Comment boire un flasque de running ?

Comment boire un flasque en courant ? Ah, cette question, elle me hante à chaque sortie, surtout quand il fait chaud, vous voyez ? On transpire, on a soif, et là, le drame… Comment faire sans s’arrêter toutes les cinq minutes ?

Plusieurs options, évidemment, mais franchement, elles ne se valent pas toutes. On m’a dit, par exemple, “porte-bidon”, comme si c’était aussi simple que ça! Mais moi, avec mon allure de tortue, je trouve ça carrément galère. Imaginez : la secousse à chaque pas, le bidon qui cogne, j’ai failli me vautrer plus d’une fois, je vous jure!

Alors, le flasque, oui, c’est la solution idéale. Enfin, pour moi. Dans la poche avant, c’est parfait, discret, accessible. J’ai même acheté un truc hyper-léger, une marque que j’ai vue sur une course, je crois que c’était… comment ça s’appelait déjà… bref, un truc super pratique.

Ah, et les poches à eau ? Oubliez. J’ai essayé, une fois. C’était catastrophique. D’abord, le tube qui se prend dans le dos, la pipette qui fuit, et puis l’eau, chaude comme de la soupe après 30 minutes de course… non merci! Quel cauchemar! On parle quand même de 700 ml de liquide tiède sur les reins. J’ai vraiment souffert ce jour-là, je vous le dis.

Gourde à la main ? Encore moins! On dirait que je suis au collège à faire de l’athlétisme (la honte!). Et la bouteille isotherme, ça sert que pour des marathons extrêmes, je pense. Au moins, l’eau reste fraîche, mais c’est lourd comme tout.

Donc voilà, mon avis, en toute franchise et après plusieurs années à courir (avec plus ou moins de réussite, faut être honnête!): le flasque, en poche avant, c’est le top du top. Facile, pratique, on boit sans s’arrêter, bref, le Graal pour une coureuse comme moi, qui rêve de finir une course sans ressembler à un radis desséché. Si vous avez d’autres astuces, par contre, je suis toute ouïe!