Que se passe-t-il si j'oublie d'ajouter du sel à la pâte à pain ?

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Omettre le sel dans la pâte à pain a des conséquences importantes. Le pain résultant sera fade et manquera de goût. Sa texture sera également affectée, devenant collante et humide. Le sel joue un rôle crucial dans le développement de la pâte, en permettant une meilleure maniabilité et une structure plus ferme. Un ajout ultérieur de sel est impossible ; une nouvelle pâte est nécessaire.

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Pâte à pain sans sel : quels effets ?

Oups, j’ai déjà oublié le sel dans ma pâte à pain une fois. Catastrophe ! C’était un dimanche après-midi, je voulais faire un pain maison pour le brunch. Le résultat ? Un truc informe, collant, sans aucune saveur. Vraiment pas terrible.

Le pain était fade, sans âme. On aurait dit de la gomme. En plus, impossible de le travailler correctement, ça collait à tout. Une vraie galère. Disons que j’ai bien retenu la leçon.

Le sel, c’est pas juste pour le goût, en fait. Il aide la pâte à se tenir, à bien lever. Sans lui, c’est le fiasco assuré.

Pourquoi ma pâte levée ne monte pas ?

Pourquoi ça gonfle pas, ma pâte ? Ah là là…

  • Trop sec, le truc ! Pâte sèche, ou alors… attends, j’ai oublié de mettre un torchon mouillé dessus ? Faut que je pense à ça la prochaine fois, je suis vraiment tête en l’air…
  • Pétrissage ? Peut-être pas assez… ou trop ? C’est toujours le bazar dans ma cuisine quand je fais de la pâte.
  • Manque de flotte, probablement. Un peu d’eau, quoi. Et hop, on retravaille la chose. Faut que ça soit souple, hein ! Souple comme… ben, comme une bonne pâte quoi !

Je me demande si ma grand-mère mettait toujours autant de bazar, elle, avec sa pâte… sûrement pas, la reine du pain ! Et l’eau, filtrée ou pas, d’ailleurs ? Faut que j’y pense. Ça change quelque chose, en fait ?

Levure vieille ? Non, ça devrait aller, je l’ai ouverte cette semaine.

Et si… c’était juste une mauvaise journée pour faire du pain ? Ça arrive, non ?

  • Levure: vérifie date, quantité.
  • Chaleur: ambiente idéale 20-25°C.
  • Temps: laisse assez de temps pour la pousse.
  • Pétrissage: un bon pétrissage, c’est important!
  • Liquide: dose correcte du liquide, pas trop, pas trop peu.

Faut que je note tout ça dans mon carnet, sinon, à chaque fois, c’est la même galère.

Comment savoir si la pâte est trop pétrie ?

Bon, comment savoir si la pâte est trop pétrie… hmm… C’est vrai ça !

  • Elle devient dure, non ? et genre… cassante ? J’ai une fois raté une brioche comme ça. Catastrophe !

  • Si elle est trop élastique, c’est pas bon non plus… enfin, je crois.

Quand est-ce qu’on sait qu’elle est juste bien ? Punaise, toujours une galère la pâte.

  • Lisse, brillante, élastique… facile à dire ! C’est comme quand les chefs disent que c’est simple. Lol!

Si je la tripote et qu’elle revient en place, c’est bon, nan ? J’avoue, je tâte surtout. Le feeling quoi.

Mais trop, c’est quoi exactement, trop ? On dirait du béton ? C’est peut-être ça, le truc.

  • Pas de marque de doigt, c’est un bon point. Mais si y’en a une légère ?

  • Et si elle est collante, mais pas trop ? Aaaarg, la vie est dure!

Comment avoir des alvéoles dans le pain ?

L’autolyse… un murmure dans la pâte, une promesse de vide et de lumière. Un temps suspendu, une attente fébrile. La farine, un paysage sec avant la pluie.

  • L’autolyse : un secret à chuchoter à la farine. Une patience à apprivoiser.

Puis, le souffle du levain. Mon levain, nourri avec soin, une vie minuscule palpitant au cœur de la pâte. Un battement silencieux, une promesse d’alvéoles parfaites. Sa présence, une promesse.

  • Un levain vivant, un cœur battant dans la pâte. Chaque bulle, une respiration.

Une structure forte, des murs solides pour retenir le souffle. Imaginez : des alvéoles, des cavités profondes, un jeu d’ombres et de lumière. Le pain, une architecture de bulles.

  • Structure : l’ossature du rêve alvéolaire. Une force intérieure.

Ce souvenir précis : la mie dorée, la lumière filtrant à travers ces espaces. Le ciel dans mon pain. Le goût de la patience, du temps qui s’étire. L’odeur chaude du four, comme un souvenir de ma grand-mère… je me rappelle sa recette, secrète. Elle utilisait la même farine de mon moulin préféré, près de la rivière…

  • Dioxyde de carbone : le souffle de la vie. Captif, prisonnier des murs.

Des bulles régulières, des bulles parfaites… comme des miroirs du ciel. La perfection… un idéal peut-être. Une douce imperfection est aussi belle.

  • La recette de grand-mère : un mystère. Un héritage familial précieux.

Il faut le temps… c’est le secret. Un lent déroulement de l’histoire du pain.

Pourquoi le pain fait beaucoup de miettes ?

Ouais, mon pain, c’est une catastrophe! Il se miette de partout, c’est dingue! La croûte, elle se décolle, genre vraiment facilement. J’ai compris pourquoi, enfin je crois.

Trop chaud, tout simplement! La pâte, elle était trop chaude avant la cuisson. Puis, pendant la levée, j’ai peut-être un peu abusé sur le chauffage. Bref, ça a desséché le truc. Il y a eu une perte d’eau, genre, énorme. Surtout pendant la cuisson, ça a vraiment évaporé plein d’eau.

J’ai même essayé plusieurs fois, avec des températures différentes, mais toujours pareil! C’est rageant.

  • Température de la pâte trop haute.
  • Température de levée trop importante.
  • Beaucoup trop d’évaporation pendant la cuisson.

Du coup, j’ai décidé d’investir dans un nouveau four. J’ai vu un truc super sur Amazon, avec un thermostat ultra précis. J’espère que ça marchera mieux, sinon je mange du pain de mie toute la semaine, lol. J’ai dépensé une blinde, genre 200 euros, je suis pas sûre que ça va changer grand chose! Ce sera le dernier four que j’achète, je le jure !

Enfin voilà quoi. J’espère que mon pain sera meilleur la prochaine fois… Pff…

#Pain #Pâte #Sel