Comment vérifier la confluence cellulaire ?

Alors, comment on fait pour savoir si nos cellules sont bien “confluentes” ? C’est une question que je me suis posée, croyez-moi, un paquet de fois au labo. La réponse est en fait assez simple, mais cruciale pour la suite de nos expériences.

En gros, on prend notre bonne vieille amie, la microscope. Et on regarde. On observe juste, attentivement, si les cellules couvrent bien toute la surface de la boîte ou de la plaque. C’est ça, la confluence. Plus il y a de cellules qui se touchent, qui tapissent le fond, plus on se dit “Ah, c’est bon, c’est confluent !”.

C’est super simple, hein ? Mais… c’est aussi assez subjectif, il faut bien l’avouer. On est un peu dans l’estimation là. On évalue à l’œil. Et parfois, on se dit “Hmmm… 80% ? 90% ? Difficile à dire !”.

Je me souviens une fois, où j’étais persuadée que mes cellules étaient bien confluentes. J’avais même préparé tous mes réactifs pour l’expérience. Et là, mon chef de labo jette un coup d’œil et me dit : “Euh, non, pas vraiment. Attends encore un peu.” Grrrr ! J’avais tellement hâte de continuer, mais il avait raison. Mieux vaut être patient que de gâcher une expérience, non ?

C’est vrai que c’est une méthode rapide et facile, mais… est-ce que c’est la plus précise ? Pas vraiment. Mais bon, ça donne une bonne indication. Un point de départ, quoi. Et puis, avec l’expérience, on devient plus précis, on arrive mieux à évaluer tout ça. Enfin, je crois ! 😉