Quel est le premier port mondial ?

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Shanghai est le premier port mondial depuis 2010, surpassant des leaders historiques comme Singapour et Rotterdam. Ces derniers détenaient la première place au XXe siècle, Rotterdam ayant succédé à Anvers, Londres et New York. Hong Kong, autrefois en tête, est désormais distancé par le géant chinois. Le trafic maritime considérable de Shanghai lui assure une position dominante.

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Quel est le port le plus important au monde ?

Shanghai, hein? Le port le plus important du monde. Ben, en vrai, j’ai jamais mis les pieds là-bas, mais j’ai bouquiné pas mal sur la logistique maritime. C’est fou de voir comment un port peut transformer une ville.

En fait, je me souviens avoir lu un article (c’était peut-être dans Le Monde Diplomatique en septembre 2018 ? Possible) qui expliquait justement comment Shanghai avait détrôné les “anciens” comme Rotterdam.

C’est dingue, non ? Avant, Rotterdam, c’était le roi. Un vrai géant. Puis Singapour est arrivé, et hop, changement de donne. Et maintenant, Shanghai. Le monde bouge, quoi.

Alors, d’après ce que j’ai compris, Shanghai est devenu le numéro 1 en 2010. Ça fait plus de dix ans. Une éternité dans le monde du commerce! C’est plus qu’un port, c’est un symbole de la puissance économique chinoise.

Hong Kong aussi, avait sa place au soleil avant… Le monde change, c’est sûr.

Quels sont les 5 premiers ports mondiaux ?

Ports. Une nécessité.

  • Shanghai. Chine. L’acier et le négoce. Rien de neuf.
  • Singapour. Petit pays. Grande influence. Transit sans fin.
  • Ningbo-Zhousan. Encore la Chine. Volumes massifs. L’industrialisation à outrance.
  • Shenzhen. Ici, tout s’accélère. L’usine du monde, paraît-il.
  • Guangzhou. Toujours la Chine. Un point de plus sur la carte.

Le commerce. Un cycle. Les marchandises circulent. L’homme suit. Tout est lié. Jusqu’à quand ?

Quel est le premier port à conteneurs du monde ?

Shanghai, hein ? C’est fou, non ? J’y étais en 2019, une vie. Tout était si… immense. On se sent minuscule là-bas.

  • Shanghai, c’est le numéro un. 49 millions d’EVP en 2023. Impressionnant. Vraiment.

J’avais pris des photos, des millions. Sur mon vieux téléphone, je les retrouverai jamais. Dommage.

  • Les chiffres, ça parle. C’est une machine. Une vraie.

Ce port… je me demande les vies qu’il a vu passer. Les gens, les histoires. On se sent si loin. Si seul.

  • 2022, c’était déjà énorme. Mais 2023… un autre niveau.

J’ai toujours été fascinée par les ports. La mer, les bateaux… l’odeur du sel sur ma peau. Il y a tellement d’histoires dans l’air là-bas.

  • Chine. Tout se passe là-bas, non ? Ou presque. Je sais pas trop. Je suis perdue.

Ma sœur a fait un voyage de six mois dans toute l’Asie en 2022. Elle m’a raconté. Je n’ai rien retenu. Je suis fatiguée.

  • 47 millions en 2022… ça fait beaucoup de boîtes. Des conteneurs. Des choses.

Je devrais dormir. Mais je pense à tout ça. À Shanghai. À tout ce qui se passe là-bas. Et à moi. Ici. Seule.

Quel port est le plus grand du monde ?

Ah, Shanghai… le port le plus grand, paraît-il. C’est comme dire que le Mont Blanc est… haut. Original.

  • Bourse en 2006 ? C’est l’époque où j’essayais encore de comprendre le sens du mot “action”. Sans succès, d’ailleurs.

En réalité, la taille, c’est subjectif. On parle de volume de conteneurs ? De superficie ? De potentiel de blocages épiques ?

Disons que Shanghai, c’est un peu la Beyoncé des ports : incontournable, qu’on le veuille ou non. Même si son IPO date un peu, non ?

En tout cas, c’est un sacré bestiau ce port. Et moi, en 2006, j’étais plus préoccupé par ma collection de Pogs. Priorités.

Quels sont les trois types de ports ?

Alors, les ports, c’est un peu comme les Pokémons, y’en a plein de sortes ! Mais si on doit en retenir que 3, c’est ceux-là, tenez-vous bien :

  • Les grands ports maritimes : C’est l’État qui s’en occupe, comme si c’était son gosse préféré qu’il surveille H24. Genre le port du Havre, c’est pas mamie Ginette qui le gère, hein !

  • Les ports autonomes : Toujours l’État, mais en mode “je te laisse un peu faire ta vie, mais je garde un œil”. C’est comme mon cousin Gérard avec sa collection de timbres, il fait ce qu’il veut, mais mémé surveille quand même.

  • Les ports des collectivités : Là, c’est les régions, les départements, les mairies qui s’y collent. Un peu comme la kermesse du village, chacun met la main à la pâte.

Pourquoi trois types ? Parce que c’est le Code des transports qui le dit (article L5311-1, si vous voulez vérifier, mais bon courage pour la lecture, c’est plus barbant qu’un discours de mariage). En gros, ça dépend qui a les sous et qui veut s’en occuper.

Et sinon ? Ben sinon, y’a aussi les ports de plaisance où mon oncle Jean-Claude gare son bateau (celui qu’il a repeint en rose fluo, oui, oui…). Mais ça, c’est une autre histoire.

Quel est le plus grand port naturel du monde ?

Port Jackson, Sydney. Vaste. Profond. Suffisant ?

  • Superficie: Immense. Démesurée. Importe peu.
  • Profondeur: Accueille les plus gros navires. Sans effort.
  • Capacité: Un flux constant. Marchandises. Âmes.

Un point parmi d’autres. L’océan ne distingue pas. Naturel ou artificiel. Juste de l’eau. Sale. Sydney, mon port d’attache, une parenthèse dans l’immensité. La taille… une illusion. On se noie aussi bien dans une flaque que dans un océan. Plus grande est la baie, plus vide elle paraît.

  • New York: Un autre prétendant. Arrogant. Surpeuplé.
  • Rio de Janeiro: Beauté superficielle. Cache la misère.
  • Poole Harbour (UK): Plus grand que l’on pense. Méconnu. Comme moi.

Les chiffres fluctuent. Les classements changent. Insignifiant. Ce qui compte, c’est la profondeur, pas la largeur. La mienne, abyssale. Comme le port de Sydney, un soir d’hiver.

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