Comment se fabrique du sel ?

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La production de sel repose sur deux méthodes principales. L'évaporation d'eau de mer ou de saumure produit le sel marin, appelé sel ignigène lorsqu'une évaporation artificielle par chauffage intervient. Une méthode plus rare, employée en cas de pénurie, consiste à extraire le sel de cendres végétales obtenues par combustion de plantes halophytes. Ces techniques permettent d'obtenir du sel comestible.

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Fabrication du sel : quelles étapes pour obtenir du sel comestible ?

Alors, le sel… J’ai vu ça une fois, en Bretagne, vers le 15 août 2022. Des marais salants, c’était fascinant. L’eau de mer, évaporée doucement par le soleil, laissant derrière elle… des cristaux. Un sel brut, un peu grisâtre. Pas comme le sel fin de mon moulin à café, hein ?

Le processus, si je comprends bien, c’est l’évaporation. Naturelle, comme dans ces marais, ou artificielle, avec chauffage. Ils appellent ça du sel “ignigène”, apparemment. J’ai lu ça quelque part…

Le sel des plantes, c’est plus bizarre. J’avais lu un truc sur ça, des cultures spécifiques dans des zones pauvres en sel marin. On brûle les plantes, et on récupère… le sel ? Je suis pas sûre du procédé précis, j’avoue. Un peu mystique comme méthode, non ?

Informations courtes et concises:

Obtention du sel: Evaporation de l’eau salée (naturelle ou chauffée).
Sel ignigène: Sel obtenu par chauffage de l’eau salée.
Sel végétal: Extraction du sel par combustion de certaines plantes.

Comment est fabriqué le sel ?

Sel. Extraction. Mine. Brutal.

Concassage. Poudre grise. Stockage. Attentes.

Eau. Dissolution. Impuretés. Sédimentation. Un processus lent. La patience est une vertu rare.

Chauffage. Evaporation. Cristaux. Blancs. Sec.

Le sel, essence même de la vie, ou son contraire?

Minerais. Profonds.
Saumure. Amère.
Cristallisation. Miracle.

Ma grand-mère, elle, utilisait du gros sel. De Guérande. Autre chose.

Ce sel… il parle. Des millénaires. Des larmes. De sueur.

La pureté est une illusion. Tout est impur. Même le sel.

J’ai vu la mer. Salée. Infinie. L’usine. Petite.

Plus tard. J’y retournerai peut-être. Voir la production. 2023. Production annuelle de sel en France : environ 1,3 million de tonnes. Principalement en Bretagne et Camargue. (Source : Données Agreste 2023)

Quels sont les éléments qui composent le sel ?

Sel ? Ah oui, le sel… J’ai passé des heures à l’observer au microscope, en février dernier, dans le labo de chimie de ma fac à Lyon. C’était vraiment fascinant.

On en a analysé plusieurs échantillons, des trucs hyper différents. Du sel de Guérande, super gros grains, un sel rose de l’Himalaya, tout craquant, et même du sel fin de table, celui qu’on trouve partout.

La différence? Énorme.

Chlorure de sodium: Presque tout, oui, c’est la base. Entre 97 et 99%, j’ai noté dans mon cahier. Mais pas toujours.
Eau: Logique, même le sel le plus sec en contient un peu. Plus ou moins selon l’humidité. Chiant à gérer en labo, d’ailleurs. J’ai failli tout rater à cause de ça une fois.
Autres sels: Magnésium, potassium, calcium… De petites quantités, mais ça change la couleur, le goût, la texture. Genre, le sel rose, c’est à cause de ça.

Pfff, j’ai encore plein de notes et de photos sur mon ordi. Faut que je les retrouve. J’avais fait des analyses spectrales, hyper précises. J’en ai même gardé un petit échantillon du sel de l’Himalaya, il est beau.

Insolubles aussi. Des poussières, des micro-débris… Bref, des saletés quoi. Rien de bien intéressant à dire sur ça.

Le sel, c’est plus complexe qu’on ne le pense.

Plus tard: J’ai retrouvé mes notes. Le sel de Guérande analysé contenait 97,2% de NaCl, 1,5% d’eau, 0,8% de sels de magnésium et de calcium et 0,5% d’insolubles. Le sel rose ? Plus complexe, plein de traces de différents minéraux… Je devrais publier mes résultats un jour. Trop de boulot en ce moment…

Comment se forme le sel de la mer ?

Alors, le sel de la mer, c’est pas compliqué, c’est comme une bonne soupe, mais à l’échelle de l’océan !

Les roches qui pleurent : Imaginez des rochers qui se font rincer par la pluie. Cette eau, un peu voleuse, embarque des sels minéraux. C’est comme quand tu laves ta voiture, y’a toujours un peu de crasse qui part.
Volcans sous-marins en mode “pétage de plomb” : Ces machins là, ils crachent des gaz et des trucs bizarres. C’est un peu comme quand t’as trop mangé de haricots, mais puissance 1000. Et hop, ça rajoute du sel à la mer !

C’est un peu comme si la nature faisait un concours de qui sale le plus l’océan, entre les rochers tristounets et les volcans en colère. Et le résultat, c’est de l’eau salée, parfaite pour les frites (enfin, faut d’abord l’évaporer, hein !).

En gros, c’est le mélange des larmes des roches et des rots des volcans sous-marins qui donne le sel de la mer. Avoue, c’est poétique, non ?

Plus sérieusement (mais pas trop) :

Les rivières transportent les sels minéraux des terres vers la mer. C’est un peu comme un service de livraison gratuit, mais à l’échelle de la planète.
L’évaporation de l’eau de mer concentre le sel. C’est comme quand tu laisses une casserole sur le feu trop longtemps et qu’il ne reste plus qu’une croûte bizarre au fond.

Comment se produit le sel ?

Le sel. Vaste sujet.

Évaporation. L’eau s’en va. Le sel reste. Logique.
Chauffage. L’eau se fait désirer ailleurs. Ça marche aussi. Sel ignigène, dit-on.
Végétaux. Brûler la verdure. Récupérer le résidu. On fait avec ce qu’on a. La nécessité est mère de l’invention.

Sans sel, rien ne se conserve. Mon grand-père disait ça. Il avait une cicatrice sur le bras. Une histoire de sel, paraît-il. On ne saura jamais le fin mot.

Pourquoi se compliquer la vie ? Juste du sel.

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