Comment se laver les dents en trek ?

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Hygiène bucco-dentaire en trek :

Emportez l'essentiel : dentifrice (sachets individuels pratiques), brosse à dents compacte et fil dentaire.

Toilette corporelle légère :

Optez pour des lingettes biodégradables. Elles sont parfaites pour un nettoyage rapide du corps, des mains et du visage en pleine nature.

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Hygiène dentaire en trek : comment faire ?

Ok, parlons hygiène dentaire en trek, un truc qui peut vite devenir galère si on n’anticipe pas un minimum. Perso, j’ai testé le dentifrice en mini-dose, acheté chez Décathlon à Chamonix genre 5€ le lot, c’est top niveau poids. Une brosse à dents pliante, c’est un must, ça prend moins de place. Et le fil dentaire, ça évite les mauvaises surprises, croyez-moi.

Les lingettes biodégradables, c’est la vie, surtout après une longue journée de marche. J’en avais toujours un paquet sur moi lors de mon trek dans le Mercantour en août dernier. Ça sauve la mise pour un coup de frais rapide, même si ça ne remplace pas une vraie douche, évidemment.

En bref :

  • Dents: Dentifrice, brosse à dents, fil dentaire.
  • Corps: Lingettes biodégradables.

Comment faire sa lessive en trek ?

Le trek, c’est chouette, sauf quand tes chaussettes sentent plus fort que le fromage de chèvre de ma grand-mère (et elle en fait des sacrément puantes!). Le truc, c’est le savon. Oubliez les lessives industrielles, on est en pleine nature, pas dans une pub pour Ariel!

  • Savon solide biodégradable: Le top du top. Compact, efficace, et vous n’avez pas besoin d’un flacon qui prend de la place dans votre sac. Mon préféré ? Celui à l’huile de coco, sent bon, et ma peau me le rend bien.
  • Savon liquide: Pratique, mais attention aux fuites! J’ai déjà eu droit à une jolie surprise en ouvrant mon sac à dos une fois… un vrai cocktail de savon liquide et de vêtements humides. Brrr. Choisissez un contenant ultra-résistant.
  • Lessive en poudre: À éviter si possible. L’humidité, c’est son pire ennemi, même plus que moi avec les lundi matin. On finit avec un bloc compact et inutilisable. Un peu comme ma motivation certains jours…

L’astuce du pro (c’est moi): Un petit sac étanche, c’est la vie! Et un peu de bicarbonate pour booster le lavage, ça ne mange pas de pain. Ah oui, et j’oubliais, laver à l’eau froide, hein, on économise l’énergie pour nos muscles, pas pour chauffer de l’eau!

J’ai un stock de savon solide artisanal biodégradable à la lavande. Il est magique. Sérieusement. Je l’ai testé lors de mon dernier trek de 15 jours dans les Alpes.

PS: Évitez de faire votre lessive à côté du campement des autres randonneurs. On sait jamais. Certains sont susceptibles. Ou alors ils ont un reniflard bien aiguisé.

Comment se laver les dents en voyage ?

Brosse à dents. Mini tube. C’est tout.

Voyage léger. Priorité.

Fil dentaire. Plus efficace. Moins encombrant. Essentiel.

Eau. Rare ? Lingettes. Solution de secours. Goût désagréable.

Mon kit : Brosse bambou. Biodégradable. Tube rechargeable. Respectueux de l’environnement.

Problème de place ? Sac à cosmétiques. Rangement optimisé. efficacité

  • Dentifrice solide.
  • Brosse à dents pliable.
  • Mini flacon de bain de bouche (optionnel).

Sac à dos. Poids plume. Sac à main. Adaptations.

L’hygiène, une question de choix. Pas de compromis.

J’ai perdu mon dentifrice au Pérou, l’année dernière. Solution? Un peu de bicarbonate de soude.

Considérations supplémentaires:

  • Eau potable: Accès primordial. Alternative : lingettes.
  • Durée du voyage: Quantité de produits adaptée.
  • Conditions de voyage: Randonnée vs. séjour hôtel.

Comment se laver en survie ?

Se laver en situation de survie, c’est un peu comme méditer en pleine tempête : un défi, mais pas impossible. Voici une approche pragmatique :

  • Source d’eau: Un récipient fait l’affaire (gamelle, gourde…).
  • Mouillage: On s’humidifie partout, des cheveux aux dents (oui, avec de l’eau potable).
  • Savon biodégradable: Indispensable pour respecter l’environnement. Application directe ou via un gant.
  • Rinçage: Avec parcimonie, toujours avec l’eau du récipient.
  • Évacuation: On jette l’eau usée dans un trou creusé à cet effet, loin des sources d’eau.

Pourquoi un trou? Parce que la décomposition naturelle est notre amie. Et puis, se sentir propre, même en pleine nature, ça booste le moral. C’est un peu philosophique, mais l’hygiène, c’est aussi une forme de respect de soi, non?

Comment se laver les dents en bivouac ?

C’est vrai, se laver les dents en bivouac…

  • Le matin, le soir, brosser, c’est sûr. Comme à la maison, quoi. Matin et soir, c’est la base.

  • Rincer après avoir mangé. L’eau suffit, même froide.

  • Brossettes pour enlever les bouts de nourriture coincés. Ou un cure-dent, ça marche aussi. J’en ai toujours.

  • Toilettes intimes. Tous les jours, vraiment.

  • Lingettes intimes, si pas d’eau. Les miennes sont à l’aloe vera, plus douces. J’ai une peau… particulière. Je préfère celles pour femmes, plus neutres.

Où se laver en bivouac ?

Aout 2023, Forêt de Fontainebleau. 35 degrés, soleil de plomb. J’avais trouvé un coin parfait, au bord d’un petit ruisseau, caché sous des chênes. Parfait pour planter ma tente, un peu crade après trois jours de rando. Mais l’eau…

Le ruisseau, il était minuscule, à peine un filet d’eau. Pas question de me doucher dedans, même pas les pieds. J’avais ma petite réserve, deux litres, à peine suffisant pour boire.

J’ai fini par utiliser des lingettes humides, une catastrophe. Sentiment de crasse persistante. L’eau, c’est vraiment essentiel.

Plus tard, j’ai vu un groupe, ils avaient un gros bidon d’eau. Ils ont rempli des bassines et se sont lavés. J’étais verte. J’aurais du prévoir ça.

Prochaine fois, bidon d’eau conséquent.

  • Lieu: Forêt de Fontainebleau
  • Date: Août 2023
  • Problème: Eau insuffisante pour se laver.
  • Solution improvisée (ratée): Lingettes humides.
  • Solution observée: Gros bidon d’eau, bassines.
  • Leçon apprise: Prévoir plus d’eau!

Mon sac à dos, c’était un modèle de chez Decathlon, bleu nuit. Je me souviens de la galère pour trouver un endroit plat pour la tente. J’ai même failli me planter le piquet dans le pied. Ouf !

Quel shampoing pour se laver dans la nature ?

Shampoing nature ? Putain, quelle galère ! Rivere… Alors là, j’ai utilisé le Fortif. Ouais, celui-là.

  • Fortif, c’est ça. Pratique, hein ? Un seul pour tous. Moins lourd dans le sac.

Trop cher ? Peut-être. Mais bon, j’adore son odeur, dis donc.

  • Poudre d’ortie… Bof, on verra bien l’effet sur mes cheveux. J’ai les cheveux longs, c’est la misère à sécher après.

Et les huiles essentielles, non, zéro. Allergique, moi ? Non. Juste que ça pue parfois.

Sinon, shampoing solide ? J’y ai pensé. Mais c’est galère à utiliser en pleine nature, surtout avec mes mains gelées.

Question existentielle du jour : est-ce que je lave vraiment mes cheveux assez souvent ? Non.

  • Sans huiles essentielles, c’est important pour l’environnement, paraît-il. Ou alors c’est moi qui le crois.

J’ai perdu mon tube de Fortif d’ailleurs. Où est-il ? Ah zut, merde. Faut que j’en rachète un. Plus de shampoing. Catastrophe.


Informations supplémentaires (pour moi):

  • Date d’achat du Fortif : 17 août 2024 (Intermarché)
  • Prix: 12€
  • J’ai aussi utilisé un shampoing solide une fois, marque “Savonnerie artisanale de la vallée” (cadeau). N’ai pas aimé.
  • Je devrais essayer un shampoing bio, plus écologique. Mais lequel ?
#Dents #Hygiène #Trekking