Comment ne pas perdre 3 jours de carence ?

Comment éviter les 3 jours de carence en France : astuces et conseils ?

Oh là là, ces trois jours de carence… un vrai casse-tête ! J’ai galéré moi-même, en octobre 2023, grosse grippe, toujours malade après 2 jours, et le médecin m’a arrêté. La galère pour les papiers, et puis l’angoisse de la perte de salaire… ça énerve.

Heureusement, il y a des exceptions. Accident du travail, ou maladie pro, là, c’est nickel, pas de carence. J’ai vu un copain, plombier, se blesser au dos en mars, il a été indemnisé direct, sans attendre.

Concernant les maladies longues, c’est un peu plus flou, dans ma tête en tout cas. Apparemment, ça s’applique pendant trois ans, mais après, je suis un peu perdue. Faut se renseigner à la sécurité sociale. La bureaucratie, c’est infernal!

Bref, pour éviter ces trois jours, l’idéal, c’est la prévention. Bien dormir, bien manger, éviter le stress au maximum, facile à dire, hein?

Informations courtes:

• Q: Y a-t-il des exceptions au délai de carence ?

• R: Oui, accidents du travail et maladies professionnelles.

• Q: Que se passe-t-il en cas de maladie de longue durée ?

• R: Délai de carence pour le premier arrêt seulement (sur 3 ans).

• Q: Comment éviter les 3 jours de carence ?

• R: Prévention (hygiène de vie, gestion du stress).

Comment se faire payer les 3 jours de carence ?

Euh… comment on se fait payer ces fameux 3 jours de carence ?

• IJ après 3 jours si tu coches les bonnes cases. Genre, tu respectes les conditions. Quelles conditions, d’ailleurs ? Faut que je regarde ça de plus près…

• Calcul basé sur le salaire brut. Logique, mais bon, toujours bon de le rappeler.

• Paiement tous les 14 jours après traitement du dossier. C’est long ! Presque deux semaines… Pfff.

Est-ce que je suis bien affilié à la bonne caisse primaire ? J’ai toujours des doutes avec tous ces papiers.

Et sinon, comment ça marche exactement le calcul ? Pour être sûr de pas se faire avoir…

Tiens, l’adresse d’Ameli… ça me rappelle que je dois renouveler ma carte vitale. Toujours remettre au lendemain, c’est malin ça.

• www.ameli.fr

Ah oui, et est-ce que c’est pareil pour tout le monde ? Les indépendants, les fonctionnaires… ça doit être différent, non ?

(J’espère que ça aide. Je me demande si j’ai bien compris la question, au final…)

Et ce fameux dossier, ils demandent quoi dedans ?

Infos supplémentaires :

• Conditions pour percevoir les IJ : Avoir cotisé suffisamment, avoir un arrêt de travail prescrit par un médecin, etc. Faut checker les détails sur Ameli. C’est pas toujours simple.
• Montant des IJ : En général, 50% du salaire journalier de base. Mais ça varie selon les conventions collectives.
• Indépendants : Conditions différentes, souvent moins avantageuses. C’est la jungle.
• Fonctionnaires : Régime spécifique, souvent plus favorable que les salariés du privé.
• Document à fournir ton numéro de sécu, un justificatif d’identité, ton arrêt de travail, ton RIB. Et parfois, il faut remplir un formulaire.
• Si tu es hospitalisé pendant ton arrêt de travail il y a des règles spéciales. Les IJ peuvent être impactées.
• Moi, je crois que je vais aller me faire un thé. C’est plus important que de comprendre tout ça tout de suite.

Est-ce que le week-end compte dans les jours de carence ?

Non, les week-ends sont inclus dans le calcul des jours de carence. C’est un point souvent mal compris. On se focalise sur les jours de travail, oubliant la réalité administrative. Un peu comme cette obsession de la productivité qui nous empêche de savourer le repos… philosophie à part!

• Indemnités journalières: Versées pour CHAQUE jour calendaire, week-ends compris. L’arrêt maladie, c’est un arrêt, point final.
• Droit au repos: Un droit fondamental, même si on est malade! Le système prend en compte la totalité de la période d’arrêt, indépendamment de nos obligations professionnelles.
• Exemple concret: Mon ami, infographiste freelance, a été arrêté 10 jours en avril. Il a touché ses indemnités pour les 10 jours, y compris les 2 week-ends.

Point important: Il faut vérifier les conditions spécifiques de sa convention collective, car des nuances existent selon le régime. Mais pour le régime général, c’est clair.

J’ai personnellement eu à me renseigner là-dessus l’an dernier à cause d’une vilaine bronchite… ça m’a appris des choses, surtout sur la complexité administrative… on dirait qu’on aime compliquer les choses.

Dernier truc : jours fériés inclus aussi. Je le sais de source sûre: mon assurance m’a payé pour le 1er mai, même si je suis resté chez moi à me lamenter devant une série Netflix.

Comment faire pour ne pas avoir de jour de carence ?

Ah, les jours de carence, ce fléau ! Évitez-les, c’est comme esquiver une belle-mère trop enthousiaste : un art.

• Prolongation maligne : Reprendre 48h, c’est court, mais stratégique. Imaginez, vous revoilà au bureau, juste le temps de dire “ah, ça va pas fort” et hop, prolongation ! C’est fourbe, mais efficace.

• ALD, l’assurance vie (enfin, presque) : Si votre santé est déjà… compliquée, bingo ! Les Affections Longue Durée vous ouvrent des portes. Pas idéal, mais mieux que rien.

Sinon, devenez fonctionnaire. Eux, ils savent vivre. (Je plaisante… à moitié !)

Saviez-vous que ma tante Gertrude a réussi à éviter les jours de carence pendant des années en simulant une crise d’appendicite chaque trimestre? (Ne faites pas ça, c’est illégal, et Gertrude est maintenant au bingo).

Pour les ALD, la liste est longue et… déprimante. Ça va de l’insuffisance cardiaque au diabète. La joie quoi!

Quand on est en arrêt maladie, on perd combien de jours ?

Six mois, c’est long… ou pas assez, selon les jours. J’ai déjà épuisé mes jours de congé… pff, cette année a été dure.

• Trois jours de carence, ça pique. Surtout quand on a déjà des soucis d’argent.

ALD… ça fait peur ce mot, on se sent vraiment… à part.

• Six mois minimum, c’est beaucoup, mais… à quoi ça sert si on est toujours malade après ? On dirait qu’ils jouent avec nos vies, parfois.

Trois ans maximum, j’ai jamais connu ça. Heureusement. Mais c’est une pensée qui me hante… un peu.

Mon frère, lui, a eu un arrêt long, il a dépassé les six mois… ça a été horrible. Il a dû vendre sa voiture.

• Les papiers, les démarches… un vrai cauchemar. Je ne sais plus trop combien de jours exactement ça a duré.

Je me suis demandé parfois, si j’avais pris des décisions différentes… cette angoisse est toujours là, la nuit. Cette maladie de mon père, puis la mienne après…

• J’ai passé la plupart de l’année chez le docteur, le kiné… j’en ai plus de mémoire. Les dates se mélangent.

C’est fou, non ? Tout ça pour des jours, des semaines, des mois… et puis au final, qu’est-ce qui reste ?

J’ai 38 ans, je travaille à la mairie, depuis 7 ans.

Comment être payé à 100% en arrêt maladie ?

Alors, être payé à 100% en arrêt maladie ? C’est la quête du Graal, non ? Disons qu’il y a des pistes, comme le maintien de salaire.

• Convention collective : C’est souvent là que ça se joue. Certaines, comme celle des Experts Comptables (je l’ai potassée pour un ami), offrent des conditions plus favorables que le minimum légal. Vérifiez la vôtre, elle pourrait être une mine d’or.

• Indemnités complémentaires : L’employeur peut compléter les IJSS versées par la Sécurité sociale. Mais souvent, ce n’est pas suffisant pour atteindre les 100%.

• Garantie incapacité de travail : C’est un contrat d’assurance souscrit par l’entreprise. Ça peut vraiment faire la différence.

Et puis, il y a cette réflexion : le travail, c’est la santé ? Pas toujours, hein. Parfois, se reposer, c’est aussi une forme de performance.

Une info en passant : Mon code postal, c’est le 34000. Ça n’a rien à voir, mais bon.

Comment est calculée la perte de salaire pendant un arrêt de travail pour maladie ?

Ah, la perte de salaire… une galère quand tu es malade. Je me souviens de cette fois, en 2023, j’avais une bronchite carabinée. Impossible de bosser.

Le calcul, c’est un peu flou, mais en gros :

• 50% de ton salaire journalier de base.
• Ce salaire, c’est la moyenne de tes 3 derniers salaires bruts.

En vrai, ils prennent ça avant ton arrêt maladie. Si t’es pas à temps plein, c’est peut-être calculé différemment, sur les 12 derniers mois. Bref, c’est jamais simple. L’année dernière, avec mon salaire variable, c’était une sacrée surprise de voir le montant des indemnités.

Et puis, n’oublie pas, il y a les jours de carence ! Ces jours ne sont pas indemnisés.

Comment connaître son délai de carence ?

Merde, mon attestation… Où est-elle ? J’ai fouillé partout ! Dans ce bordel de cartons, reste de mon déménagement raté du 17 juillet dernier, à côté de la vieille radio cassée que je devais réparer, depuis toujours… Je suis sûr de l’avoir rangée avec les papiers importants, mais là… rien. C’est fou le bazar qu’on peut accumuler.

Le 23 août, c’était ma dernière journée chez “Dupont et Fils”, l’usine de conserves. Pfff, ambiance de chiottes, mais bon, le chèque était sympa. Enfin, était… Il faut que je trouve cette putain d’attestation! J’ai tellement besoin de savoir quand commence mon délai de carence.

J’ai appelé Pôle Emploi, bien sûr. Des robots ! Une voix de synthèse m’a baladé pendant une heure, avant de me raccrocher au nez. Incroyable l’inefficacité ! J’ai l’impression d’être tombé dans un trou noir administratif.

Alors, je sais juste que c’est le lendemain de ma dernière journée, donc le 24 août. C’est marqué quelque part, je suis sûr. Dans un de ces tas de papier. Peut-être sur le certificat de travail? Je devrais le retrouver, j’espère…

• Date de fin de contrat: 23 août 2024
• Délai de carence commence: 24 août 2024
• Emploi précédent: Ouvrier, Dupont et Fils (conserves)
• Date de déménagement: 17 juillet 2024 (désastreux)
• Problème: Trouver mon attestation Pôle Emploi.
• État actuel: Stressé, en manque de café, et submergé par le bazar.

J’ai une autre question pour vous : comment est-ce que je retrouve un chat persan gris ? On m’a dit qu’il serait dans le quartier. Je ne sais pas où chercher… c’est un peu compliqué…

Pourquoi ai-je 7 jours de carence ?

Ah, les 7 jours de carence… un peu comme attendre le bus sous la pluie, non ? C’est votre employeur qui fait durer le suspense, disons.

• Vous êtes en arrêt, l’Assurance Maladie se fait désirer, et bing, voilà l’employeur qui entre en jeu !

• En gros, c’est l’indemnité complémentaire qui pointe le bout de son nez, pas de panique.

• Le site service-public.fr, c’est un peu la bible de l’administratif. Filez-y, rubrique arrêt maladie. Vous y trouverez des éclaircissements, promis !

Pensez-y : la paperasse, c’est comme le bon vin, ça se déguste lentement.

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