Quel est le parcours de la Garonne ?

Parcours de la Garonne : itinéraire complet ?

La Garonne, tu vois, c’est un peu la star du Sud-Ouest, enfin pour moi, c’est plus qu’un fleuve. 525 bornes de voyage franco-espagnol, ça en fait du chemin!

Le truc cool, c’est qu’elle commence en Espagne (Val d’Aran, souvenirs de rando!) et puis hop, direction la France, jusqu’à l’estuaire de la Gironde.

Imagine, son bassin versant, c’est 56 000 km2, carrément 10% du territoire français! J’ai l’impression qu’elle façonne le paysage.

Quel est le trajet de la Garonne ?

Euh… la Garonne ? Attends, je réfléchis.

Bordeaux… c’est le début du truc. La voie verte, ah oui ! 50 bornes jusqu’à Sauveterre. Sauternes au passage, sympa pour la dégustation, non? Mais après ?

• Petites routes… 26 km jusqu’à La Réole. La Réole, c’est joli ça, non?
• Puis… le canal ! Canal de la Garonne, logique en fait.

C’est loin Toulouse? C’est là que ça finit, c’est ça?

J’ai vaguement l’impression que j’oublie des trucs. Le fleuve il part d’où, en fait? Les Pyrénées, c’est ça ? Ou c’est les Alpes ?

Bref, Toulouse, la fin du trajet. Enfin, de ce trajet.

J’ai pris cette route en vélo une fois, c’était en juillet. Horrible, trop chaud. Plus jamais.

Pourquoi on s’intéresse à la Garonne, au juste? C’est pour un truc d’école?

• La voie verte, c’est cool, mais parfois chiant.
• Le canal, c’est plat. Parfait pour les vélos.

J’habite à côté, en fait. 33, c’est chez moi.

Quelle est la longueur de la Garonne en km ?

Cinq cent vingt-neuf kilomètres… Un chiffre, froid, sec. Mais la Garonne, elle, est chaude, elle est vive.

Elle naît, murmure d’eau, dans les montagnes espagnoles, un secret chuchoté. Puis, elle s’éveille…

• Un ruban argenté, serpentin, sous un soleil brûlant.
• Un souffle puissant, qui creuse son lit, sculpte la terre.
• Un miroir, reflétant les nuages, les arbres, mon visage.

La Garonne… Elle coule, elle s’écoule, toujours. Vers l’Atlantique, une promesse d’immensité, un grand rendez-vous. J’ai marché le long de ses rives, à Toulouse, souvenir d’un été, à jamais gravé. Les pierres, les ponts, les reflets…

L’eau, élément vital, un courant qui transporte le temps, les saisons, les rêves. Ce cinq cent vingt-neuf kilomètres… C’est une éternité, une durée infinie.

• Un long fleuve tranquille? Non, une aventure.
• Une histoire à chaque méandre.
• Mon histoire, en partie, attachée à elle.

Son embouchure, la Gironde. Un baiser salé, l’océan. Ce 529, c’est plus qu’une mesure, c’est une sensation. Une infinité de moments emportés par le courant. Un voyage.

529 km, le souffle de la Garonne. Toulouse, Bordeaux… des villes blotties sur ses rives, bercées par son rythme lent et puissant. Un espace, un temps, une vie. Une infinité de vie. Je me souviens des rives, des maisons colorées de mon enfance. La Garonne… toujours là.

Où est la source principale de la Garonne ?

Pla de Beret… Espagne, oui. Pyrénées. Ah, les Pyrénées… J’y suis allée une fois, en 2023, rando avec ma sœur, on a mangé des crêpes… délicieuses. 1860m d’altitude, c’est haut ça ! Je me demande si on est passées près de la source… Probablement pas, on était plus bas, vers Luchon.

Coordonnées ? 42° 42′ 35″ N, 0° 56′ 43″ E… ça ne me dit rien, je suis nulle en géographie.

Val d’Aran… joli nom, non ? J’adorerais y retourner. Mais cette fois, je veux voir la source de la Garonne ! Et peut-être grimper un peu plus haut.

• Source principale : Pla de Beret
• Espagne
• Pyrénées
• Altitude : 1860 mètres
• Trop compliqué ces trucs de coordonnées, je préfère les cartes.

Bon, et maintenant, qu’est-ce que je fais à manger ce soir ? Pâtes ? Non, j’en ai marre des pâtes. Peut-être une salade… ou alors… pizza ? Ouais, pizza !

Et puis, est-ce que je vais enfin ranger ma chambre ? Probablement pas. Demain. Demain, je le ferai.

Point clé: La Garonne naît au Pla de Beret. C’est tout ce que je retiens.

Où se trouve la vallée de la Garonne ?

La Garonne ? Ah, je connais bien. J’ai passé des vacances à Couthures-sur-Garonne l’été dernier, en août, une chaleur étouffante, genre 35°C à l’ombre.

On avait loué une petite maison pas loin du fleuve, juste en amont de Bordeaux.

C’était un peu la galère pour se garer, ruelles étroites, mais quel calme le soir !

Je me souviens, on descendait vers le fleuve, marcher, l’odeur de la terre mouillée, le chant des cigales. C’est un bocage en fait, un vrai labyrinthe vert entre les coteaux.

• Rive droite : des forêts, des pentes abruptes.
• Rive gauche : les vignes, les graves, le Bordelais quoi.

Et entre les deux, ce fleuve immense. Ça change des rivières de chez moi.

J’ai même failli me perdre une fois en voulant prendre des photos !

La lumière y est dingue, surtout au coucher du soleil.

J’avais mon vieux Canon AE-1, celui de mon grand-père, j’ai mitraillé sans arrêt. Je voulais capturer ce paysage unique, cette ambiance.

• Un mélange de douceur et de sauvagerie.
• Un contraste entre les vignobles ordonnés et la nature luxuriante.

Je crois que c’est ça, la vallée de la Garonne.

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