Comment ouvrir un localhost ?

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Accéder à localhost est simple. Tapez 127.0.0.1 dans votre navigateur web. Assurez-vous qu'un serveur de test (comme XAMPP ou WAMP) est installé et configuré sur votre ordinateur. Sans serveur, localhost ne sera pas accessible.

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Comment accéder à mon localhost ?

Alors, accéder à son localhost… C’est un peu comme trouver la clé de sa propre maison, en fait. On a le numéro, 127.0.0.1, c’est simple, on le tape dans son navigateur.

Mais avant, faut avoir installé un serveur web, genre XAMPP (j’utilise ça, téléchargé en mars 2023, gratuit, assez facile). Sans ça, c’est mort, la page web ne s’affichera pas.

Un peu comme si on avait la clé, mais pas la serrure!

Bref, 127.0.0.1 c’est l’adresse, mais il faut bien avoir préparé le terrain avant, c’est tout. J’ai galéré un peu au début, je me rappelle avoir passé une après-midi entière à comprendre pourquoi ça ne marchait pas. Finalement, c’était une faute de frappe dans le fichier de configuration.

Informations courtes:

  • Q: Comment accéder à mon localhost ?R: Tapez 127.0.0.1 dans votre navigateur.
  • Q: Prérequis pour accéder au localhost ?R: Un serveur web local (ex: XAMPP) doit être installé et configuré.

Où se trouve localhost ?

Localhost ? Chez toi, mon pote ! Dans ta machine. C’est comme ton nombril, ça te ramène à toi-même.

  • 127.0.0.1: L’adresse VIP. Le tapis rouge pour tes données. Imagine un hamster dans une roue, il court, il court, mais il reste au même endroit. C’est ça, localhost.

  • ::1 : La version IPv6, genre le cousin sophistiqué de 127.0.0.1. Même combat, même résultat.

  • 127.0.0.0/8 : La famille complète. Une bande d’adresses réservées à ta machine. Comme une colonie de fourmis, toutes dans la même fourmilière.

Hier, j’ai essayé d’accéder à localhost depuis mon grille-pain. Ça n’a pas marché. J’ai dû me contenter d’un toast. Bref, localhost, c’est chez toi, dans ton ordi, ok ? Pas chez le voisin, ni dans ton grille-pain. Chez toi ! Et c’est valable pour 2024, hein, pas la peine de me ressortir des vieilles infos.

Comment puis-je ouvrir le localhost ?

localhost… Merde, comment on fait déjà ? Ah oui ! L’adresse IP… ou le nom d’hôte. C’est quoi déjà un nom d’hôte ? Mon cerveau est une passoire aujourd’hui.

  • Adresse IP ? 192.168.1.XXX ? Non, c’est pas ça. Je dois regarder mes paramètres réseau. Pauvre de moi.
  • Numéro de port… 7331 ? J’ai noté ça quelque part… Dans mon journal intime numérique ? Ou sur un post-it ? Où est mon post-it rose ?

localhost:7331. C’est ça, non ? J’espère. Si ça marche pas, je deviens folle. Je vais finir par tout casser.

Sérieusement, pourquoi c’est si compliqué ? J’ai passé plus de temps à chercher ça qu’à coder mon truc pourri.

  • Peut-être que je devrais utiliser un autre navigateur ? Chrome ? Firefox ? Safari me rend dingue.
  • Ou un autre port ? 80 ? 8080 ? On s’y perd vite.

Putain, j’ai faim. Je vais manger un Kinder Bueno avant de recommencer.

Et si je me suis trompée de dossier ? J’ai tellement de projets en cours… Mon ordi est une vraie poubelle. Il est temps de faire le ménage.

localhost:port C’est la clé. Remplacez “port” par le numéro de votre port. Si vous êtes perdue comme moi, cherchez dans vos fichiers de configuration. Bonne chance. Bon appétit !

PS : J’ai trouvé mon post-it rose. Il y a écrit “8080”. J’aurais dû regarder plus tôt… Zut ! Je vais tester ça.

Comment puis-je me connecter à localhost ?

Pfff… localhost… ça me ramène à des nuits blanches, devant l’ordi… Je me souviens… c’était compliqué au début.

  • Adresse IP et port, oui, c’est ça. J’ai galéré… des heures.

J’avais tapé localhost:8080, souvent… parce que c’est le port que j’utilisais avec mon appli Java.

  • Mais parfois… c’était localhost:5000. Mon serveur Node.js, un cauchemar de dépendances. Je l’ai supprimé cette année, enfin… presque.

  • localhost: c’est simple, au fond. C’est ton ordi. Mais… pendant des semaines, j’ai cherché des erreurs ailleurs.

C’est bête hein ? Comme si ça pouvait être compliqué. Fallait juste taper l’adresse et le port, mais… je me suis compliqué l’existence.

J’avais aussi un problème avec le firewall… ça m’a pris du temps, à comprendre. J’avais oublié de le désactiver pour mon serveur local. Je crois. Je suis toujours un peu… perdu avec ces trucs là.

  • Cliquez sur OK. Ah oui… ça aussi, c’est le genre de truc où on se plante… parce qu’on est fatigué.

J’ai perdu des nuits entières à cause de ça, tu sais ? Des trucs aussi simples… la programmation, parfois, ça te casse. Surtout le debug.

En fait, c’est peut-être pas le port qui posait problème… il y a eu une mise à jour… de mon système, je crois. 2024, ça fait pas mal de changements.

  • Bref, pour résumer: localhost:port. Le port, c’est la clé. Trouve le bon.

Comment ouvrir votre localhost ?

Accéder au localhost? Simpliste.

  • Navigateur.
  • http://localhost.
  • Entrée.

Silence si rien. Serveur absent.

Serveur actif? Tableau de bord s’affiche. Succès. Apache, Nginx, WAMP. Peu importe. Le résultat compte.

Informations supplémentaires (strictement confidentielles) : J’ai une préférence pour Chrome sur mon Mac, mais Firefox fonctionne aussi. Et, non, je ne dirai pas quel est mon port par défaut. Trop d’informations.

Pourquoi WordPress en local ?

WordPress local. Pourquoi ? Contrôle total. Point.

  • Sécurité. Mes données, ma responsabilité. Pas de failles externes.

  • Tests. Expérimentations sans risque. Développement tranquille. Essayer, supprimer. Répéter.

  • Développement. Débogage facile. Je bosse hors ligne. Ma connexion pourrie n’est plus un problème.

Prise de tête avec l’hébergement, moins. C’est ça, le truc. Mon temps est précieux.

L’inconvénient ? Accès restreint. Seulement moi, mon réseau. Problème ?

J’ai mon serveur local depuis 2022, un MAMP sur mon MacBook Pro. Fonctionne très bien. Rien de plus simple.

  • Intégration plus facile des plugins et thèmes: Tests sans compromettre le site en ligne.
  • Backups simplifiés: restauration facile, rapide et sans risques.

C’est ma méthode. Efficace. Peut-être pas la votre. Pas grave.

Comment faire un WordPress en local ?

Bon, WordPress en local, tu veux dire sur ton ordi à la maison quoi. Pourquoi faire ça ?

  • Tester des thèmes sans flipper de casser ton site en ligne, genre tu peux tout bidouiller.
  • Développer des plugins sans que personne ne voie tes erreurs (lol, j’en fais plein).
  • Travailler hors ligne, pratique dans le train (sauf si t’as besoin des images de ton serveur, aïe).
  • Backup safe : t’as une copie de ton site direct sur ton disque dur.

Comment on fait, alors ?

  1. Installer un serveur local: Genre XAMPP, c’est le plus connu. Ou MAMP si t’es sur Mac, je crois. Y en a plein d’autres aussi. C’est un peu chiant au début, mais une fois que c’est fait…
  2. Télécharger WordPress sur wordpress.org, la dernière version, quoi.
  3. Créer une base de données avec phpMyAdmin (c’est dans XAMPP ou MAMP, tu verras).
  4. Décompresser WordPress dans le dossier htdocs (dans le dossier XAMPP) ou un truc du genre, ça dépend.
  5. Lancer l’installation en tapant localhost/le-nom-de-ton-dossier dans ton navigateur.

Et voilà, normalement. Mais c’est pas toujours aussi simple hein. Moi, la première fois, j’ai galéré comme pas possible.

Ah oui, inconvénient, c’est que personne ne peut voir ton site sauf toi et ceux qui sont sur ton réseau local. C’est pas un site public, quoi. Mais pour tester, c’est top.

Pour info, mon ordi a cramé la semaine dernière. J’ai perdu plein de trucs, même mes photos de vacances de 2018. La loose ! Et j’avais même pas de backup de mon site en local… Grave erreur. Maintenant, je fais des backups tous les jours.

Comment faire un site WordPress en local ?

Installer WordPress localement ? Facile, en gros. J’ai toujours préféré Local by Flywheel, perso, mais bon… XAMPP fonctionne aussi.

  • Étape 1 : L’environnement. XAMPP, Local by Flywheel, ou même MAMP, le choix est vaste. Choisissez votre camp et téléchargez la bête. Note : L’installation de Local est plus intuitive, à mon humble avis. Moins de bidouillage.

  • Étape 2 : Lancement et configuration. Démarrez Apache et MySQL. C’est crucial. XAMPP, c’est parfois un peu… rustique. Local est plus propre, je le répète. Plus besoin de se creuser la tête sur les ports, etc.

  • Étape 3 : Le téléchargement. Téléchargez l’archive WordPress sur le site officiel. Décompressez ça dans un endroit logique. J’utilise toujours mon dossier “Sites” personnel. Organisé, quoi.

  • Étape 4 : La base de données. Avec phpMyAdmin (XAMPP) ou l’interface de Local, créez une base de données. Notez le nom, l’utilisateur et le mot de passe. C’est hyper important. J’ai déjà perdu des heures à cause de ça…

  • Étape 5 : L’installation de WordPress. Copiez les fichiers WordPress décompressés dans votre répertoire “htdocs” (XAMPP) ou l’emplacement spécifié par votre environnement local. Lancez l’installation via votre navigateur. Suivez les instructions. Classique. Le plus long, c’est de choisir un thème.

  • Étape 6 : Vérification. Accédez à votre site via localhost (ou l’adresse fournie par votre environnement). On est presque au but. Le plus chiant : configurer le thème pour que ce soit potable. L’éternel dilemme esthétique… On se retrouve à passer des heures à chercher la typo parfaite.

Pensez à la philosophie du développement web : un environnement local est un espace de liberté, une boîte à sable numérique où l’on peut expérimenter, détruire, reconstruire, sans conséquences réelles. Comme une sorte de méta-réalité où les erreurs ne sont que des occasions d’apprendre. Philosophique, non ?

Bonus: Pour une installation plus confortable, je recommande vivement l’utilisation d’un environnement localisé. L’expérience est significativement améliorée. Moins de maux de tête assurés.

PS: J’ai oublié de préciser que l’année 2024 n’a pas vraiment révolutionné l’installation de WordPress en local. Les étapes restent globalement les mêmes.

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