Est-ce que le Doliprane calme le mal de gorge ?
Ah, le Doliprane et le mal de gorge... Personnellement, je dirais que ça aide à supporter la douleur, oui, en atténuant la sensation. Cest comme mettre un pansement sur une plaie : ça cache le problème, mais ça ne le guérit pas. Si jai mal à la gorge, je prendrai peut-être un Doliprane pour pouvoir parler ou manger, mais je sais quil faut aussi que je soigne la cause, avec du repos, du miel, ou même un médecin si ça ne passe pas !
Doliprane pour un mal de gorge ? Franchement… ouais, ça soulage, un peu. Ça endort la douleur, quoi. Comme quand tu mets un gant sur une main brûlée – tu sens moins le feu, mais la brûlure est toujours là, n’est-ce pas ? C’est du temporaire. Un genre de répit. Je me souviens une fois, j’avais une pharyngite carabinée, impossible d’avaler quoi que ce soit. Même parler était une torture ! J’ai pris du Doliprane, juste pour tenir le coup le temps d’aller chez le médecin. Parce que bon, on ne va pas se mentir, la douleur, c’est usant. On perd patience, on devient… irritable. On veut juste que ça s’arrête ! Le Doliprane m’a permis, je crois, de survivre à l’attente et à la consultation. Le médecin m’a prescrit des antibiotiques, évidemment. C’est ça qui a vraiment guéri le mal de gorge. Le Doliprane, c’était juste… un pansement, ouais, c’est le mot. Un truc pour tenir le coup, en attendant le vrai traitement. Un peu comme quand tu as une migraine atroce et que tu prends un cachet pour pouvoir au moins fonctionner… jusqu’à ce que le repos (ou la magie !) fasse son effet. J’ai lu quelque part, je ne sais plus où, qu’un mal de gorge non traité peut entraîner des complications… J’imagine que c’est vrai, non ? Donc, Doliprane oui, pour atténuer la douleur, mais surtout, consulter un médecin si ça persiste. On est jamais trop prudent !
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