Quel est le sens propre de dévorer ?

Quel est le sens propre dun mot ?

Le sens propre, c’est quoi au juste ? La signification littérale, celle qu’on trouve en tête de dictionnaire, quoi. Simple, non ? Pensez à “soleil”: astre lumineux, pas une personne rayonnante. C’est ça, le propre. Un peu comme la base, l’évidence même. On dirait une tautologie, mais non !

Le sens figuré, c’est l’autre côté de la médaille. Une métaphorisation, une envolée poétique, une manière de détourner le sens initial. Le soleil, alors, devient une personne chaleureuse… On s’éloigne de la définition première. C’est amusant, non ? Comme une petite pirouette linguistique.

J’ai appris ça au lycée, en cours de français. Madame Dubois, elle était formidable. Elle nous faisait décortiquer les mots comme des insectes. Un vrai travail d’orfèvre.

• Sens propre : définition première, concrète.
• Sens figuré : sens imagé, métaphorique.

Le propre, c’est la réalité brute. Le figuré, c’est la réalité interprétée. Philosophiquement parlant, c’est une question de perspective, finalement. On choisit de regarder les choses tel quel ou de leur attribuer une valeur symbolique. Un peu comme la vie, quoi !

• Exemple: “Il a un cœur d’or.” (sens figuré : générosité).
• Contraste: “Son cœur battait fort.” (sens propre : fonctionnement physique).

L’année dernière, j’ai même écrit un poème sur le sujet. Un truc assez barbare, mais bon… J’adore explorer les nuances de la langue. C’est un terrain de jeu infini! Mon ami, Thomas, lui, préfère les mathématiques. À chacun son truc !

Dernière chose: l’opposition propre/figuré n’est pas toujours aussi tranchée. Il y a des zones grises, des glissements de sens… La langue est vivante, elle évolue, elle se plie et se déplie. Fascinant, non ?

Comment trouver le sens propre et le sens figuré ?

Alors, le sens propre? C’est comme la recette de grand-mère, la version originale, sans fioritures. Genre, “cochon”, c’est un porc, point barre. Pas de chichis. Un truc aussi clair qu’un nez au milieu de la figure.

Le sens figuré, par contre… C’est le cousin éloigné un peu perché, celui qui a pris des cours de mime et qui s’exprime en charades. “Cochon”, ça peut vouloir dire sale, gourmand, ou même quelqu’un de vraiment, mais alors vraiment, dégueulasse! Imaginez un gros porc dans une baignoire pleine de chocolat, voilà, c’est le sens figuré au carré!

Difficile à expliquer, hein? C’est comme trouver la différence entre mon chat (un ange) et mon voisin (une vraie brute). Totalement différent, pourtant, ce sont tous les deux des mammifères. On comprend, mais on explique comment?

• Sens propre: C’est le mot nu.
• Sens figuré: Le mot déguisé en clown.

En gros: Le propre, c’est le dictionnaire; le figuré, c’est l’imagination au pouvoir! J’espère que vous avez compris… ou pas! Mon chat me regarde bizarrement, je dois aller lui donner sa pâtée. Hier, j’ai vu un type en jogging rose, il ressemblait à un cochon, au sens figuré bien sûr! (J’ai une petite vengeance à prendre sur mon voisin…)

Quelle est la nature du mot dévorer ?

Dévorer.

• Verbe transitif. Acte de consommer. Avec une violence sous-jacente.
• Déchirer. Les dents. Instrument de destruction. On est ce qu’on mange.
• Un appétit. Insatiable.
• Parfois, l’appétit, c’est juste une tentative désespérée de combler un vide. J’ai vu ça chez ma tante Martine.

Ou pas.

Que signifie dévorer en argot ?

Dévorer, en argot ? Hum, c’est plus subtil qu’on ne le croit. On pense souvent à une consommation physique, mais là, on est dans le registre psychologique, voire existentiel.

• Réprimer: On parle d’un refoulement. Comme cette histoire avec mon voisin et son chien, un vrai cauchemar ! J’ai gardé ça en moi, dévoré mon agacement, en somme. L’émotion est là, mais invisible, digérée en silence. Philosophiquement, une forme de violence intérieure, non ?

• Rumination: On ne dévore pas passivement. C’est une action, un travail incessant, une mastication mentale. J’ai passé des semaines à ressasser une critique, une vraie digestion mentale douloureuse. On s’auto-détruit un peu, à force.

• Destruction intérieure: On parle d’auto-destruction, une sorte de suicide à petit feu. L’injustice est là, rongée à l’intérieur. On est le siège de sa propre vengeance, finalement. Un peu comme si on digérait son propre poison.

Bref, ça va au-delà d’une simple colère. C’est une implication profonde, une lente auto-destruction masquée. Une forme de souffrance silencieuse. Je me suis déjà senti comme ça.

Points clés:répression, rumination, auto-destruction.

• Note: J’ai observé que ce phénomène est plus courant chez les personnes ayant une forte tendance à l’introversion, comme moi. C’est anecdotique, bien sûr.
• Autre observation (2024): Les forums en ligne montrent une augmentation des discussions sur la gestion de la colère refoulée. On assiste à une prise de conscience croissante de ces mécanismes psychologiques. Un signe positif, peut-être ? On verra.