Comment recadrer en douceur ?

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Comment recadrer en douceur ?

  1. Identifier le problème.
  2. Observer objectivement.
  3. Réunion constructive.
  4. Rappeler les faits avec bienveillance.
  5. Écouter et comprendre le collaborateur.
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Comment recadrer quelqu’un en douceur… Oh, ça, c’est une question que je me suis posée des dizaines de fois ! Surtout avec mon équipe, on est tous un peu… comment dire… des personnalités fortes, hein ? Alors, recadrer, ça demande de la finesse, une vraie diplomatie. Pas facile, croyez-moi.

D’abord, il faut identifier le problème. Là, c’est clair, pas besoin de grandes théories, juste sentir le truc, vous savez ? Comme cette fois avec Marc, il avait complètement dérapé sur le projet X, des délais ratés, des propositions… bon, disons originales, mais complètement irréalistes. J’ai senti le malaise monter, une petite boule dans l’estomac, le genre de boule qui vous dit “Il va falloir intervenir”.

Ensuite, l’observation objective… Facile à dire, hein ? En vrai, c’est du boulot. J’ai passé des heures à regarder ses rapports, à analyser son travail, à chercher à comprendre ce qui clochait. Pas juste le résultat, mais la manière dont il avait travaillé. Peut-être un manque de formation? Du stress ? Je me suis même demandée si son chien malade n’avait pas influencé son humeur (vous savez, j’ai un faible pour les histoires de chiens malades!).

La réunion constructive… Ah, le moment crucial ! J’ai choisi un café, en tête à tête, ambiance détendue. Pas de salle de réunion impersonnelle, non, on a parlé comme des gens normaux. J’ai rappelé les faits, avec bienveillance, oui, mais fermement. J’ai essayé de ne pas l’accabler, même si… honnêtement, j’avais envie de lui hurler dessus ! Mais bon, respirer, compter jusqu’à dix, vous connaissez la chanson.

Écouter et comprendre… ça, c’est peut-être la partie la plus importante. Marc m’a expliqué ses difficultés. Il était débordé, il avait peur de décevoir, et il a avoué avoir un peu paniqué. On a trouvé des solutions ensemble, on a ré-organisé son travail, et on a même mis en place un système de suivis régulier. Miracle, ça a marché ! Il a retrouvé le sourire, et le projet s’est finalement bien terminé. Ouf!

Bref, recadrer, c’est un art. C’est pas juste une liste de points, c’est une histoire humaine, avec des émotions, des frustrations, et parfois, beaucoup de café. Mais si on fait ça avec cœur, avec empathie, et un peu de patience… on y arrive ! Même avec les collaborateurs les plus… disons… “spéciaux”.