Comment fonctionne la détection de fatigue dans les voitures ?

Détection de fatigue, vous dites ? Franchement, ça me parle. J’ai testé, et… ouah. Un truc assez bluffant. Imaginez : la voiture vous observe. Subtilement, hein. Elle analyse vos moindres mouvements. Un peu flippant, je l’avoue, au début. Genre Big Brother sur roues. Mais bon, après… on s’y fait. Elle checke si on zigzague, si on pile sans raison, si on a la main lourde sur l’accélérateur… Bref, tous ces petits signes qui montrent qu’on est… comment dire… Plus tout à fait frais. Un peu dans les vapes. Vous voyez le genre ? Moi, une fois, sur l’autoroute, après des heures de route, j’étais claquée. Vraiment. Je luttais pour garder les yeux ouverts. Et là, bim ! L’alerte fatigue. Un signal sonore, un petit message sur le tableau de bord… J’ai sursauté ! Mais… en même temps, soulagée. Comme une piqûre de rappel. “Hé ho ! Réveille-toi ! Danger !” J’ai tout de suite pris la prochaine sortie, trouvé une aire de repos. Café, petite sieste… et hop, repartie. Sans cette alerte… J’y pense parfois… J’aurais peut-être continué… Jusqu’à… Non, je n’ose même pas imaginer. Alors oui, la détection de fatigue… C’est pas juste un gadget. C’est précieux. Vraiment. J’avais lu quelque part, je crois, que la fatigue au volant, c’est responsable d’un paquet d’accidents… Je ne sais plus le chiffre exact… 20% ? Plus ? Peu importe, en fait. Un seul accident évité grâce à ce système, c’est déjà énorme, non ? Alors, Big Brother ou pas… moi, je dis merci.