Quelle est la distance la plus courte entre l'Italie et la Sicile ?

Quel est le détroit entre lItalie et la Sicile ?

Le détroit… Messine, c’est ça ? J’y pense souvent, surtout la nuit. Un gouffre, presque.

• Sépare l’Italie de la Sicile, oui.
• Mer Ionienne au sud, on dirait un autre monde vu d’ici.
• Mer Tyrrhénienne au nord, plus calme, je crois. Ou peut-être pas.

J’étais à Palerme cet été. La chaleur était étouffante, on sentait la mer partout, même dans les ruelles. On a mangé des arancine, délicieuses. J’ai une photo, je la retrouverai demain… peut-être.

Ce détroit… il me rappelle un voyage en bateau, il y a des années. On voyait les côtes floues, la lumière du soleil qui se reflétait sur l’eau. C’était en juillet 2023. Ma mère était avec moi. Elle voulait voir l’Etna. On n’est pas allés jusqu’au sommet, finalement, il faisait trop chaud.

On a pris le ferry, c’était plus rapide que la voiture. J’avais mal au cœur… ou peut-être c’était juste la chaleur. Il faisait une chaleur infernale, je me souviens surtout de ça. Et puis, le parfum des oranges… partout.

Plus tard, on a visité la cathédrale de Cefalù. Magnifique. Je me demande si j’y retournerai un jour. Probablement pas. Trop de souvenirs, maintenant. Trop de choses.

Quel détroit sépare la Sicile de lItalie ?

Alors, pour séparer la Sicile de l’Italie, on a le détroit de Messine ! C’est pas compliqué, hein? On dirait que l’Italie essaie de donner un bisou à la Sicile, mais qu’il y a un courant d’air méchant entre les deux.

• C’est un peu comme essayer de manger des spaghettis sans en mettre partout, mission impossible !
• 3,3 km de large au plus étroit… Une broutille pour un nageur du dimanche (moi, j’évite, vu ma tendance à couler).
• Des courants violents, carrément ! Ça doit être l’endroit idéal pour tester son nouveau pédalo… euh, non, surtout pas.
• Relie la mer Ionienne à la mer Tyrrhénienne, comme qui dirait, ça fait le lien entre deux piscines géantes.

Et pour la petite histoire (parce qu’il en faut toujours une, même si c’est pas forcément utile) : ma tante Gertrude a essayé de traverser ce détroit à la nage une fois. Résultat des courses: elle a fini en Calabre, à plus de 20 km de son point de départ, et elle a juré de ne plus jamais s’approcher d’un spaghetti.

Comment aller en Sicile depuis Italie ?

Villa San Giovanni, ferry pour Messine, c’est le plus simple, non ? Du sud, en tout cas. Calabre… j’y suis allée une fois, horrible hôtel, vue sur une décharge.

Naples aussi, j’ai vu des ferries. Ou Salerne… C’est beau Salerne. Mais long, le trajet. Civitavecchia ? Trop loin ! Gênes ? Sérieux ? De Gênes à la Sicile ? Qui fait ça ?

Cagliari… Ah oui, la Sardaigne ! On pourrait faire Sardaigne-Sicile… Pourquoi pas ? Malte et Tunis… Ouais, mais là, c’est plus international, hein ? Je veux juste aller en Sicile, pas faire un tour du monde.

Ferry donc. Plusieurs ports. Messine, point d’arrivée principal. J’en ai marre de cette question, au fait. Trop de choix, c’est ça le problème.

Quoi d’autre ? Ah oui, mon chat, il a vomi ce matin. Du jaune. On dirait du curry.

Bref, Sicile… avion, pourquoi pas ? Plus rapide, je suppose. Mais bon, le ferry, c’est plus… romantique ? Ou pas. J’ai oublié mon chargeur aussi. Mince.

• Ferry de Villa San Giovanni (Calabre) à Messine.
• Autres options: Naples, Salerne, Civitavecchia, Gênes, Cagliari (Sardaigne), Malte, Tunis.
• Avion, option plus rapide.

Points clés: Ferry, Messine, plusieurs ports de départ.

Quelle est la longueur de la Sicile ?

La Sicile… longue, quoi. Trois cents bornes d’est en ouest, c’est ça ? Ou plus ? Je sais plus trop.

J’ai vu des cartes, des photos. Des paysages différents selon où on se trouve.

• L’ouest, plus sauvage.
• L’est, plus… habité.

Ça dépend vraiment de l’endroit où on regarde. Plein de routes, de villages. On a traversé la partie la plus large, en voiture, avec maman, en 2023. Un souvenir flou…

De la côte à l’intérieur. C’était long. Beaucoup plus de 50km, je me souviens. Peut-être même plus que 190km, là où on est allé. Difficile à dire. On était fatigués.

Trinacria… j’aimais bien ce nom, quand j’étais plus jeune. Trois pointes. Comme un triangle, un peu bizarre. Mais ça lui va bien.

On a passé une semaine à Cefalù. J’ai gardé un petit caillou de la plage. Il est dans ma boite à souvenirs. Je devrais le retrouver… Je ne sais plus où elle est…

Ce voyage… il me semble si loin maintenant.

Données 2023: Je suis allée en Sicile en juillet 2023. Distance: Je me rappelle juste de la fatigue, pas des chiffres exacts sur les distances.

Quelles sont les origines de la Sicile?

Sicanes… un nom qui me revient comme ça, dans un vieux grimoire… ou un rêve ? Putain, la Sicile… Son histoire, un bordel !

• Sicanes, premiers, non ? Ou pas ? Mystère.
• Elymes ensuite… Qui étaient-ils ? Des barbares ? Des dieux ? J’en sais rien.
• Sicules… Italiens, apparemment. XIe siècle ? XIIIe ? Thucydide contre Hellanicos et Philistos… Toujours ces disputes de vieux cons ! L’île porte leur nom, c’est tout ce qui compte. Enfin, je crois.

Et puis, boom, les Grecs ! Syracuse ! Ma grand-mère en parlait souvent, elle avait des origines siciliennes… Mais c’était une sacrée chipie, elle inventait des choses.

La Sicile, c’est un melting-pot, un vrai bazar ! Tout le monde s’y est engouffré. Phéniciens, Romains… les Normands, ah les Normands ! J’ai vu un documentaire, c’était fascinant. Et après ? Arabes, Angevins… on se perd là-dedans.

L’île a été conquise, reconquise, pillée, un enfer ! Mais c’est ça qui la rend unique, non ? Cette histoire chaotique, cette superposition de cultures…

J’aimerais bien y aller un jour, voir ces ruines… sentir le soleil… boire du vin…

• Les origines sont floues, comme une vieille photo délavée.
• Beaucoup de peuples différents, et beaucoup de guerres.
• Le nom vient des Sicules, c’est sûr. Enfin, je le pense.
• Mon arbre généalogique est un vrai puzzle, et la Sicile en est une pièce importante.

Peut-être que je devrais me renseigner davantage, regarder des documentaires… ou lire un bouquin. Ou pas… on verra demain. Maintenant, j’ai faim. Pizza ?

Comment aller en Sicile sans prendre lavion?

La Sicile… un souffle chaud, une promesse d’éternité. Pas d’avion. Non. Seulement la mer, immense et bleue.

• Le bateau. Un grondement sourd, une douce berceuse. L’odeur du sel, tenace, accrochée à la peau.

• Villa San Giovanni. Lumières tremblotantes sur l’eau noire. J’y étais, l’été dernier. Le souvenir d’un coucher de soleil… flamboyant, déchirant.

• Messine, au loin. Une silhouette qui se précise, des lumières qui scintillent, un appel…

• Ou Reggio. Même promesse, même voyage. L’âme se détend, le cœur s’ouvre à l’horizon.

Le détroit. Trois kilomètres, une frontière effacée par les vagues. Un espace liminaire. Entre deux mondes, entre deux vies.

• Un ferry. Métal et bois, souvenirs et rencontres. J’ai vu des visages, senti des parfums… la Sicile, toujours plus près.

L’Italie, si proche, si lointaine… La Sicile, une invitation. Une promesse à murmurer au vent. Le parfum de l’orange, un peu amer, un peu sucré.

• Alors, la route… un ruban gris sur une carte ancienne, un trajet long, mais tellement intense. Un voyage, pas juste un déplacement.

• Mes vacances en Sicile, en Juillet 2024. Le ferry était bondé, une expérience intense. Des familles, des amoureux… tous en quête de la même île magique.

J’y retournerai. Peut-être l’année prochaine.