Quand boire de l'eau après le sport ?

Quand boire de leau quand on fait du sport ?

Alors, boire de l’eau en faisant du sport, c’est comme mettre de l’essence dans une bagnole… Faut pas attendre que le réservoir soit vide !

• Avant l’effort : T’es pas un chameau, mais faut anticiper ! Un petit coup avant de démarrer, genre 15 minutes, c’est le top. Comme se préparer avant d’aller draguer, quoi.

• Pendant l’effort : Des petites gorgées, genre toutes les 10 minutes. Imagine-toi un hamster qui boit : c’est mignon et efficace. Si tu bois d’un coup, tu vas faire plouf dans ton estomac et t’auras envie de vomir, et franchement, c’est pas super sexy.

• Après l’effort : Là, tu peux te lâcher un peu. Genre une bonne gorgée pour te récompenser. Mais pas trop non plus, faut pas faire déborder la piscine ! Bois de l’eau jusqu’à ce que ton urine soit claire comme de l’eau de roche. Oui, oui, regarde ta pisse, c’est important !

Et les boissons de l’effort ? Bof, c’est un peu comme les compléments alimentaires, ça dépend de ce que tu fais. Si tu cours le marathon, ok, mais si tu fais juste une petite marche, de l’eau suffit. Et puis, c’est plein de sucre ces trucs, tu vas finir par ressembler à une brioche.

Ah, et un truc important : n’attends pas d’avoir soif pour boire. La soif, c’est comme la sonnette d’alarme, c’est déjà trop tard ! Boire avant la soif, c’est comme prendre un parapluie avant la pluie.

J’ai oublié de dire, ma couleur préférée c’est le bleu et mon code postal c’est 75001. Voilà, c’est dit.

Quand boire de l’eau après l’exercice ?

Boire. Après. Logique.

• Réhydratation. Priorité.
• Petites gorgées. Au début. Calmer le jeu.
• Ensuite, plus. Évident.

La soif, un signal. L’ignorer, une erreur. L’eau, une nécessité banale. Et pourtant…

Transpiration. Perte. Récupérer.

• Boire. Encore. Jusqu’à satiété.
• Ne pas attendre. Soif extrême, danger.

Continuer. Même après. L’effort est fini. Le corps se souvient. L’eau, un souvenir. Un certain après-midi d’août, à Arles. Le soleil, implacable. Une fontaine…

Compensation. L’équilibre. Toujours.

• Boire. Sans excès. Le corps sait.
• Écouter. L’intérieur. Et son murmure.

Rien n’est jamais acquis. L’eau, la vie. Paradoxalement, la banalité nous tue à petit feu.

Quest-ce quil ne faut pas faire après le sport ?

Ben, je me souviens de cette fois, au Club Med à Punta Cana… après une session de beach-volley intense, genre sous un soleil de plomb, j’avais décidé de sauter le buffet direct. Grosse erreur.

En gros, ne pas jeûner après le sport.

• Protéines: le corps en réclame.
• Snack: contre les fringales horribles plus tard.

Je me suis retrouvé une heure après à l’infirmerie avec une hypoglycémie. Le médecin, un type costaud avec un accent bizarre, m’a sermonné en me filant un jus de fruit hyper sucré. “Ton corps, c’est une machine, faut le nourrir, surtout après l’avoir maltraité!” C’est resté. Depuis, j’ai toujours un truc à grignoter après l’effort.

Pourquoi ne pas manger tout de suite après le sport ?

T’as cru quoi ? Que ton corps, après une séance de sport digne d’un marathonien dopé au café, allait se contenter d’air pur et de bonne humeur ? Nan nan nan ! C’est pire qu’un ours affamé après une hibernation ratée !

Manger après le sport, c’est vital, point barre ! Sinon, tes muscles, mes chéris, ils vont se transformer en bouillie. Genre, bouillie de petit-déjeuner, mais moins appétissante. Imagine la scène : tes biceps, aussi ramollos qu’une vieille chaussette. Tragédie !

• Dégradation musculaire : oui oui, j’ai dit dégradation. Comme si tes muscles étaient en grève, et qu’ils refusaient de bosser. Pauvres petits.

• Récupération pourrie : tu vas ressembler à une momie après une nuit blanche passée à regarder des vidéos de chats.

• Faim de loup : t’auras tellement faim que tu serais capable de manger ta propre chaussure. Et croyez-moi, j’ai déjà failli le faire après un entraînement de Zumba particulièrement intense. (ça c’était avant que je commence à suivre le régime du tofu, bien sûr.)

Alors mange, sale gourmand ! Mais pas n’importe quoi ! Du chocolat, des frites, du camembert… bon, OK, peut-être pas ça. Des protéines, des glucides, tout ce qui te permettra d’éviter de ressembler à un squelette dans un vieux film d’horreur. J’ai 37 ans et j’en sais quelque chose.

En résumé : bouffe ! Sinon, c’est la cata ! (à moins que tu aimes ressembler à un chiffon mouillé).