Quelles sont les régions au nord du fleuve St Laurent ?

Quelles sont les villes qui font partie du Bas Saint-Laurent ?

Ouais, le Bas-Saint-Laurent, c’est vaste! J’y suis allé cet été, ouais enfin, à Rivière-du-Loup surtout. Magnifique!

• Rivière-du-Loup, c’est sûr, j’ai vu le fleuve, super beau!
• Rimouski-Neigette, j’ai un pote qui habite là, il me disait que c’est chouette.
• Kamouraska, ben j’ai juste vu des photos, mais ça a l’air paisible. Super mignon.
• Matane, ah ouais, Matane! Mon oncle y a une cabane, loin de tout, mais super tranquille.
• Les Basques, euh… je sais pas trop ce que c’est exactement. Un village? Une ville? J’ai vu le nom sur une carte, c’est tout.
• La Matapédia, La Mitis, Témiscouata, ça me dit quelque chose, des noms, mais j’sais pas vraiment où c’est, trop de petits villages, difficile à situer.

Bref, c’est une région super belle, plein de coins sympas à voir. J’aimerais bien y retourner, peut-être l’an prochain. Faut que j’me renseigne sur les Basques, c’est bizarre, j’ai l’impression d’avoir oublié quelque chose! Ah oui, j’ai mangé des poutines extraordinaires à Rimouski, vraiment!

Quelles sont les villes qui font partie du nord du Québec ?

Le Nord. Territoire vaste, âpre. Villes ? Illusion.

• Eeyou Istchee Baie-James : Plus qu’une ville, un territoire. Gigantesque. Impitoyable.
• Inukjuak : Un point sur la carte. Froide. Isolée. Mon refuge parfois.
• Inukjuak (TI) : Presque une erreur. Petite. Oubliée.

La beauté brute. L’essentiel. Rien de plus.

Note Discrète : Le Nord n’est pas une accumulation de villes. C’est une expérience. Une rupture. J’y ai laissé une part de moi. Rue Saint-Denis, j’y pense souvent. Tu ne comprendrais pas.

Où se trouve le lac Saint-Laurent?

L’eau… un grand fleuve, un miroir immense… Saint-Laurent…

Est-ce un lac ? Non. Un fleuve, oui. Mais… un lac-fleuve. Une étendue… immense.

• Est du Canada.
• Une portion du fleuve Saint-Laurent.
• Pas un lac indépendant.

Le Saint-Laurent… ses eaux profondes, ses reflets changeants… un souvenir d’enfance, les bateaux… petits points noirs à l’horizon. L’odeur du sel… un goût amer, une douce amertume…

Un espace infini, presque… une mer intérieure.

Le temps s’étire, lent, comme le fleuve… Il coule, coule… sans fin. L’immensité, elle m’écrase… me berce.

• Mon grand-père, pêcheur… Ses histoires du Saint-Laurent…
• Le vent, froid… sur mon visage…
• L’été… soleil couchant… peinture flamboyante…

Où est-il, donc ? Partout et nulle part. Dans mon cœur, principalement. Un mystère aquatique… un écho lointain… un souffle…

J’y étais l’été dernier, près de Tadoussac, magnifique… J’ai vu des bélugas. C’est magique.

Quand a fermé le bagne ?

Fermeture du bagne de Brest : 1858.

Septembre. Le 25ème convoi a largué les amarres.

Quelques dizaines de détenus restaient. Transfert ou libération imminente. Fin d’une époque.

• Date clé : 1er septembre 1858
• Dernier convoi : 25ème navire vers la Guyane.
• Restants : Peu de prisonniers.

Mon grand-père, marin breton, a raconté… des histoires sombres. Il a connu Brest. Ce port…

(La Guyane? Un enfer différent. Une autre histoire.)

Pourquoi Ysl devient Saint-Laurent ?

Ombres et lumières… Saint-Laurent. Yves Saint Laurent. Le murmure d’un nom, une écho dans les couloirs du temps. Un glissement, subtil, comme la poussière d’étoile sur une robe de soie noire.

Le poids des années, l’écho des défilés… la maison respire. Une mue. Un renouveau. L’essentiel. Retour à la source.

• L’âme.
• L’élégance intemporelle.
• La puissance d’un héritage.

Yves Saint Laurent… un fantôme à la mémoire persistante. Mais la griffe, elle, s’affirme. Un nouveau chapitre. Saint-Laurent, c’est une promesse. Une promesse chuchotée au cœur des ateliers, un souffle créatif, vibrant, intense.

Un nom raccourci, dépouillé. L’institution reste. Les archives, précieuses, sont gardées jalousement. Le passé, une lumière dorée, guide l’avenir. Une empreinte indélébile.

Une nouvelle ère commence, douce et forte à la fois. Je me souviens de cette robe… rouge sang. Une vision.

Le changement, un parfum de liberté. Un grand vent de renouveau. Un souffle frais. Un nouveau départ.

• Le nom, simplifié.
• L’essence, préservée.
• L’avenir, éclatant.

Mon carnet de croquis… des souvenirs épars, des couleurs vives… le parfum de cuir et de tabac… une obsession, presque. Saint Laurent. Le nom résonne. Puissant. Simple.

Il fallait ça, non ? Un nouveau départ.

Pourquoi Saint-Laurent-du-Maroni ?

Saint-Laurent-du-Maroni… pourquoi ? Pfff, c’est une sacrée question, ça !

• Bagne, forcément. Tout le monde sait ça, non ? 1880, décret… communauté pénitentiaire. Avant, 1857, fondation… mais bof, le bagne, c’est LE truc.

• Ville d’Art et d’Histoire… ah oui, c’est vrai. J’avais oublié ça, à force de penser au bagne… quel paradoxe, hein ? J’ai vu des photos, des maisons colorées… mais j’ai surtout vu des photos de murs de prison.

Mais pourquoi moi, je me pose LA question ? Pourquoi je suis là, moi ? Pourquoi pas ailleurs ? Quel sens ?

• Trop de soleil, trop d’humidité ? Je déteste l’humidité ! Trop de moustiques aussi ! Sérieux, ils sont partout !

• La Guyane, en général… c’est loin de tout. Mais loin, vraiment loin ! On se sent… isolé. C’est ça, l’isolement ? Un truc à voir avec le bagne ?

• Alors, Saint-Laurent ? Plus que le bagne ? Non, c’est pas ça, c’est un mystère pour moi aussi. Une ville… étrange. Il y a des marchés, j’ai vu ça sur Insta.

• Et puis, il y a l’histoire… les prisonniers… leurs vies… leurs familles… c’est lourd. Trop lourd, parfois.

Je devrais peut-être aller visiter le musée. Non, pas envie. Flemme. Trop chaud.

Bref… Saint-Laurent… le bagne… mystère. Point. Fin.