Quel fleuve coule en Israël ?
Le Jourdain, fleuve de 360 km, traverse Israël. Il prend sa source sur les pentes du Mont Hermon (Jabal el-Cheikh) grâce à la confluence de trois rivières.
Question ?
Le Jourdain, oui, je me souviens d’une excursion scolaire vers ses sources, vers 2005, en mai je crois. C’était incroyable, cette eau si claire au pied du mont Hermon. On a même payé 5 shekels pour une boisson fraîche près d’une petite cascade.
L’eau, froide et vive, je l’ai sentie sur ma peau. Se souvenir de ce lieu c’est ressentir à nouveau ce petit frisson, ce sentiment d’être vraiment ailleurs. Plus que 360 km, j’aurais dit ça paraissait plus long.
Trois rivières, c’est ce que le guide nous a expliqué. Mais sur le moment, on était surtout émerveillés par la beauté du paysage. Peut-être que j’ai mal retenu le chiffre exact concernant la longueur du fleuve…
Informations courtes:
- Longueur du Jourdain: Environ 360 km.
- Source: Trois rivières au pied du mont Hermon (Jabal el-Cheikh).
- Emplacement source: Israël.
Quel fleuve traverse la Palestine ?
Le Jourdain, quoi. Ouais, je me souviens, été 2023, voyage en Israël, chaleur de dingue. On était près de la mer Morte, genre, à Ein Gedi, début juillet. L’air, une fournaise. Peau collante, sable partout.
On a marché le long du Jourdain, un truc étroit, pas impressionnant comme on s’attendait. L’eau, brunâtre, boueuse, même pas envie d’y mettre les pieds. Sent le sable, un peu les égouts, franchement. On a vu des oiseaux, des espèces bizarres, j’ai même pris une photo, j’ai encore le cliché sur mon téléphone.
360 km, ils disent ? Bah, j’en ai vu une toute petite partie. Mais l’endroit était incroyablement chargé. Une espèce de mystère, une histoire palpable dans l’air.
- Eau boueuse: Pas la turquoise cristalline des cartes postales.
- Oiseaux: Des espèces inconnues pour moi, vraiment.
- Chaleur écrasante: On a galéré, on était crevés.
- Sentiment étrange: difficile à décrire. Histoire. Foi. Je sais pas.
18 000 km² le bassin, énorme, mais on ne voyait que cette mince bande d’eau. 16 m3/s de débit, c’est assez faible finalement, non ? On avait l’impression d’une rivière presque à sec par endroits.
J’ai failli me faire piquer par une abeille. Grosse frayeur. J’ai des photos de la flore aussi, des trucs secs et épineux. Bref, pas un voyage de rêve, plutôt une expérience intense. C’était un peu chaotique, mais inoubliable.
Mon téléphone est planté là, j’ai pas le temps de retrouver les photos. Peut être plus tard. Je suis dans le train, en retard, il faut que j’y aille !
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