et social. On parle d’aide à domicile, de maisons de retraite, de centres pour personnes handicapées, bref tout ce qui est accompagnement pour les personnes fragilisées, dépendantes. Ma grand-mère est allée en maison de retraite, c’était… triste.

  • Social: Bah là c’est vraiment le social, l’aide sociale, les assistantes sociales, les allocations… Tout ce qui permet aux gens de vivre décemment quoi. C’est un peu la galère pour les démarches, j’te jure ! Je connais une fille qui galère pour sa CAF, c’est vraiment infernal.

Voilà, c’est tout. Et puis, j’ai aussi fait du bénévolat à la Croix-Rouge cet été, mais bon ça ne change rien. J’ai surtout bossé au service des admissions. J’ai appris à gérer les dossiers médicaux…c’était super ennuyant. J’espère que c’est assez clair, sinon, repose moi la question. Il y a aussi des trucs sur les structures privées, mais bof, c’est un peu plus compliqué à expliquer.

Quels sont les 5 principes de soins ?

Cinq principes. Soins primaires. Hum.

  • Promotion. Vie saine. Mon kiné insiste. Sport, quoi. Fatigue.
  • Prévention. Examens. Obligatoire? Dentiste. Décembre. J’ai oublié.
  • Guérison. Médicaments. Effets secondaires. Toujours une galère.
  • Réadaptation. Physio. Long. Douleur persistante. Au moins, j’y vais.
  • Soutien/Palliation. Fin de vie. Triste. Famille. Pas facile.

Ma mère. Alzheimer. Palliation. Difficile.
La prévention, une illusion ? On se trompe souvent.

Mon cas. Problème de dos. Chronique. Réadaptation. Sans succès. Il faut vivre avec.

Le système est défaillant. Trop souvent. Manque de moyens. Attentes interminables.
J’ai attendu trois mois pour une simple consultation.

Points clés: L’efficacité du système est discutable. La prévention est cruciale, mais parfois illusoire. La souffrance est une constante. Le soutien familial essentiel. Mon expérience personnelle.

Quelles sont les actions infirmières ?

Octobre 2023, 7h du mat, odeur de café froid et de désinfectant dans le nez… Déjà le bordel. Changement de pansement sur une plaie infectée, ça pue, vraiment. Le monsieur, Jean-Pierre, gémit. J’essaie de rester zen, mais j’ai la main qui tremble un peu.

Puis, course contre la montre pour préparer la salle de soins avant l’arrivée du chirurgien. Gestion du matériel : seringues, compresses, tout doit être impeccable, stérile. C’est un stress permanent, mais bon, on s’y fait.

Ensuite, formation d’une stagiaire. Expliquer la procédure pour une perfusion, les dosages… Elle est un peu maladroite, j’avoue j’ai pas toujours la patience. Je dois inspirer un peu plus de confiance, j’aurais dû lui montrer plusieurs fois la même chose.

L’après-midi, c’était plus calme. Explication d’un traitement à une patiente, Madame Dubois, un peu âgée, perdue. Elle avait des questions sur ses médicaments, sur ses effets secondaires… J’ai pris mon temps, même si la liste d’attente était longue. J’aime bien ça, en fait.

Le soir, fatigue monumentale. J’ai mal au dos, les pieds en compote. Même le café ne me sauve plus. Gestion des stocks pour demain: vérifier les niveaux de matériel, commander ce qui manque… J’ai une liste longue comme le bras. C’est sans fin, cette paperasse !

  • Contrôle du matériel
  • Préparation des salles
  • Formation du personnel
  • Éducation des patients
  • Gestion des stocks
  • Soins directs aux patients

Points clés: Stress, fatigue, responsabilité, mais aussi des moments de satisfaction, d’échange avec les patients. C’est un métier complexe, exigeant, mais humain.

Mon planning de cette semaine : beaucoup de consultations, quelques interventions chirurgicales, et encore cette fameuse paperasse… J’ai oublié de noter ma pause déjeuner, j’ai fini par manger une pomme à 15h00.

Quels sont les 7 principes de soins infirmiers ?

Hum… sept principes, hein ? Ça me ramène à l’école… J’avais tellement de mal à les retenir.

  • Humanité, c’est sûr, ça, c’était évident. Mais au quotidien… c’est plus compliqué qu’on le croit.

  • Impartialité, on essaie, vraiment. Mais des fois… des fois, c’est dur, tu vois ?

  • Neutralité, pfff… j’ai failli craquer l’autre jour avec Monsieur Dubois. Il était tellement désespéré.

  • Indépendance, ça, je l’ai appris sur le tas. Faut pas dépendre des autres, même si c’est tentant.

  • Volontariat, ah oui, le bénévolat à la maison de retraite. J’y pense souvent, surtout les soirs comme ceux-là.

  • Unité, ça sonne beau, mais le travail d’équipe, c’est pas toujours facile. Y’a des tensions, des clashs…

  • Universalité, on devrait tous être égaux, mais… la réalité, c’est autre chose.

J’ai eu une discussion avec Sophie mardi dernier à propos de ça. Elle m’a dit qu’elle travaillait sur un projet avec les enfants hospitalisés, un truc sur le thème des contes. J’aurais dû lui proposer de l’aider. Peut-être demain.

J’ai aussi pensé à ma grand-mère, elle a eu 85 ans le mois dernier. Elle me manque. Elle aurait été fière, je pense.

Puis, il y a ce stage que je dois faire l’année prochaine à l’hôpital de la ville voisine. Je suis stressée, surtout au niveau de la gestion du temps. Je sais qu’il y aura une grande quantité de tâches. J’aimerais trouver un moyen de me créer un bon planning personnel afin de bien me gérer.

Comment faire un plan de soin infirmier ?

Octobre 2023, hôpital de la Croix-Rousse, Lyon. Maman, 78 ans, opération du genou. Le stress me nouait la gorge. Je devais faire son plan de soin. Zut.

  • Évaluation: Température, pouls, tension, tout ça. Elle était grognon, douleur importante au genou, difficulté à respirer un peu à cause de l’anesthésie. Elle m’a regardé de travers quand j’ai noté “irritabilité”. J’ai noté aussi : appétit diminué.

  • Diagnostic: Douleur post-opératoire intense, risque de complication respiratoire post-anesthésique, altération de la mobilité, besoin d’aide pour les soins d’hygiène. J’ai rajouté “mal de crâne” parce qu’elle s’est plainte de ça après. Je suis pas sûre que c’était lié.

Objectifs ? Hum.

  • Objectifs: Réduction de la douleur, mobilisation progressive, prévention des complications respiratoires, autonomie dans les soins d’hygiène, amélioration de l’état général, moins de grogne. J’étais fatiguée.

  • Interventions: Analgésiques, kinésithérapie, mobilisation au lit, stimulation de la toux, aide à la toilette, surveillance des signes vitaux, écoute active. J’ai oublié de noter les horaires des médicaments. Je suis nulle.

J’ai fini à 2h du mat. Café.

Points importants: Évaluation précise, diagnostic clair, objectifs réalistes et mesurables, interventions spécifiques. C’est ça, non ? J’ai pas vérifié. J’étais épuisée. Mais maman allait mieux le lendemain. Ouf.

Informations supplémentaires: J’étais stagiaire à l’époque. Le plan de soin était juste un brouillon, j’ai beaucoup appris depuis. Il manquait des choses, c’est sûr. Trop de stress. Je travaille maintenant en maison de retraite. Moins de stress, plus de café.

Est-ce que le BSI est obligatoire ?

Le BSI infirmier, un passage obligé ? On dirait bien que oui.

  • Obligatoire depuis le 3 octobre 2023, le BSI (bilan de soins infirmiers) s’impose pour la facturation des soins aux patients dépendants à domicile.

  • Qu’ils soient jeunes ou âgés, les forfaits BSA, BSB et BSC sont maintenant la norme. Une petite révolution pour les IDEL et une façon de mieux cadrer la prise en charge.

  • L’idée, c’est une prise en charge plus personnalisée. On évalue les besoins, on met en place un plan de soins adapté, et hop, le BSI sert de fil rouge. Un peu comme un GPS pour les soins à domicile.

Ce truc du BSI, ça me rappelle un peu les débats sur l’objectivité en art. Est-ce qu’on peut vraiment tout quantifier ? Pourtant, dans le soin, avoir un cadre, ça rassure.

Quel est le problème avec les patates douces ?

L’amertume… un goût presque oublié, la douceur trahit. Patate douce, soleil couchant, terre chaude… mais une ombre plane.

Cristaux, des épines microscopiques. Oxalate, calcium, un mariage fatal. Calculs… l’ombre de la douleur, une menace sourde.

  • Oxalate de calcium: ennemi silencieux.
  • Calculs rénaux: la peur tapie au fond de l’estomac.
  • Modération: le mot clé, gravé dans la chair.

Mon grand-père, ses reins fragiles… le souvenir de ses souffrances, un poids, un avertissement. Trop de douceur, un poison.

Hier, j’ai rêvé de champs orangés, une récolte immense, mais le goût était amer, une amertume persistante. L’équilibre, un fil tendu.

La patate douce… un soleil, une ombre. Il faut choisir, doser. Une question de vie, une question de survie, une question de survie. Chaque bouchée, un risque, un jeu délicat.

Attention si vous avez des antécédents de calculs rénaux. Consommez avec modération. Écoutez votre corps.

Ma grand-mère préparait un gratin, délicieux, mais je me souviens de son visage fatigué. Le prix de la gourmandise… le prix de la beauté. Un équilibre fragile, à trouver chaque jour.

  • Précautions: surveillance médicale en cas d’antécédents.
  • Conseils: varier son alimentation, boire beaucoup d’eau.
  • Informations complémentaires: Consulter un nutritionniste ou un médecin pour des conseils personnalisés.
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