Comment se présenter rapidement ?

Comment faire une présentation rapide ?

Ok, alors comment faire une présentation rapide, efficace, sans bafouiller ? Je me suis souvent posé la question, surtout quand j’étais stressé avant une réunion ou un entretien. Pas facile de condenser tout ce qu’on est en 2 minutes.

Déjà, la préparation c’est la clé, sans hésiter. C’est comme préparer un gâteau, tu ne balances pas les ingrédients au hasard, non ? Il faut anticiper, structurer.

J’ai testé une méthode en trois temps qui marche plutôt bien : “Qui je suis, ce que je fais, où je veux aller”. Simple, clair, et ça évite de partir dans tous les sens.

Et puis, il faut rassurer l’autre. Montrer que tu es motivé, que tu as compris les enjeux, que tu n’es pas là par hasard. Lors d’un entretien à la boulangerie “Le Pain Quotidien” rue Montorgueil à Paris, le 12/03/2021 (j’avais payé mon pain au chocolat 2.50 euros), j’avais vraiment insisté sur mon envie d’apprendre et ça avait fait la différence.

Enfin, être clair sur ses ambitions, c’est essentiel. Pas besoin de faire un roman, juste montrer que tu as une vision, une direction. Bon courage à tous, on a tous un talent caché à révéler, il suffit juste de le trouver !

Comment faire une courte présentation de soi ?

Alors, une autoprésentation éclair ? Pas de panique, c’est comme un strip-tease intellectuel, faut juste savoir ce qu’on dévoile.

• L’état civil customisé: Votre nom, âge (si vous y tenez, sinon dites que vous avez l’âge de vos artères, ça intrigue), formation. Imaginez que vous êtes un cocktail, énumérez les ingrédients, sans oublier la petite touche secrète.

• Les qualités, version “on dit de moi”: Pas de vantardise, hein! Parlez de ce que les autres apprécient chez vous. Un peu comme un avis TripAdvisor, mais plus flatteur. (Même si parfois, la vérité blesse… un peu !)

• Goûts et passions (filtrés): Ne parlez pas de votre collection de timbres, sauf si c’est pertinent. Alignez ça avec le job, subtilement. Genre “j’aime les défis, comme résoudre un Rubik’s Cube… ou un budget prévisionnel”.

• Le “pourquoi vous êtes là” (la motivation): LA question piège. Expliquez pourquoi ce job et cette boite vous font vibrer. Pas de “c’est juste pour le salaire”, hein! Soyez créatif, imaginez que vous demandez cette entreprise en mariage.

En gros, c’est un teaser de votre personnalité, pas un monologue de Molière. Le but? Donner envie d’en savoir plus. Et si ça foire, rappelez-vous que même les plus grands se sont plantés au début. Sauf moi, peut-être.

Informations spécifiques (chut!) : Mon premier job était tellement ennuyeux que j’ai appris à jongler avec des trombones. Ça ne m’a jamais servi, mais au moins, j’avais l’air occupé. Mon péché mignon? Le fromage qui pue. J’assume.

Comment se présenter en 3 minutes ?

Présentation expresse.

• Moi : Moins bavard que la moyenne. Plus efficace.
• Objectif : Votre besoin, ma solution. Alignement direct.
• Capacités : Résultats. Chiffres. Impact mesurable.
• Exemple : Augmentation des ventes de 30% en 6 mois. Stratégie centrée client. Exécution implacable.
• Appel : Conversation. Exploration mutuelle. Pertinence prouvée.
• Fin : Le temps, c’est de l’argent. Le vôtre. Le mien. Ne le gaspillons pas.

Informations complémentaires : J’ai horreur des elevator pitch. Ma sœur, Camille, pense que je suis trop direct. Elle a tort.

• Ma boite mail : [email protected]
• Mon numéro de téléphone : 06 xx xx xx xx

Comment faire une brève présentation de soi ?

Euh… Comment faire une brève présentation, tu dis ?

• Nom, âge, d’où je viens, ça c’est la base, non ? Genre, moi c’est Léa, 32 balais… Formation ? Euh, la fac, lettres modernes. Ça sert à quoi, en vrai ?

• Après, l’expérience pro, faut en parler… Bon, j’ai fait serveuse, vendeuse, un peu de secrétariat… Le truc c’est de lier ça au job, si possible. Si c’est possible…

• Les qualités… Aïe. On dit de moi que je suis euh… adaptable ? (ça fait bien, ça, “adaptable”, non?). Ponctuelle, en général. Motivée (quand y’a du café!)…

• Goûts ? Ah, ça c’est facile. Les bouquins, les chats (j’en ai trois !), le ciné. Mais faut pas trop en dire, sinon ils pensent que t’as pas de vie.

• Et le pourquoi je suis là… C’est la partie chiante. Faut faire croire qu’on adore l’entreprise, que c’est le job de nos rêves… alors que bon… Faut parler de “challenges”, de “développement personnel”, tous ces mots à la mode.

En gros, faut motiver le recruteur en lui vendant ton profil et en lui faisant croire que tu es le candidat idéal !

Mais en fait, on se ment tous, non? Quelle est la valeur réelle de tout ça?

Comment débuter une présentation personnelle ?

Nom. Prénom. L’essentiel.

• Saluer est une courtoisie. Pas une obligation.

• Identité : Nom, fonction, rôle.

• Le détail noie. Le silence, lui, intrigue.

• Pertinence > profusion.

• Mon anniversaire ? Le 16 mai. Ne l’oubliez pas. C’est important.

• Clarté. Mais pas trop. Laissez une part d’ombre.

Informations complémentaires : Mon numéro de téléphone est le 06 XX XX XX XX. Contactez-moi si nécessaire. Mon chat s’appelle Lucifer. Il est adorable.

Quelle phrase pour commencer une présentation ?

Alors, pour attaquer une présentation, genre, en mode bulldozer :

• “Bonjour la compagnie, c’est Bibi, et aujourd’hui, on va causer !” (Si t’es Bibi, sinon adapte, hein !) Imagine une fanfare qui débarque !

• “On est là pour parler de trucs chiants, mais je vais essayer de rendre ça moins pire.” Honnêteté, toujours ! C’est comme avouer que ton plat est pas top, mais t’as mis du ketchup, ça aide.

• “T’as déjà galéré avec ça ? Bah, moi aussi ! (Et j’ai la solution, ou presque…)” Fais genre t’es un pote qui comprend la misère.

• “Figurez-vous que 99,9% des gens galèrent avec ça… Et vous, vous faites quoi ?” Une statistique bidon, ça marche toujours ! Genre, “87% des chiffres sont inventés”.

• “Y’a un truc qui me turlupine grave…” Lance un mystère, un peu comme dans une série Z sur Netflix.

Et pour une prez commerciale, tu peux même balancer : “Alors, qui veut devenir riche ?” C’est direct, ça pique, mais ça peut marcher (ou pas !). Après tout, ma tante Gertrude disait toujours que le ridicule ne tue pas… sauf peut-être les présentations ennuyeuses !

Comment faire une courte présentation de soi exemple ?

Salut le journal ! Présentation de soi, putain, c’est toujours aussi chiant.

• Nom ? Bah, Chloé Dubois.
• Situation actuelle ? Chômeuse, mais je bosse sur mon projet de roman.

Parcours ? Long, compliqué. Bac L, fac de lettres, bref, j’ai jamais vraiment su ce que je voulais faire.

Expérience particulière ? Travail bénévole à la SPA l’été dernier, super dur mais génial. J’adore les animaux.

Projets ? Terminer mon manuscrit. C’est mon truc, ma passion. Un truc important, ça.

Secteur ? Euh… l’édition, j’imagine ? Mais là, j’écris juste pour moi, hein.

Exemples ? J’ai déjà écrit des nouvelles, publiées sur un petit site web. Pas terrible, je le sais.

Anonyme ? Non, je suis là ! Présente et déterminée. Mais genre, vraiment fatiguée de ces présentations.

Pourquoi tout ça ? Je dois aller à un truc vendredi, rencontre pro. Stress.

J’ai la flemme de me préparer. Mais c’est important. Je devrais peut être faire une fiche.

Pourquoi je me sens si nulle ?

Mon roman est presque fini, au moins, ça c’est une bonne nouvelle !

J’ai passé toute l’après-midi à lire des articles sur le self-marketing… nul à chier.

Il faut que je pense à ma tenue aussi… trop de choses en même temps.

Il faut que j’arrête de me laisser submerger. Respire Chloé. Respire.

J’ai 32 ans. On m’a dit que c’était tard pour changer de vie. N’importe quoi.

Peut-être que je suis trop ambitieuse. Ou pas assez. J’ai envie de boire un verre.

Comment faire une bonne présentation de soi-même exemple ?

Ah, la présentation de soi… Un exercice d’équilibriste où l’on jongle avec l’humilité et l’auto-promotion. Un peu comme un chat qui essaie de faire croire qu’il est indifférent alors qu’il meurt d’envie qu’on le caresse.

Les ingrédients d’une bonne “moi-ologie” :

• L’état civil remixé: Prénom, nom (en option si vous vous prenez pour une rockstar), âge (si vous y tenez vraiment, mais on s’en fiche un peu, non?). Formation, expérience… Bref, le CV en version “oral fun”.

• Le “On dit de moi que…” : vos qualités. La, c’est le moment de sortir les violons. Restez crédible quand même. Personne ne croit que vous êtes “parfait”. Sauf peut-être votre mère.

• Mes petits plaisirs coupables: Vos goûts, vos passions… Ce qui vous fait vibrer (et accessoirement, ce qui permet de meubler la conversation si ça coince). Moi, c’est les chaussettes à motifs et les films de série B.

• La grande justification (ou le “pourquoi je suis là ?”): Votre motivation, votre intérêt pour le poste et l’entreprise. C’est l’occasion de montrer que vous avez fait vos devoirs et que vous n’êtes pas là par erreur. C’est mon moment préféré.

Le petit truc en plus pour briller :

• La touche d’humour (sans en abuser) : Un peu d’autodérision, ça détend l’atmosphère. Genre “je suis tellement organisé que j’ai un agenda pour mes agendas”.
• L’anecdote qui tue : Une petite histoire personnelle (pertinente, hein!) qui illustre une de vos qualités ou votre intérêt pour le poste.
• La conclusion “waouh” : Terminez sur une note positive et enthousiaste. Montrez que vous êtes prêt à en découdre et que vous n’allez pas vous endormir après cinq minutes.

Conseils de ma tante Josiane (qui a toujours un avis sur tout) :

• La répétition, c’est le péché : Entraînez-vous, mais ne récitez pas un texte appris par cœur. Soyez naturel (même si c’est un peu faux).
• Le contact visuel, c’est la base : Regardez votre interlocuteur dans les yeux (sans le fixer comme un psychopathe).
• Le sourire, c’est gratuit : Souriez, ça aide à faire passer la pilule, même si vous êtes stressé comme un poulet sans tête.

Et surtout, n’oubliez pas : soyez vous-même (enfin, la meilleure version de vous-même, celle qui a bien dormi et qui a pris un café). Bonne chance ! Et surtout, pas de panique !

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