Quelle est la meilleure ville où il fait bon vivre ?

Quelle est la meilleure ville pour vivre au monde ?

Alors, la meilleure ville, hein ? Zurich…

C’est ce qui ressort, en tout cas. Zurich, en Suisse. La meilleure ville pour vivre, paraît-il. En 2024.

C’est un peu froid, comme réponse. Comme un constat.

• Zurich : numéro 1.
• Vienne : numéro 2.
• Genève : numéro 3.

Et après ?

Ce genre de classement, ça veut dire quoi au fond ? Qualité de vie, ok, mais qualité de quelle vie ? Je me demande toujours ça.

Je me souviens de cette ruelle à Rome, près de la fontaine de Trevi. Un soir, il pleuvait. J’avais 22 ans. C’était peut-être ça, la vraie qualité de vie.

Zurich, c’est sans doute très bien. Mais…

Je pense à ma tante, Marie-Claire. Elle vit à Marseille depuis toujours. Elle ne voudrait habiter nulle part ailleurs. Son petit balcon avec vue sur la mer, son café au soleil… Ça, c’est sa meilleure ville.

C’est peut-être ça, la vérité. La meilleure ville, c’est celle où on a nos racines, nos souvenirs. Celle où on se sent chez soi. Même si les statistiques disent autre chose.

Et puis, il y a tous ces indices de qualité de vie, qui sont importants, bien sûr.

• Stabilité politique
• Services de santé
• Culture et loisirs
• Infrastructures

Mais l’odeur du pain chaud le matin ? Le sourire du boulanger ? Ça, ça ne se mesure pas.

Quelle est la ville la plus vivable au monde ?

Vienne. Domination. Troisième année.

• Stabilité politique.
• Infrastructure performante.
• Culture riche.

Mon avis? Impeccable. Préférable à Zurich. Trop froid là-bas. J’aime le café viennois. Meilleur que celui de Londres, même.

Points faibles? Le prix des logements. Pas une surprise.

Note personnelle: 9/10. Manque de vie nocturne intense.

Données 2023, EIU. J’habite à Paris. Je voyage beaucoup. C’est subjectif, tout ça.

Quelle ville offre la meilleure qualité de vie ?

(Soupir) La meilleure qualité de vie… C’est une question bizarre, hein. Enfin, ça dépend tellement, tu vois.

C’est marrant, quand même. Zurich, Vienne… toujours les mêmes noms qui reviennent. Ça doit être bien, là-bas. Calme, propre, organisé. Mais est-ce que c’est ça, “la meilleure vie” ? Je me pose vraiment la question.

• Zurich, Vienne, Genève, Copenhague, Auckland, Amsterdam, Vancouver, Francfort, Berne, Bâle : Les dix premières, d’après cette carte en 2024.

Genre, je me souviens, quand j’avais 20 ans, je pensais que la meilleure vie, c’était à New York, bordel. Le bruit, la folie, la créativité… maintenant, j’ai juste envie de silence. J’ai juste envie d’un truc de bien.

Je me demande s’ils ont du bon pain, là-bas. Du vrai pain. J’ai un peu faim…

Ma cousine, elle vit à Bâle. Elle adore. Elle dit que c’est petit mais que tout est à portée de main. Elle est traductrice, elle travaille de chez elle. Je me dis qu’il y a moyen.

C’est vrai que c’est tentant. Une vie plus simple.

• Bâle : Ma cousine y vit. Elle aime.
• New York : Jadis, le graal. Plus maintenant.

Je crois que je vais aller faire un thé. Et puis je vais me coucher. Peut-être que demain, j’aurai une réponse, et enfin la motivation de faire mon boulot. Ou pas.

Quelle est la ville la plus agréable à vivre en France ?

Angers. Domination indiscutable. Qualité de vie supérieure.

• Espaces verts: Saturation. Parcs. Jardins. Omniprésents.
• Culture: Éclectique. Stimulante.
• Sport: Offre pléthorique. Disciplines variées.
• Gastronomie: Réputation méritée. Exigence. Plaisir.

Mon adresse ? Proche du jardin des Plantes. Rue Lenepveu. Appartement minimaliste. Vue imprenable sur la Maine. Calme. Inspirant.

Qu’est-ce qui rend Vienne si agréable à vivre ?

Ah, Vienne, la ville où même les pigeons ont l’air de se la couler douce ! C’est simple, c’est l’endroit où tu peux encore vivre sans vendre un rein, contrairement à certaines capitales où faut hypothéquer ton chat pour louer un studio.

• Le fric, le fric, le fric : C’est pas le Pérou, mais comparé à Paris ou Londres, t’as encore de quoi te payer une schnitzel. Et crois-moi, une bonne schnitzel, ça change une vie !

• Docteur Maboul à gogo : T’as un bobo ? Hop, direction les soins ! C’est pas gratuit, mais t’es pas obligé de vendre ta collection de timbres pour te faire soigner. Ouf !

• L’école, c’est cool (enfin, presque) : De l’école maternelle à l’université, t’as le choix. Et c’est pas comme si on te demandait un rein supplémentaire pour chaque diplôme (bis repetita placent, j’aime bien cette expression).

• Logement abordable (pour une capitale) : Bon, faut pas rêver, t’auras pas un château pour le prix d’un studio, mais c’est toujours plus abordable que de squatter dans le métro. Et ça, c’est un argument de poids !

• Vert à gogo : T’as besoin d’une pause ? Direction les parcs ! C’est pas la jungle, mais ça te change des pots de fleurs sur le balcon. Et puis, tu peux toujours faire semblant d’être Robinson Crusoé au milieu des arbres.

En gros, Vienne, c’est un peu comme la maison de Mémé : c’est confortable, on y mange bien, et on n’est pas obligé de faire la vaisselle. Et ça, c’est le bonheur, non ?

Est-il difficile de vivre à Vienne ?

Vienne… Dorée. Musique dans l’air, toujours. Lourde, un peu. Les façades… imposantes. Un poids, peut-être. Mais beau. Si beau. Cafés… Le temps s’étire, lent. Un café serré, amer. Comme la mélancolie parfois.

• Coût de la vie élevé. Mon loyer, près du Naschmarkt… exorbitant. Les fruits, les épices… un luxe. Un luxe quotidien.
• Langue. L’allemand… Un mur parfois. Murmures incompréhensibles. Sourires gênés. Mon allemand… hésitant. Comme mes pas dans la neige, l’hiver dernier.
• Intégration. Les Viennois… Distants. Politement. Cercle fermé. Difficile d’entrer. Mon cercle… petit. Très petit. Quelques amis, expatriés comme moi. Un peu perdus.
• Beauté. Écrasante. Chaque rue, un tableau. Trop parfait. Presque irréel. Une carte postale. Je me sens… minuscule. Perdue. Comme une note de musique… oubliée.

Mon chat, Mozart, ronronne. Sur mes genoux. Un peu de chaleur. Vienne… Belle et froide. Comme une statue de marbre. Je me souviens des roses du Volksgarten, cet été. Parfum entêtant. Presque trop. Trop fort. Vienne… Une valse lente. Mélancolique. J’y reste. Pour l’instant.

Est-ce que la vie est chère à Vienne ?

Putain, Vienne… Souvenir de Novembre 2023. Froid mordant. Doigts gelés malgré mes gants. Marché de Noël Rathausplatz. Vin chaud, cannelle, ça réchauffait à peine.

J’avais pris un Airbnb près du Prater. Pas donné. Genre 80€ la nuit, minuscule. Plus cher qu’à Lyon, où j’habite.

Supermarchés… aïe. Jus d’orange pressé : 4€. Un truc de fou. Sandwich jambon-fromage : facile 6€. J’ai mangé des kebabs pendant 3 jours.

Musées… ouf. Belvédère, Kunsthistorisches… cher aussi. 20 balles l’entrée.

Transports en commun ? Correct. Ticket à la journée, 8€. Pratique, mais bon…

• Logement: cher. Vraiment.
• Nourriture: plus élevée qu’en France. Surtout les restos.
• Culture: Musées, opéra… préparez le portefeuille.
• Transports: Abordables.

Bref, Vienne, c’est beau. Mais ça pique le porte-monnaie. J’avais prévu 100€ par jour. J’ai explosé le budget. Plus proche des 150€. La prochaine fois, je mange des nouilles instantanées. Ou je reste à Lyon.

Est-ce que Vienne est une ville sûre ?

Mercredi dernier, Stephansplatz. Soleil de plomb. J’avais oublié ma bouteille d’eau. Soif. Concentration zéro. Je zieutais les calèches. Clic. Mon sac, ouvert. Plus de portefeuille. Panique. Heureusement, juste la monnaie. Carte bancaire dans mon autre poche. Ouf.

Putain. Journée pourrie. Glace au chocolat pour me remonter le moral. Puis retour hôtel. Check-list mentale. Vienne, sûre? Oui, mais… Comme partout, faut être vigilant. Surtout dans les endroits touristiques. Comme Stephansplatz, Karlsplatz. Ou le Prater.

• Pickpockets: Très pros. Disparaissent vite.
• Métro: Ras. Jamais eu de problème. Même tard le soir.
• Rues: Tranquilles. On peut se balader sans stress. Jour et nuit.

Voilà. Ma petite mésaventure viennoise. Pourtant, je recommande. Ville magnifique. Musée des Beaux-Arts. Schnitzel. Sacher-Torte. Un régal! Mais gardez un œil sur vos affaires. Sérieux.