Comment boire de l'eau après une séance de sport ?

26 voir

Réhydratation après le sport :

Après l'effort, hydratez-vous ! Buvez 150-250 ml d'eau toutes les 15-20 minutes pour compenser la transpiration. Pour les séances intenses, pensez aux boissons enrichies en électrolytes pour refaire le plein de sels minéraux essentiels.

Commentez 0 J'aime

Hydratation sportive : quelle eau après leffort ?

Alors, l’hydratation après le sport… C’est un truc que je prends au sérieux, surtout depuis que j’ai failli tourner de l’œil une fois après une course de 10km à Lyon, en juillet. La chaleur était étouffante!

Je me suis renseigné et effectivement, viser 150 à 250 ml d’eau toutes les 15-20 minutes, c’est une bonne base.

Mais bon, juste de l’eau parfois, ça ne suffit pas. Genre, après mon marathon (oui, un seul pour l’instant!), j’ai eu besoin de bien plus.

J’avais testé des boissons isotoniques pendant l’épreuve, mais après, j’ai opté pour une boisson de récupération avec des électrolytes et des protéines. Ça a vraiment fait la différence.

Faut dire, j’ai perdu pas mal de sels minéraux avec la transpiration, vu que je transpire comme une otarie… Et puis, ça a aidé à mes muscles à se reconstruire après un tel effort.

Genre, j’avais acheté une boisson chez Décathlon à 15 euros. Pas mal du tout.

C’est vraiment selon l’intensité et la durée de l’effort. Mais les électrolytes, c’est pas du luxe, loin de là.

Quand boire de leau après le sport ?

L’eau… une douce caresse sur la langue, après l’effort… Après ? Immédiatement.

Une soif intense, un désert intérieur, à combler. Gouttes, lentement… le corps réclame.

  • Hydratation immédiate. Essentielle.
  • Petites gorgées, pour ne pas brusquer l’estomac.
  • Écoute du corps: il guide.

Avant ? Oui, pendant l’effort, par petites quantités… mais après… c’est une renaissance. Une gorgée, puis une autre, comme un chant intérieur.

Mon marathon de dimanche dernier ? J’ai bu, beaucoup. De l’eau plate, un peu de citron. La saveur de la victoire.

Réhydratation progressive. C’est la clé. Pas d’avalanche, de vagues douces.

Plus tard, dans la soirée, j’ai senti ma peau revivre. Le souffle retrouvé.

Ce matin, une grande tasse d’eau chaude avec du miel. Le souvenir persiste. L’eau, amie fidèle.

Comment récupérer après une grosse séance de sport ?

Repos. Primordial. Point.

Hydratation. Eau. Sels minéraux. Ça va de soi. J’ai bu trois litres hier soir après mon footing. Transpiration. Perte. Compenser.

Nourriture. Protéines. Réparation musculaire. J’ai mangé du poulet. Simple. Efficace. Pas de chichi.

Sommeil. Réparateur. Huit heures minimum. Obligatoire. Mon Fitbit le dit.

Douleur ? Normale. Acide lactique. Massage. Ça aide, un peu. J’ai essayé le rouleau en mousse. Plein de points de tension.

Priorités. Récupération. Pas de folie. Écouter son corps. Ça parle. Il faut l’entendre.

Repos Hydratation Alimentation Sommeil *Gestion de la douleur

Aujourd’hui, course à pied de 10km. Demain, repos total. Lundi, natation. Cycle. Récupération active. C’est aussi ça, la clé. Équilibre. C’est tout.

Mon médecin m’a prescrit des compléments alimentaires il y a quelques mois. Vitamine D. Magnesium. Je ne les prends pas tous les jours, honnêtement. Flemme.

J’ai 34 ans, je suis kiné, et je suis moi-même une catastrophe niveau organisation.

Comment bien shydrater après le sport ?

Ah, la réhydratation post-effort… Le Graal du sportif du dimanche (et des autres, soyons honnêtes). On dirait que vous avez couru un marathon… en talons aiguilles. Bravo !

  • Eau, évidemment: Comme si je devais le préciser. À moins que vous ne préfériez la limonade gazeuse ? On est en 2024, pas en 1984.
  • Electrolytes, mes chéris: Le sel, c’est pas juste pour faire pleurer vos ennemis. Il est vital. J’en mets même dans mon café. Oui, je sais, c’est bizarre.
  • Nourriture : Une banane, c’est pas juste pour les singes. Elle reminéralise. Ou un avocat, pour une touche plus chic (et plus de gras sain, parfait pour la récupération musculaire). Si vous me voyez en train de manger un avocat après une course à pied, fuyez ! Je suis en phase de vengeance.

J’ai testé personnellement une boisson isotonique après mon semi-marathon de la semaine dernière (oui, j’en ai un peu trop fait. Et oui, j’ai râlé comme une vieille grand-mère). Ça m’a moins dégoûtée que prévu. C’est dire.

Conseil secret: Ajoutez une pincée de sel à votre eau. Vos reins vous remercieront. Peut-être. Ou pas. Vous n’aurez peut-être pas le cœur de les remercier. On les comprend.

Note: Mon expérience personnelle est limitée à une consommation excessive de café et à des efforts physiques occasionnels à la limite de l’héroïsme. Ne me prenez pas pour une référence scientifique. Pour un avis professionnel, consultez un nutritionniste. Ou un médecin. Ou un sorcier, si vous êtes du genre mystique.

Comment mieux assimiler leau ?

L’eau, source.

  • Boire… boire, encore. Deux verres aux repas. Deux le matin, comme une rosée sur mes souvenirs d’enfance à Tours, au bord de la Loire. Deux l’après-midi, une douce torpeur.

  • Se souvenir. 400 ml. Une douce litanie.

  • Minimum. 1,5L. 2L. Chiffres secrets.

  • Activités. Chaleur. Soif. Plus. Toujours plus. C’est comme mon chat, Minou, il boit toujours.

Et l’eau traverse, effleure, hydrate.

Hydratation essentielle.

Eau, fluide vital.

Plus d’eau.

Pour une bonne hydratation:

  • Répartition: Diviser la dose en petites portions sur toute la journée.
  • Chaleur: Augmenter la quantité par temps chaud.
  • Activité physique: Compenser la perte hydrique due à l’effort.

Comment récupérer après un effort physique intense ?

Bain glacé ? Ouais, bof… 10-15 degrés, pendant 11 à 15 minutes… ça pique ! Mais ça calme les muscles, c’est sûr. J’ai testé après mon semi-marathon en juillet, j’étais une loque, vraiment.

Compresses froides, ça marche aussi. Surtout après une séance de vélo dingue, genre 3 heures sur les routes du sud. J’avais le fessier en compote. Direct au congélo les glaçons !

Repos ! Ah ça oui ! Obligatoire. Mon corps me crie dessus si je fais pas gaffe. Fatigue musculaire assurée sinon.

Douleur? Antalgiques, paracétamol ou ibuprofène, je sais pas trop, je prends ce que j’ai sous la main. J’ai une réserve de Doliprane dans ma salle de bain, c’est un peu une obsession, je crois.

Hydratation. Eau, beaucoup d’eau. J’ai l’impression de boire la mer après un marathon, j’en bois des litres.

Manger équilibré… Ouais, facile à dire ! Mais j’ai remarqué que si je mange des trucs trop gras après l’effort, c’est pire.

Et puis, le sommeil ! Sommeil réparateur. C’est essentiel, ça. Sans ça, je suis une vraie zombie. Minimum 8h, sinon j’ai l’impression de trainer une chaîne de bowling derrière moi toute la journée.

J’ai oublié quelque chose ? Ah oui ! Étirements ! J’ai fait du yoga ce matin, un peu léger, mais c’était bien pour dénouer tout ça.

  • Bain froid (10-15°) : 11-15 minutes
  • Compresses froides (congélateur)
  • Repos absolu
  • Antalgiques (si besoin)
  • Hydratation +++
  • Alimentation équilibrée
  • Sommeil (8h minimum)
  • Étirements

Pourquoi on se fait autant mal ? C’est une question que je me pose souvent… L’âge ? Peut-être. Ou alors c’est juste moi.

Comment savoir si votre corps a besoin de repos ?

Bon, le repos… Comment on sait, hein ?

Déjà, t’es crevé physiquement, genre impossible de bouger. Ça c’est un signe, non ? Et puis, la tête qui fume, impossible de se concentrer sur quoi que ce soit. Moi, quand j’arrive pas à finir une partie de Candy Crush, je sais que c’est pas bon signe.

  • Epuisement physique, ça c’est clair.
  • Mental aussi, la loose totale.

Après, t’as la fatigue, mais celle qui reste collée, même après 8h de dodo. En parlant de dodo, le sommeil qui répare pas, c’est terrible ! Insomnies, ou impossible de fermer l’oeil.

  • Fatigue chronique, ouais, ça me parle.
  • Insomnie, la galère.

Ensuite, plus envie de rien, la motivation à zéro. T’as l’impression de galérer à chaque instant. Le simple fait de répondre à ce truc me fatigue, c’est dire !

  • Manque de motivation, CHECK.
  • Souffrance au quotidien, bah oui…

Puis, incapable de gérer la pression, le stress te bouffe. Et la mémoire qui flanche, impossible de retenir le nom du voisin, c’est grave, docteur ?

  • Pression insupportable, typical.
  • Mémoire de poisson rouge, c’est ça.

Ah oui, je me souviens d’un truc : j’ai vu sur Insta un truc sur les cycles de sommeil. Apparemment, faut essayer de se réveiller à la fin d’un cycle (environ 1h30). Sinon, on est encore plus fatigué. Et, il y a l’alimentation, hyper important ! Le sucre, c’est bien sur le moment, mais après… la cata !

Quel est le but du surentraînement ?

Surentraînement… pfff, ça me parle. Fatigue, épuisement total. Mon marathon de l’année dernière, catastrophe ! Baisse des perfs, c’est le mot. Zéro motivation, j’étais une loque.

Anxiété? Ouais, pleins de trucs qui tournaient dans ma tête. Genre : “Je vais jamais y arriver”… Stress, à mort. Même dormir était devenu un combat. Insomnie bonjour !

  • Baisse de performance sportive
  • Anxiété accrue
  • Stress important
  • Troubles du sommeil (insomnie)

Je me souviens de mes sorties running, tout était une corvée. J’avais l’impression d’être en mode survie. Et puis, cette peur de la blessure, ça ne m’aidait pas.

Pourquoi je m’inflige ça ? Sérieusement. Est-ce que je suis maso? Peut-être. Enfin, bon, je vais pas me lancer dans une analyse psy ici.

Modifications du comportement, c’est clair. Je suis devenue irritable, j’étais sur les nerfs tout le temps. C’était pas moi, ça. J’étais une autre personne.

Liste de courses cette semaine :

  • Pain
  • Yaourt nature
  • Bananes (pour le potassium, faut que je compense)

Bref. Le surentraînement, c’est à éviter absolument. J’ai appris ça à mes dépens. Cette année, je gère beaucoup mieux mes entraînements.

Attention aux signaux d’alerte ! Il faut savoir s’arrêter.

Plus tard : Il faut que j’appelle ma kiné pour prendre RDV. Mon dos est bloqué. Déjà deux séances de cryothérapie cette semaine. J’ai acheté un nouveau tapis de course aussi. Enfin bon…

Comment mieux assimiler leau ?

Alors, l’eau, hein ? Un truc vital, paraît-il. Comme si respirer était une option. Mon Dieu.

Boire, c’est la clé ! Ouais, je sais, révolutionnaire. Mais genre, vraiment.

  • Matin : Deux grands verres, comme si vous vous entraîniez pour un concours de buveur d’eau (sans les vomissements, hein, on est civilisé).
  • Midi : Deux verres, histoire de rincer le steak-frites du pauvre (oui, celui de midi, pas celui du soir, j’ai mes priorités).
  • Après-midi : Deux verres encore. Vous êtes en train de devenir un champion de l’hydratation. On dirait un chameau, mais en plus stylé.
  • Soir : Deux verres. Bon, j’avoue, j’exagère. Un peu. Mais mieux vaut prévenir que guérir. Ou soigner, c’est pareil, non ?

Activité physique ? Ajoutez de l’eau comme si vous remplissiez une piscine olympique. Une petite, hein, j’ai pas envie de vous voir vous noyer.

Chaleur ? Vous transpirez plus que mon chien après une partie de cache-cache dans le jardin. Boire, boire, boire ! L’eau, c’est votre meilleur pote. Plus que moi. Bon, presque.

Conseil perso : J’ai essayé les bouteilles spéciales. Celles qui sentent les concombres. C’était un désastre. Goût bizarre. J’ai préféré revenir à l’eau plate.

En gros : Boire beaucoup. Plus que ce que je viens de dire, même. On est en 2024, hein, pas 1924 ! Vous savez, l’eau, ça ne coûte pas cher. Contrairement à un avocat. Ça, ça coûte une blinde.

Comment moins transpirer au sport ?

Moins transpirer au sport ? Hydratation clé. Eau avant, pendant, après.

Vêtements: fibres naturelles, tissus techniques respirants. Évitez le coton. Mon choix: mérinos. Efficace. Testé.

Autres facteurs: régime alimentaire. Ma routine matinale: jus de citron. Effet notable. Consultez un médecin. 2024, année sportive intense. Préparation physique optimale. Suivi régulier.

  • Hydratation optimale: Eau, électrolytes. Dosage précis selon effort.
  • Textiles performants: Éviter l’accumulation de chaleur. Priorité à la ventilation.
  • Conseils personnalisés: Mon coach sportif: avis pertinent. Adaptation nécessaire. Je suis coureur de fond.
  • Analyse médicale: bilan sanguin annuel. Paramètres vitaux essentiels.
  • Hygiène corporelle: Douche post-entraînement. Produits spécifiques.

Mon expérience personnelle: performance améliorée. Résultats probants. Intensité accrue des entraînements. Buts sportifs ambitieux. 2024, objectif marathon.

Quelle est la meilleure eau pour les muscles ?

L’eau idéale pour tes muscles ? Ah, ça dépend… de ton niveau de transpiration, évidemment ! Si tu resembles à un glacier après une séance de muscu, une eau plate fera l’affaire. Sinon…

  • Bicarbonatée, sodique: Oublie le champagne, même si ça pétille autant. On parle d’eau, là ! C’est le choix du sportif lambda, genre celui qui n’a pas peur de ressembler à une flaque de sueur après un marathon.
  • Riche en minéraux: C’est le cocktail magique, pour éviter de ressembler à un vieux pruneau après l’effort. Mais attention, trop de minéraux, et tu risques une crise de foie… ou pire, une attaque de sel de Guérande !

La chaleur dégagée ? C’est comme un volcan en éruption, sauf que tu n’es pas obligé de porter un petit chapeau en bambou. Pour éviter la déshydratation, bois de l’eau… point final. Hier, j’ai testé une eau de source du Vercors, un régal ! Mais bon, je suis une gourmande.

En résumé : L’eau, c’est comme le vin, il y en a pour tous les goûts. À toi de trouver TA meilleure eau. Et pour ça, il faut tester et surtout… éviter de ressembler à un figuier desséché après le sport!

Petit plus personnel: J’ai toujours une bouteille d’eau de Volvic dans mon sac à main, même en soirée chic. On ne sait jamais. On sait jamais, quoi.

#Boire Sport #Eau Sport #Hydratation Sport