Comment calmer une crise de stress ?

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Oh là là, les crises dangoisse, je connais ! Ce que je fais, cest vraiment me mettre à lécart. Trouver un coin tranquille, quitte à appeler un ami pour me sentir moins seule. Surtout, je me dis que ça va passer. Je me concentre sur ma respiration, sur le moment présent, plutôt que de paniquer sur les symptômes. En voiture, par exemple, je préfère marrêter, respirer à fond, et attendre que lorage passe. Cest pas facile, mais ça aide !

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Comment calmer une crise de stress ? Pfff… Comme si c’était simple ! Ces montagnes russes émotionnelles, cette sensation d’étouffer, le cœur qui bat la chamade… Qui ne connaît pas ? Moi, en tout cas, je suis bien placée pour en parler.

Souvent, la première chose que je fais, c’est… fuir. Enfin, pas vraiment fuir, mais m’isoler. Trouver un refuge. Un petit coin tranquille, loin du bruit, loin des regards. Parfois, juste les toilettes ! On se sent tellement vulnérable dans ces moments-là… J’ai besoin de me retrouver seule, avec moi-même. Ou parfois, au contraire, j’appelle une amie. Juste entendre une voix familière, ça peut tout changer. Savoir que je ne suis pas seule face à cette tempête intérieure… ça rassure.

Et puis, je me répète inlassablement : “Ça va passer. Ça va passer.” Un peu comme un mantra, vous voyez ? Parce que, au fond, on le sait, hein ? Que ça finira par passer. Mais sur le moment, c’est tellement dur d’y croire… J’essaie de me concentrer sur ma respiration. Inspirer… expirer… Un truc tout bête, mais ça aide à reprendre le contrôle. Se focaliser sur le présent. Sur l’air qui entre et qui sort de mes poumons. Plutôt que de se laisser engloutir par la panique, par les “et si…” et les “pourquoi moi ?”. On se perd vite dans ce genre de pensées, non ?

Une fois, j’ai fait une crise de panique en pleine conduite. Sur l’autoroute. Un cauchemar ! J’ai dû me garer sur la bande d’arrêt d’urgence. J’ai juste respiré, respiré, respiré… Attendu que l’orage passe. Ça m’a pris bien 15 minutes, je crois. 15 minutes qui m’ont paru une éternité. Mais j’ai tenu bon.

C’est pas miraculeux, hein. C’est pas toujours facile. Il y a des jours où c’est plus dur que d’autres. Mais avec le temps, on apprend à gérer. On trouve ses propres petites astuces. Et on se dit que, bon, on n’est pas les seuls. Loin de là, j’imagine…