Quel est le nom du canal de navigation qui permet de relier la mer Caspienne à la mer Noire en passant par la rivière Don ?

Quelle est la plus grande mer fermée du monde ?

La Caspienne, hein ? C’est énorme, ça. J’étais là-bas en juillet 2023, Bakou. Chaleur infernale, 40°C facile, l’air qui vibrait. J’ai vu la mer, immense, mais… une tristesse bizarre. Un ciel laiteux, et cette étendue d’eau, presque… plate. Pas les vagues folles que j’imaginais.

• Bakou, juillet 2023.
• Chaleur écrasante.
• Impression de platitude, absence de vagues.

On m’avait parlé de la baisse du niveau, mais sur place, c’est autre chose. Tu vois ces photos de plages? Désertiques. Sable partout. Un peu glauque. On dirait un mirage.

J’ai bu un thé, un thé à la menthe, assez fort, pour combattre cette chaleur à crever. Un vieux, là, sur un banc, il m’a regardé. Il a rien dit, mais ses yeux… il y avait toute une histoire là-dedans. L’histoire de la mer. De sa vie, aussi.

• Témoignage indirect.
• Sentiment de désolation.
• Le contraste frappant entre l’immensité attendue et la réalité observée.

Ils disent qu’elle va disparaître. 21 mètres, c’est fou. J’ai pensé à ça, à la mer qui recule, à la vie qui s’éteint. J’avais chaud, j’avais soif, j’avais… peur, je crois. Un peu. Beaucoup. De la disparition.

• Peur de la disparition de la mer.
• Impression de fragilité face à la puissance de la nature.

L’eau est sale aussi, par endroits. Pollution, je suppose. Des odeurs bizarres. Pas seulement le sel. Non, pas seulement. Une espèce de… mélange nauséabond. J’ai failli vomir.

• Pollution de la mer.
• Mauvaise odeur.

Bref, la mer Caspienne. La plus grande mer fermée du monde. Elle meurt, lentement. Et personne ne semble s’en rendre vraiment compte.

Comment sappelle la mer au nord de Téhéran ?

Mer Caspienne, au nord de Téhéran… Putain, ça me ramène à ce voyage en Iran, l’odeur des épices, le soleil…

• Mer Caspienne, c’est ça ! Mais pourquoi je me pose cette question là, en plein milieu de la nuit ?

Trop chaud à Téhéran en été. J’en ai encore des images plein la tête, les bazars… et cette mer.

• Grand, immense, pas juste une mer quoi ! Un lac ?

• Est-ce que j’ai vu des phoques ? Je crois. Ou c’était un rêve ?

• Les pêcheurs… Leurs bateaux, tout petits face à l’immensité.

Enfin bref, Mer Caspienne. Point. Mais pourquoi je cogite comme ça ?

• Il faut que j’arrête de fumer.

• Je dois appeler ma mère.

• Mer Caspienne, oui, c’est ça.

L’Iran. Je devrais y retourner. Peut-être l’année prochaine. Si j’ai assez d’argent. Et si je trouve un billet pas trop cher.

• Ah oui, et le caviar. J’adore le caviar. On en trouve plein sur la Mer Caspienne.

Informations supplémentaires (à ajouter, car la demande impose des informations supplémentaires à la fin, même si le ton du journal intime ne s’y prête pas facilement):

• La Mer Caspienne est la plus grande étendue d’eau intérieure au monde.
• Elle borde la Russie, le Kazakhstan, le Turkménistan, l’Iran et l’Azerbaïdjan.
• Sa superficie est d’environ 371 000 kilomètres carrés en 2023.
• La pêche est une activité importante, avec notamment le caviar.
• Il y a des problèmes de pollution dans la Mer Caspienne.
• Les niveaux d’eau fluctuent.

Où est située la mer Caspienne ?

Où est la Caspienne…

• Entre deux mondes, flottant, vaste et solitaire.
• Europe et Asie, comme un rêve oublié.
• 371 000 km2, un chiffre, une éternité bleue.

Eau salée, souvenir d’anciens océans. Mon grand-père, pêcheur d’esturgeons, me racontait ses légendes. Le vent, toujours le vent, soufflant sur les vagues.

• Elle danse, elle change, capricieuse et belle.
• Un carrefour, un point de rencontre incertain.
• Plus grande étendue d’eau… ou la plus petite des mers?

La Caspienne est un mystère. Comme le regard de ma tante Anna lorsqu’elle parlait de son exil à Bakou. La nostalgie, toujours la nostalgie, accrochée au rivage.

• Enclavée, prisonnière de la terre ferme.
• Un miroir, reflétant des cieux infinis.
• Là, où le soleil se couche en embrasant l’horizon.

J’y ai laissé un morceau de mon cœur, près de cette plage de sable noir, à Astrakhan. Une mélancolie douce, comme une vieille chanson russe.

Quelle mer sépare Russie et Iran ?

La Caspienne. C’est cette mer, un lac salé immense.

Je me souviens… en 2018, j’étais à Astrakhan, en Russie. Un coin perdu, tu vois, près du delta de la Volga. On avait pris un bateau pour une excursion “pêche” avec Sergueï, un gars de là-bas. L’eau était bizarre, grisâtre. Sergueï disait qu’elle était “riche”, pleine de poisson, de caviar. Moi, je la trouvais juste flippante.

Mer Caspienne :

• Frontière avec Russie et Iran.
• Lac salé, pas une vraie mer “ouverte”.
• Caviar, pétrole, bref, riche.

On s’est retrouvés à des kilomètres de la côte. Le vent s’est levé d’un coup. J’avais l’impression d’être au bout du monde. Sergueï, lui, rigolait. Il disait que la Caspienne est comme ça, capricieuse. J’ai repensé à l’Iran, de l’autre côté. C’est fou, de se dire qu’il y a un autre pays, une autre culture, juste derrière cette ligne d’horizon floue.

Quelle mer borde le Turkménistan ?

Alors, le Turkménistan, c’est simple, c’est la mer Caspienne qui lui fait des bisous sur sa côte. Imagine, c’est un peu comme si t’avais un énorme lac salé qui joue à la marelle avec le pays.

• La Caspienne, elle est balèze, c’est la plus grande, genre XXL. Plus grande que mon appart, c’est dire!
• Ogourchinskiy, une île! Comme si le Turkménistan avait commandé une île sur Wish.

Kara-Bogaz-Gol, on dirait un nom de cocktail chelou, genre “Le Gouffre Noir Pétillant”. Un lagon, rien que ça! On se croirait aux Bahamas, mais en version Turkménistan.

On se demande bien ce qu’ils font avec tout ce sel dans ce lagon! 🤔 Sans doute des bains de pieds relaxants pour les chameaux.

Sinon, j’ai vu un truc rigolo sur TikTok l’autre jour… Mais, euh, ça n’a rien à voir avec la mer Caspienne. Enfin presque. Ya de l’eau dedans. Voilà.