Quand utiliser le cultivateur ?

Quand utiliser ce fichu cultivateur, me direz-vous ? Ah, cette question, elle me revient souvent, moi qui ai passé des heures, des journées entières même, à me battre avec la terre de mon petit jardin ! Préparation du sol avant semis, c’est la première chose qui me vient à l’esprit. Vous savez, cette sensation, incroyable, de la terre qui s’effrite sous la lame, comme si on libérait enfin le potentiel caché de la terre. J’ai un souvenir précis, l’année dernière, où j’ai planté mes tomates… la terre était dure comme de la pierre, et sans mon cultivateur, j’aurais passé une éternité à creuser des trous dignes d’une taupe olympique !

Puis il y a le désherbage, hein ? Un vrai calvaire, parfois. On se croirait au combat contre une armée de mauvaises herbes tenaces, des petites choses vertes, mais diablement coriaces. J’ai essayé plein de choses, le binage, à genoux, c’est épuisant, alors le cultivateur, c’est devenu mon meilleur allié. J’ai vu la différence, croyez-moi. Avant, j’étais couverte de poussière et de courbatures, maintenant, c’est plus efficace, même si c’est pas forcément un jeu d’enfant. Et puis, on dirait que ça me détend, étrange, non ? Ce petit bruit régulier… un peu comme une méditation au milieu des légumes.

Et enfin, l’incorporation de matières organiques… Ah ça, c’est essentiel ! J’ai lu quelque part, dans un vieux livre de jardinage, (je crois que c’était un truc de ma grand-mère, plein de taches et d’annotations), que ça améliore la structure du sol de 20%, ou un truc comme ça. En tout cas, j’ai vu la différence sur mes courgettes, elles étaient énormes ! J’ai mélangé de la paille et du compost avec mon cultivateur, et le résultat… magnifique. Sans ça, elles auraient été chétives, j’en suis sûre. Alors oui, le cultivateur, c’est plus qu’un outil, c’est un partenaire dans mon petit combat pour une récolte abondante et des légumes délicieux. Et puis, avouez que ça a quand même plus de style que de labourer à la main, n’est-ce pas ?