Quelle est la route départementale la plus longue de France ?

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Waouh, 7 780 km dans la Manche ! C’est impressionnant ! On imagine les kilomètres de paysages côtiers magnifiques à parcourir, les petits villages charmants à découvrir… Ça donne envie de prendre la route et dexplorer ce département ! Par contre, entretenir un tel réseau doit être un sacré défi pour le département.

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La route départementale la plus longue de France… 7780 kilomètres, vous vous rendez compte ? Dans la Manche, paraît-il. J’ai lu ça, et franchement, ça m’a scotché. 7780 kilomètres… C’est… énorme ! Plus que la distance entre Paris et… où est-ce qu’on pourrait aller en faisant 7780 kilomètres ? L’Australie ? Peut-être même plus loin.

On imagine, hein ? Des kilomètres et des kilomètres de routes, qui serpentent le long de la côte. J’y pense, à ces paysages… Des falaises blanches, comme celles que j’ai vues en Bretagne, mais peut-être encore plus sauvages. Des plages immenses, des petits ports blottis entre les rochers… Je me vois déjà, au volant de ma vieille 2CV, le vent dans les cheveux (si j’en avais encore!), le soleil sur le visage… Sauf que la 2CV, elle, elle n’aurait pas survécu à plus de 500 kilomètres sans une bonne révision, c’est sûr.

Et puis, les villages… Tous ces petits villages, perdus au bout d’une route, avec leurs maisons fleuries, leurs églises romanes… On imagine l’odeur de la mer, le crissement du sable sous les pieds, le parfum des crêpes dans une petite crêperie… Ah, ça me donne faim, rien que d’y penser !

Mais bon, 7780 kilomètres… L’entretien, ça doit être un cauchemar ! J’imagine les équipes des routes, travaillant sans relâche, à réparer les nids-de-poule, à déblayer la neige en hiver… Je me souviens, une fois, sur la route des vacances, j’étais tombée sur un chantier gigantesque… Ça m’avait pris au moins une heure de plus pour arriver, et j’avais été obligée de faire un détour par un chemin de terre tellement défoncé que j’ai failli perdre une roue. Alors là, 7780 kilomètres… Pauvres types ! C’est un boulot de titan, ça. En même temps, quelle fierté de participer à l’entretien d’un tel réseau routier… même si je pense que je resterai bien au chaud chez moi, moi!