Comment fonctionne Uber en Inde ?

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Uber en Inde : Un modèle dintermédiation.

Uber connecte passagers et chauffeurs indiens via son application, utilisant un algorithme propriétaire pour optimiser les trajets. Lentreprise ne possède pas de véhicules ; elle facture une commission denviron 25% sur chaque course, jouant le rôle de plateforme numérique. Le système repose sur la demande et loffre, gérée par lapplication.

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Alors, Uber en Inde… C’est quelque chose, hein ? J’ai pris Uber là-bas plusieurs fois. Un vrai bazar organisé !

Au fond, c’est une plateforme, comme ils disent. Une espèce d’entremetteuse numérique entre nous, les passagers qui transpirent à grosses gouttes dans la circulation, et les chauffeurs, toujours prêts à négocier… Même si on a déjà un prix sur l’appli ! Mais bon, c’est l’Inde, faut marchander un peu, c’est le jeu.

Ce que j’ai compris, c’est qu’ils se basent sur un algorithme, un truc super compliqué. Est-ce que ça marche vraiment ? Des fois, j’en doute. J’ai l’impression que l’algorithme décide de m’envoyer un chauffeur à l’opposé de la ville, juste pour rigoler ! Bon, peut-être pas… Mais c’est l’impression que ça donne, surtout quand t’es en retard pour un mariage et que tu vois ta voiture faire un détour improbable.

Et ces chauffeurs… La plupart sont adorables, honnêtement. On papote, ils me racontent leur vie, leurs espoirs pour leurs enfants. D’autres, moins. Une fois, j’ai eu un chauffeur qui écoutait de la musique à fond, genre Bollywood remixé, et qui chantait par dessus à tue-tête. J’ai osé lui demander de baisser le volume… Il m’a regardé comme si j’avais insulté sa mère !

L’entreprise Uber, elle, ne possède pas les voitures, c’est ça le truc. Ils se font de l’argent en prenant une commission, environ 25% sur chaque course. 25% ! C’est pas rien, quand on y pense. Est-ce que c’est juste ? C’est une autre question… Ils disent que c’est pour l’application, le marketing, tout ça. Mais quand même…

En gros, c’est l’offre et la demande. S’il y a plus de gens qui veulent une voiture qu’il n’y a de chauffeurs disponibles, les prix grimpent en flèche. Une fois, à Mumbai pendant la mousson, j’ai payé le double du prix normal. J’avais pas le choix, j’étais trempée jusqu’aux os et j’avais besoin d’un endroit sec !

Enfin, voilà, Uber en Inde. C’est un peu chaotique, parfois frustrant, mais souvent pratique. Et puis, c’est une fenêtre sur la vie des gens, un petit instant partagé dans une voiture, au milieu du chaos de la circulation. On ne sait jamais vraiment quelle histoire on va vivre… et c’est ça, peut-être, qui est le plus intéressant.