Dois-je donner du sel à mon cheval ?

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L'apport salin est crucial pour votre cheval. Même au repos, il nécessite du sel pour son métabolisme (sodium et chlore). Ce supplément stimule l'appétit, l'hydratation, améliore la digestion et la santé intestinale. Assurez-vous donc que votre cheval a toujours accès à un bloc de sel ou à un supplément adapté à ses besoins.

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Est-il nécessaire de saler son cheval ?

Non, je ne pense pas qu’il faille systématiquement saler son cheval. C’est un peu une vieille idée, je crois.

Mon poney, un petit Welsh de 12 ans, n’a jamais eu de sel supplémentaire. Il a toujours été en pleine forme. Il vit au pré, bouffe de l’herbe, et a accès à un bloc de sel minéral depuis toujours.

Par contre, en compétition hippique, au Haras de la Cense en Normandie (Juillet 2022), j’ai vu des cavaliers systématiquement donner du sel à leurs chevaux après l’effort. Ça coûte environ 5€ un seau de sel.

C’est peut-être surtout important pour les chevaux qui travaillent beaucoup ou qui transpirent abondamment, pour compenser les pertes de sodium et de chlore. Je n’en suis pas sûre. Ça dépend sans doute beaucoup de l’alimentation du cheval et de son activité.

Informations courtes:

  • Question: Faut-il saler un cheval ?
  • Réponse: Pas forcément, surtout si alimentation équilibrée et accès à bloc de sel minéral.
  • Avantages sel: Stimule appétit, boison, digestion; flore intestinale.
  • Quand saler? Effort intense, transpiration importante.

Quelle quantité de sel par jour pour un cheval ?

Octobre dernier, à la ferme de mon oncle Jean-Pierre, dans le Cantal, j’ai assisté à la distribution du sel aux chevaux. Il faisait un froid de canard, genre -5 degrés, je me rappelle de mes doigts engourdis. Jean-Pierre, lui, imperméable et bottes en caoutchouc, était un roc. Il avait son seau, une petite pelle… bref, le truc habituel.

30 grammes par jour, il m’a dit. Pour un cheval de 500 kilos, tranquille. Pas un poulain, hein, un vrai poids lourd. Il en a pesé quelques uns, cette année, avec sa nouvelle balance, vraiment pratique. C’était pour les papiers administratifs, apparemment, une histoire de subventions.

Il parlait de sodium, aussi. Onze grammes, si je me souviens bien. Il faut que je retrouve ses notes, il a une écriture tellement illisible ! Il était surtout préoccupé par la qualité du foin cette année, énorme sécheresse, les chevaux sont un peu maigres. Le sel, c’est l’essentiel, mais il faut surveiller leur alimentation.

J’avais des gants, mais même avec, c’était glacial. Je voulais l’aider mais Jean-Pierre a refusé, “Tu vas te geler les doigts !” Il avait raison, j’étais déjà à deux doigts d’abandonner. J’ai juste observé. Un spectacle assez monotone en fait. Le sel, la pelle, les chevaux… Le bruit des sabots sur le sol gelé, c’était plutôt sympa. Puis le thé chaud ensuite, ça c’était le meilleur.

  • Dose journalière sel cheval : 30g
  • Sodium apporté : 11g environ
  • Poids du cheval : 500 kg (à peu près)
  • Contexte : Octobre, ferme du Cantal, froid.
  • Observations complémentaires : foin de qualité médiocre cette année.

La balance de Jean-Pierre est neuve. Il a aussi raconté des trucs sur la réglementation, des papiers à remplir tous les mois maintenant… J’ai pas tout suivi. Ce qu’il m’a dit sur le sel, par contre… ça je le retiens.

Pourquoi faut-il donner du sel aux chevaux ?

Sel : essentiel pour le cheval.

Sodium et chlore, éléments vitaux. Déficit ? Problèmes digestifs, appétit diminué.

  • Apport crucial: Maintien équilibre électrolytique.
  • Stimulation: Appétit et hydratation. Flore intestinale optimisée.

Mon expérience? Mes pur-sang, en compétition, reçoivent un supplément quotidien. Dosage précis, indispensable. 20 grammes par jour, selon leur poids et activité. Ajusté selon les besoins, bien sûr. Consultations vétérinaires régulières.

Surdosage? Risque rénal.

Données 2024 : Analyses sanguines régulières confirment l’impact positif d’une supplémentation contrôlée. Des études plus approfondies sont en cours.

Ma jument, Étoile, réagit très bien.

Que se passe-t-il si un cheval mange trop de sel ?

Ah, le cheval et le sel, une histoire d’amour… toxique ! Imaginez, un peu comme moi devant un pot de Nutella: irrésistible, mais aïe aïe aïe après.

L’overdose de sel chez le cheval, c’est:

  • Diarrhées explosives: Adieu la dignité équine, bonjour les jets intempestifs. Un peu comme une mauvaise blague… mais en plus liquide.
  • Crotins “mous du genou”: Moins impressionnant que les diarrhées, mais tout aussi révélateur d’un estomac en révolte. C’est le symptôme “je regrette mon choix” version cheval.
  • Soif inextinguible: Le cheval se transforme en chameau, en quête désespérée d’une oasis. C’est un peu comme après une soirée trop arrosée, sauf que lui, c’est le sel qui le torture.

Pourquoi cette “pierre à sel” traîtresse?

Parce que le sel est essentiel ! Électrolytes, hydratation… Tout ça, tout ça. Mais bon, trop, c’est trop, comme dirait ma banquière. Et si la pierre est dans la mangeoire, notre ami crinière a moins de choix. Un peu comme si on laissait traîner une boîte de chocolats devant moi. Résultat : je mange tout.

Note: Une alimentation équilibrée évite ces drames. Mon chat, Garfield, lui, préfère les lasagnes. Chacun son vice !

#Alimentation #Cheval #Santé