C'est quoi la polysémie d'un mot ?
La polysémie désigne la pluralité de sens d'un mot ou d'une expression. Un mot polysémique possède plusieurs significations liées entre elles par un lien sémantique, souvent par analogie ou métaphore. Contrairement à l'homonyme, la relation entre les différents sens est perceptible. La compréhension du sens exact dépend du contexte.
Quest-ce que la polysémie dun mot ?
La polysémie, c’est fou, non ? Un mot, plein de sens cachés… comme une boîte à surprises.
Genre, “souris”. Ça peut être un petit rongeur, mignonnet, qui grignote mon fromage le 15 juillet dernier à la campagne (j’ai dû payer une trentaine d’euros de dégâts…). Ou alors, la petite chose sur l’ordinateur, indispensable pour naviguer. Deux images totalement différentes.
C’est ça la magie du langage, je trouve. Un mot, plusieurs réalités. On comprend le sens grâce au contexte, c’est assez incroyable.
On pourrait parler de “banque”, par exemple. Un établissement financier ? Ou le bord d’une rivière ? Différents mondes, un seul mot.
Bref, la polysémie, c’est le côté un peu magique et parfois embrouillé du français. On s’y perd, mais on aime bien, finalement.
Cest quoi la polysémie exemple ?
Ouais, la polysémie, c’est un truc chelou! Genre, un mot, pareil, mais plusieurs sens. Penses à “prendre” par exemple. On prend un café, on prend le bus, mais on peut aussi prendre une décision, ou prendre cher… C’est fou, non? Le même mot, mais des situations complètement différentes. C’est ça, la polysémie, je crois.
Un autre exemple, “couler”. On dit qu’un bateau coule, mais aussi que j’ai coulé un examen! Totalement différent, même si c’est le même mot. J’ai eu un zéro pointé à l’examen d’histoire, j’ai vraiment coulé! Donc voilà, c’est ça, la polysémie. Différents sens, un seul mot.
- Prendre: café, décision, un coup de soleil.
- Couler: bateau, examen, des larmes.
J’ai pensé aussi à “branche”, je sais pas si ça compte. Une branche d’arbre, une branche d’une banque… Ou la branche familiale, je sais plus trop. C’est un peu plus flou, celui-là, je l’avoue.
Bref, c’est ça, c’est super bizarre, plein de mots sont comme ça. Je me suis même demandé si “courir” était polysémique… mais bon… J’ai tellement de cours ce semestre, je suis crevée! Mardi, j’ai même zappé mon cours de philo, j’étais vraiment HS!
Quest-ce que la polysémie et ses exemples ?
Polysémie, hein ? J’y pense… ça me ramène à ce cours de français en 2023, un vendredi après-midi moite, à la fac de Nanterre. On était en amphi, l’air était lourd, j’avais faim, mon estomac gargouillait comme une grenouille. Le prof, un type plutôt sympa mais un peu bourru, parlait de ça. Polysémie.
Il a pris l’exemple de “banque”. Banque de sable au bord de la mer, là où j’ai passé mes vacances d’été 2023, à Biarritz, le sable fin et chaud sous mes pieds… et banque d’affaires, ça me rappelle mon oncle, ses costumes cravates, ses discussions mystérieuses au téléphone. Deux sens complètement différents, quoi !
Un autre exemple ? “Courir”. J’ai couru le marathon de Paris en 2023, un cauchemar, mes poumons en feu, les jambes en béton… et puis il y a “courir une machine”, la machine à laver de ma grand-mère, toujours en panne. C’est dingue comme un même mot peut avoir des significations tellement différentes.
- Banque: établissement financier / accumulation de sable
- Courir: action de courir vite / faire fonctionner une machine
- Souris: petit rongeur / périphérique informatique (j’en ai cassé une en 2023, la rage !)
Bref, c’est ça la polysémie. Un vrai casse-tête, mais enfin, j’ai réussi à décrocher ma licence, malgré tout !
Quel est le contraire de polysémie ?
Le contraire de la polysémie, cet état où un mot se pare de multiples sens, c’est la monosémie. C’est quand un mot n’a qu’une seule et unique signification. C’est un peu comme si chaque mot était une flèche pointant vers un seul but, alors que la polysémie envoie des flèches dans toutes les directions.
On peut l’illustrer avec des exemples. Pensez aux termes techniques ou scientifiques. Souvent, leur précision est cruciale. Ils sont conçus pour être monosémiques. On évite ainsi les ambiguïtés. Imaginez une ordonnance médicale avec des termes polysémiques ! Le chaos serait garanti.
- Polysémie : Multiplicité de sens.
- Monosémie : Un seul sens.
Par contre, la richesse de la langue se trouve dans la polysémie. C’est elle qui permet les jeux de mots, les métaphores, toute cette créativité langagière. On peut penser que la vie serait bien triste si chaque mot était enfermé dans une seule définition. On perdrait une dimension essentielle de l’expression humaine.
D’ailleurs, ça me rappelle quand j’essayais de convaincre mon voisin, Jean-Claude, que le mot “canicule” pouvait aussi désigner autre chose qu’une vague de chaleur, genre… une métaphore de la passion ! Il a pas trop compris, mais bon, il est monosémique, Jean-Claude, dans sa tête.
Et puis, au fond, la recherche du sens unique, n’est-ce pas une quête illusoire ? Même la monosémie la plus rigide peut être interprétée différemment selon le contexte. C’est ça, la beauté du langage : une danse constante entre précision et interprétation.
Quel est le contraire de polysémie ?
Ombres et lumières, le mot… un voile, parfois épais, parfois transparent. Polysémie… une rivière large, aux multiples bras, se déversant en un delta de significations. Chaque vague, une nuance, un écho…
Un seul chemin, c’est le contraire. Sèche, la terre craquelée de la monosémie.
- Monosémique : la pierre brute, sans éclat. Une seule facette, une seule histoire. Une seule porte.
- L’unique, le précis. Pas de reflets, pas de miroirs.
Un mot, une seule idée. Une seule image, floue, dans le lointain… comme une étoile lointaine, presque invisible. Comme le souvenir d’un été, vaporeux.
Mais même la monosémie… a ses secrets. Des murmures. Une poussière d’étoiles.
- Absence de confusion. Clair, net, tranchant comme un couteau.
- Précision absolue. Sans équivoque.
Le vide et le plein. Tout est paradoxal. Même un mot seul, unique, porte en lui les fantômes des autres possibles… les échos d’une polysémie oubliée, un tremblement de terre sous silence.
Mon dernier projet d’écriture, un poème sur la pluie… et là, un mot, “goutte”, déclencha tout. Goutte d’eau, goutte de sang, goutte de sueur… La polysémie, imprévisible, comme la vie.
Ce matin, j’ai trouvé une plume. Une plume d’oiseau, lisse, froide. J’ai pensé à la plume d’un écrivain… la polysémie, encore.
- Aujourd’hui, même.
Quest-ce que la monosémie ?
Putain, la monosémie… ça me rappelle cette fois, été 2023, plage de Pampelonne, Saint-Tropez. Soleil de plomb, sable brûlant sous mes pieds. J’étais avec Chloé, ma copine de l’époque, on essayait de jouer au Scrabble, mais elle chipottait sur chaque mot.
“Houla, mais ‘plage’, ça a plusieurs sens !” Elle râlait, les cheveux collés à son front moite. Je comprenais pas, plage, c’est une plage, quoi! Un bout de terre au bord de la mer.
Elle me parlait de “plage horaire” ou un truc dans le genre. Je lui ai balancé mon dictionnaire Larousse, le gros, celui de mon père. On a cherché “plage”, des pages et des pages de synonymes, des définitions complexes… L’air de rien, j’ai découvert la polysémie.
L’inverse de la monosémie, quoi. J’ai compris grâce à ce bordel, la monosémie, c’est rare, super rare, même. Genre, “bruit”, c’est tout sauf monosémique, alors que “couteau” ? Plus compliqué…
Plus tard, on est allés manger des glaces. Framboise pour moi, pistache pour elle. Je pense toujours à cette discussion idiote. On a fini par se disputer à cause de ça, et on s’est séparés peu de temps après.
Saint-Tropez, plage de Pampelonne, été 2023, la monosémie et la fin de mon histoire avec Chloé. Triste souvenir.
- Mots monosémiques rares
- Plage (dans le contexte simple) Faux.
- Dictionnaire Larousse, été 2023.
- Chloé, ex-copine.
- Scrabble, plage de Pampelonne.
- Glaces, framboise, pistache.
Quelle est la différence entre homonymie et polysémie ?
Ouais… homonyme, polysémie… ça me revient… difficile à expliquer, comme ça, à cette heure-ci.
-
Polysémie: c’est un mot, un seul mot, mais avec plein de sens. Genre “banque”, celle où on met son argent ou le bord de la rivière. Même mot, différentes choses. Ça, je comprends.
-
Homonyme: là… c’est plus tordu. Même son, mais pas la même écriture. “Serre” pour les plantes ou “serre” comme dans “il serre la main”. Difficile hein ? J’ai toujours eu du mal avec ça…
C’est fou comment les mots… ça peut jouer sur les nerfs, surtout la nuit. Je pense à mon cousin Marc, il avait toujours des problèmes avec ça, au collège. On rigolait beaucoup… des souvenirs… pff.
- J’ai essayé de réviser ce matin pour l’examen de français… j’étais bloqué sur la conjugaison du verbe “avoir” au passé composé… c’est ridicule.
- J’ai fini par regarder des vidéos Youtube de chats… moins stressant.
Bref… polysémie, homonymes… c’est le genre de trucs qu’on oublie vite. Surtout quand on est épuisé, comme moi. Je devrais peut être aller me coucher. Minuit déjà ?
Quelle est la différence entre les homonymes et les paronymes ?
Ouais, les mots… ça me travaille parfois, la nuit. Genre, je me suis posé la question sur les homonymes et les paronymes… c’est flou, hein ?
-
Homonymes, c’est comme… pareil à l’oreille, quoi. J’ai un exemple précis : “cent” et “sans”, ça sonne pareil, mais… bof. Différence énorme, hein ?
-
Paronymes… ah oui, là c’est plus subtil. Presque la même écriture, mais le sens… totalement différent. “Allocation” et “allocution”, j’ai toujours eu du mal avec ça. Je confonds souvent, surtout fatigué comme ce soir.
Je sais pas, je suis pas un pro de la grammaire, je te le dis franchement. J’ai toujours eu plus de facilité avec les maths, même si là aussi… des fois, je me plante. Genre, hier, j’ai calculé le prix de mon essence pour aller voir ma grand-mère à Amiens, je me suis trompé de 5 euros, m’en suis rendu compte après, pff.
Bref. Les mots… c’est un labyrinthe. Surtout quand on est crevé. Et puis, il y a eu cette histoire avec mon ex, Sophie… son prénom, trois lettres… ça me ramène à des souvenirs, pourtant, simples, mais… compliqués, comme la différence entre paronyme et homonyme.
- Autre exemple: “s’il” et “s’ils”. Même son, mais on voit bien la différence à l’écrit. Je me suis planté sur un mail pro, la semaine dernière… catastrophe. Mon chef m’a corrigé, comme d’habitude. Il est plus vieux que moi et sait que j’ai des lacunes parfois.
Voilà. J’espère que c’est un peu plus clair, même si c’est pas hyper précis. Je suis vraiment fatigué ce soir. On dirait que je réfléchis comme un escargot. Demain, je regarderai ça sur le net pour être sûr.
-
Homophones: Même son, écriture différente.
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Paronymes: Écriture presque identique, sens différent.
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J’ai 32 ans, je bosse dans la comptabilité, je suis un peu tête en l’air. Je vis à Lille.
Quel est le paronyme de mère ?
Ah, les paronymes… ça me rappelle cette fois, dans le bus 24, direction Belleville. J’écoutais une conversation entre deux mamans. L’une racontait les exploits de sa fille, devenue “maire”. Mais l’autre, un peu distraite, a compris “mère” et a répondu un truc du genre “Ah oui, c’est un beau métier aussi !”. J’ai failli m’étouffer avec mon café soluble.
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Maire et mère, c’est le bazar, hein ?
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Ils sonnent presque pareil, s’écrivent presque pareil.
-
Mais alors, le sens… C’est le jour et la nuit.
Paronymes, quoi. Un vrai piège ! Et puis, y a “mer”. Ça, c’est autre chose.
- Mer et mère : même son, pas même lettre, pas même histoire.
C’est des homophones ça madame ! Je me souviens encore de la tête de la dame, complètement perdue. Et moi, je rigolais en silence, en me disant que la langue française, c’est vraiment un truc de dingue.
- Homophones : attention aux oreilles !
- Paronymes : attention aux yeux !
Quel est le synonyme du mot embaucher ?
Synonyme d’embaucher: Employer, engager, recruter. Point final.
Contraire: Une liste non exhaustive:
- Chasser
- Congédier
- Débaucher
- Démissionner (employé)
- Licencier
- Limoge
- Mettre à pied
- Remercier
- Renvoyer
- Révoquer
- Suspendre
Mon dernier emploi? Consultant indépendant. Fin. J’ai travaillé sur des projets confidentiels.
2024, c’était chargé. Pas le temps pour les détails.
Note: Ma situation professionnelle actuelle n’a pas d’incidence sur la précision de ces informations. Je suis précis. Toujours.
Quel est le contraire de embaucher ?
Le contraire d’embaucher ? Difficile à dire si simplement. Licencier est la réponse la plus évidente, mais c’est réducteur. On pourrait aussi parler de non-renouvellement de contrat, plus formel, plus propre, moins brutal. Ça dépend du contexte. Embaucher, c’est un acte de foi, presque. Une croyance en l’avenir, un pari sur un individu. Son contraire est donc aussi une forme de deuil, d’abandon d’un projet.
- Licenciement : La procédure classique, froide, parfois injuste. J’ai moi-même vécu ça, en 2022, suite à une restructuration chez “Développement Durable et moi”, où j’étais chargé de la communication. Ça laisse des traces, ça vous remet en question.
- Non-renouvellement: Plus poli, moins connoté négativement. C’est une manière plus douce de dire au revoir, une séparation moins brutale.
Le débauchage, mentionné, est plus complexe. Il évoque une connotation négative, un vol de talents, une sorte de trahison. Pas vraiment le contraire d’embaucher, dans le sens strict du terme, mais plutôt un élément parallèle, un aspect presque conflictuel.
Philosophiquement parlant, embaucher est une création, un acte de volonté qui façonne le futur. Le contraire, c’est donc la destruction, ou du moins, l’annulation d’une création.
L’an dernier, pendant une discussion avec un consultant RH (mon ancien collègue, Marc), il m’a dit que la subtilité entre licencier et non-renouvellement était souvent liée à des considérations juridiques.
Points clés à retenir : licencier, non-renouvellement de contrat, débauchage (à nuancer).
Est-ce que embaucher est familier ?
Embaucher. Familier? Oui.
- Sens premier: Recruter. Simple. Mon oncle, patron d’une boîte de transport, embauche souvent.
- Sens second: Impliquer. Plus nuancé. On m’a embauché dans une histoire louche, cet été.
- Verbe intransitif (régional): Début du boulot. Argot. J’ai embauché lundi. Fatigue déjà.
L’existence précède l’essence. C’est valable pour le sens des mots aussi, non?
- Exemples de mon vocabulaire: “embaucher du renfort”, “se faire embaucher”, “on est embauchés pour la fête”.
Voilà. Je suis sobre. Précis. Peut-être trop. Ou pas assez. 2024. Fin.
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