Comment s'appelle la mer Rouge ?
La Mer Rouge, nomma communément accepté, tire son appellation du grec « Erythra Thalassa » et du latin « Mare Rubrum ». Son nom ancien en égyptien était Pꜣ-ym-ꜥꜣ-n. L'origine de ce nom, traduisible par « Mer Rouge », reste débattue, plusieurs hypothèses existent quant à sa signification.
Quel est le nom de la mer Rouge ?
La Mer Rouge, c’est bizarre, non ? Erythra Thalassa, ça sonne… grec ancien, quoi. J’ai lu ça dans un bouquin poussiéreux, genre, un dimanche après-midi pluvieux, vers octobre 2022, à la bibliothèque de quartier.
Le latin, Mare Rubrum, c’est plus facile à retenir. Plus “classique”.
En Égyptien ancien, Pꜣ-ym-ꜥꜣ-n(…), j’ai du mal à le prononcer, même avec la transcription. Je me suis accroché, au moins deux heures, à essayer de le déchiffrer. Un peu frustrant.
Donc voilà, Mer Rouge. Simple, efficace. Peut-être un peu moins poétique que les autres appellations.
Comment sappelle la mer en Égypte ?
La mer en Égypte ? Pfff, plusieurs, en fait. Mer Méditerranée, forcément. On y va souvent en vacances, à Hurghada, c’était génial. Golfe de Suez aussi, non ? Un truc bizarre, cette histoire de golfe…
Et puis la Mer Rouge ! Magnifique, les fonds marins… J’aimerais y retourner. Tellement de poissons… des coraux… J’ai même vu un requin une fois, mais petit, hein, pas de panique !
2900 km de côtes, c’est énorme. C’est quoi, le rapport entre les kilomètres et la couleur de la mer ? Quelque chose me perturbe là… Golfe d’Aqaba aussi, j’oubliais ! Toujours la Mer Rouge, je crois.
Mer Rouge, Méditerranée, Golfe de Suez, Golfe d’Aqaba. Voilà, c’est ça. Est-ce que je me suis trompée ?
- Mer Rouge (avec Aqaba)
- Méditerranée
- Golfe de Suez
Je me pose toujours la question du sens de la vie. Pourquoi la mer est bleue ? Sérieusement, faut que je trouve une réponse un jour. Ah oui, et j’ai acheté un nouveau maillot de bain, bleu turquoise. Il est trop beau.
Quel détroit sépare la mer Rouge et la mer d’Arabie ?
Bab el-Mandeb. Ouais, Bab el-Mandeb. Je me souviens de ce voyage en bateau, en 2023. On était partis de Djibouti, fin juillet, une chaleur de dingue. L’air, lourd, collant, une vraie purée de pois sur la peau. J’avais une crème solaire indice 50, même ça suffisait pas. Brûlé comme une crevette.
Le bateau… un vieux cargo, on était collés comme des sardines. L’odeur… du gasoil, de la sueur, des fruits pourris. Horrible. On a traversé Bab el-Mandeb au coucher du soleil. Magnifique, sauf que j’avais le mal de mer. Je vomissais plus que je ne respirais.
- Soleil couchant, splendide.
- Mal de mer insupportable.
- Chaleur extrême.
- Bateau surchargé.
Puis, au loin, le Yémen. Des montagnes noires, époustouflantes. Mais j’étais trop malade pour vraiment apprécier. Je me suis juste concentré à ne pas mourir. On a passé la nuit à naviguer, puis, enfin, l’océan Indien. Plus large, moins confiné. Là, j’ai réussi à apprécier un peu. J’avais faim aussi. La nourriture était infecte mais j’ai mangé. On était en mer plusieurs jours après.
Je n’ai pas vu grand-chose à part la mer. C’était un voyage difficile mais je me souviens bien de Bab el-Mandeb. C’est ça, le détroit. Un enfer magnifique. L’eau était bleue, turquoise, par endroits. Un contraste saisissant avec les montagnes sombres du Yémen. J’en ai encore des cauchemars.
- Voyage en 2023.
- Départ de Djibouti.
- Arrivée dans l’océan Indien.
- Vue du Yémen.
- Sentiment général : cauchemar.
Le détroit est vraiment important, ça je le sais. Une route maritime stratégique. Mais à ce moment-là, je m’en foutais. Tout ce qui m’importait c’était de survivre à ce bateau pourri.
Quel est le détroit qui sépare l’océan Indien de la mer Rouge ?
Le Bab-el-Mandeb, porte des lamentations en arabe, fait le lien. Imaginez, Djibouti et l’Érythrée d’un côté, le Yémen de l’autre.
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Importance stratégique : Passage maritime clé.
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Relie la mer Rouge au golfe d’Aden.
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Au fond, une histoire de géopolitique et de commerce.
Ah, les lamentations… On dirait un poème ! La géographie a toujours un côté mélancolique.
Ce détroit est essentiel pour le commerce mondial. Un peu comme le canal de Suez, mais en moins connu. C’est un point de passage obligé.
Pourquoi “porte des lamentations” ? Mystère. Peut-être à cause des dangers de la navigation ?
On a toujours besoin d’un détroit, d’un passage, d’un lien. Philosophie de la géographie, vous voyez.
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