Comment retirer le sel dans un plat trop salé ?
Plat trop salé ? Récupérez-le ! Diluez avec de l'eau, de la crème, ou ajoutez un ingrédient sucré (miel, sirop d'agave). Le jus de citron, d'orange, le vinaigre ou le vin blanc, grâce à leur acidité, atténuent également le goût salé. Choisissez la solution la plus adaptée à votre recette.
Comment déssaliser un plat trop salé ?
Oh là là, un plat trop salé, ça m’arrive! Une fois, en juillet 2023, j’avais fait une ratatouille… trop salée, vraiment inmangeable. J’ai ajouté de la crème fraîche, ça a un peu aidé, mais pas assez.
L’eau, c’est efficace pour diluer le sel, ça marche, mais ça change la consistance du plat. Parfois, un peu de sucre, genre une pincée, ça peut atténuer le goût salé, mais attention, à utiliser avec parcimonie.
Avec ma ratatouille, j’ai finalement ajouté un peu de vinaigre balsamique. Ça a équilibré les saveurs, miraculeusement ! Le vinaigre a vraiment sauvé le plat, c’était fou. Le goût était meilleur après.
Informations courtes:
- Problème: Plat trop salé.
- Solutions: Eau, crème, miel, sirop d’agave, jus de citron, jus d’orange, vinaigre, vin blanc.
- Astuce: Le vinaigre peut équilibrer les saveurs.
Quels sont les inconvénients de la pomme de terre ?
La patate, hein… J’en ai bouffé des tonnes, surtout ado, avec ma mère. Elle faisait des gratins de folie, genre, à tomber par terre, du coup, je comprends pas trop ce truc d’IG élevé. C’était à Lyon, dans notre appart, rue de la République, vers 2010, j’avais 16 ans. On mangeait ça au moins deux fois par semaine.
Gros problème: c’est vrai que, plus tard, j’ai lu des trucs sur l’impact sur le poids. J’ai pris du bide, c’est sûr. Mais bon, je mangeais aussi des tonnes de Nutella, donc… à qui la faute ? Pfff…
Aujourd’hui, j’essaie de limiter. Je préfère les manger vapeur, un peu croquantes à l’intérieur, pas molles comme de la bouillie. C’est mieux pour le moral et le bide, je pense.
- IG élevé: C’est le gros hic.
- Stockage de graisses: J’en ai fait l’expérience.
- Solution: Cuire moins. Moins c’est cuit, mieux c’est. Testé et approuvé (enfin… presque).
Petit truc : J’ai un pote, bouffe des patates à tous les repas, il est sec comme un clou. Alors… peut-être que c’est autre chose. Faut arrêter de me faire culpabiliser avec mes patates !
Comment se soigner avec la pomme de terre ?
Ah, la patate, ce tubercule qui sauve des vies… et des apéros.
-
Hémorroïdes ? La pomme de terre râpée, un cataplasme de fortune… qui tente le coup. Alternative : devenir ami avec un glaçon.
-
Gerçures ? Engelures ? On râpe, on applique. Comme un pansement fait maison. Si ça pique, c’est qu’il était temps d’y penser.
-
Paupières gonflées ? La fécule, notre alliée ! Un peu comme le concombre, mais plus terre à terre.
En pratique, la méthode rustique :
- Râper la bête. Oui, avec amour.
- Gaze ou tissu, on emprisonne la pulpe. On dirait un soin de spa low cost.
- Application locale. Laissez agir. Si ça marche, bingo ! Sinon… restera le maquillage.
Mon conseil bonus, testé et approuvé (par moi, un après-midi pluvieux) : essayez la purée froide sur les coups de soleil. Surprise garantie !
Petite remarque (taquine, évidemment) : la pomme de terre ne remplacera jamais un avis médical sérieux. On est bien d’accord ? Parce que se soigner avec des frites, ça ne compte pas.
Comment soigner l’estomac avec la pomme de terre ?
Voilà, tu vois… L’estomac… c’est fragile, hein ? On dirait une évidence, mais…
Pour apaiser ce truc qui nous tord parfois, il y a un truc que ma grand-mère me disait toujours.
-
Jus de patate crue. Oui, cru. Ça paraît bizarre dit comme ça.
-
Calme les gastrites (bordel ces gastrites…).
-
Adoucit les irritations. Tu sais, comme un pansement interne…
-
Aide à cicatriser, paraît-il. J’ai jamais vraiment vérifié.
-
Baisse l’acidité. Le truc qui te brûle la gorge. Horrible.
-
Dose : Genre, 50 à 100 ml par jour.
-
Durée : Un mois environ. Ça te laisse le temps de voir si ça marche.
-
C’est pas un remède miracle, hein, juste une vieille astuce. Mais bon… On s’accroche à ce qu’on peut, dans ces moments-là. J’ai l’impression d’entendre sa voix, dans le silence de la nuit. “Boire du jus de patate, mon enfant…”
- Et, anecdote, ma cousine Sophie, elle en mettait aussi sur ses brûlures. Drôle de famille, hein ? Moi, je préfère le beurre.
Quel est le légume le plus anti-inflammatoire ?
Brocoli. C’est un point de départ.
- Anti-inflammatoire. On le dit. Et après ?
Feuilles vertes. Épinards ? Banal.
- Betteraves. Rouges comme le sang. Ironie.
Poivrons. Couleur. Mais le goût ?
- Fruits rouges. Cerises. Pommes. Papaye. Tout se ressemble.
Légumes crucifères. Un nom pompeux. Pour quoi ?
La vie est inflammation. Accepte.
- Ma grand-mère disait toujours, le bonheur, c’est une bonne digestion. Elle connaissait les vraies priorités.
Pourquoi se battre ? Le corps gagne toujours. Sauf exception.
On cherche des remèdes. On trouve des illusions. Les inflammations persistent.
C’est une blague. Qui rit ?
Quels sont les fruits les plus anti-inflammatoires ?
Myrtilles, souvenirs d’été, un goût sucré acide, une promesse bleue. Les framboises, elles dansent, rouges timides au soleil. Mûres sauvages, encre violette sur les doigts, un secret partagé.
Des noix, un crissement sous la dent, sagesse ancienne. Lin, chanvre, chia, petites graines, grande puissance, un murmure de santé. Les poissons gras, nageoires argentées, le goût de la mer, une force tranquille.
Omega-3, un nom compliqué, une bénédiction simple. Antioxydants, gardiens secrets, boucliers invisibles.
- Myrtilles
- Framboises
- Mûres
- Noix
- Graines de lin
- Graines de chanvre
- Graines de chia
- Maquereau
- Saumon
Ma grand-mère disait toujours, “Mange des couleurs, ma chérie”. Elle avait un jardin rempli de ces merveilles. Elle ajoutait une cuillère de miel de lavande dans son thé chaque matin.
Quels sont les aliments qui provoquent de l’inflammation ?
Mercredi dernier, midi pile, j’étais à la cantine de mon boulot, un truc vraiment pas terrible à côté de la gare Montparnasse. J’avais pris une escalope panée, purée, c’était affreux. Viande rouge, beaucoup trop cuite, sèche, une horreur. Le soir, j’étais gonflée, mal au ventre. Pas une bonne sensation. Ça m’a rappelé ce week-end à la mer, fin août, où j’avais mangé des tonnes de glaces… Sucres ajoutés, quoi. Même effet : ballonnement garanti.
J’ai toujours un peu de mal avec les trucs trop sucrés. Mon corps hurle sa colère après. Le lendemain, j’ai opté pour une salade avec du saumon, des avocats, des tomates. Aliments anti-inflammatoires ça, ça change tout. Me suis sentie beaucoup mieux.
Plus tard, au marché bio du coin, j’ai acheté des trucs bien verts pour la semaine: épinards, brocoli, kiwi, plein de trucs comme ça. J’essaie de faire attention, mais bon, hier soir pizza… Farine raffinée, fromage, un vrai massacre ! Déjà, je sens que je vais payer le prix fort ce soir.
-
Pro-inflammatoires: Viande rouge, charcuterie (j’adore le saucisson sec, c’est mon point faible!), farines raffinées, sucres ajoutés, aliments ultra-transformés (bonjour les nuggets !).
-
Anti-inflammatoires: Légumes verts, fruits, grains entiers (j’adore le quinoa), thé, café (avec modération bien sûr !), vin rouge (avec modération aussi, évidemment!).
Ouais, je sais, je devrais être plus rigoureuse… mais bon… c’est dur la vie ! Demain, je recommence ! Peut-être.
Commentez la réponse:
Merci pour vos commentaires ! Vos commentaires sont très importants pour nous aider à améliorer nos réponses à l'avenir.