Qui vit le plus longtemps entre un homme et une femme ?

Qui vit le plus longtemps, finalement ? Un homme ou une femme ? La question me trotte dans la tête depuis que j’ai lu cet article, un peu sec, il faut bien le dire. Statistiquement, on dit que les femmes, c’est clair. Mais ça, c’est la théorie, vous voyez ? Et moi, je suis plutôt du genre à me poser des questions, à me dire : “Et dans la vraie vie, alors ?”

J’ai une tante, ma tante Suzanne, qui a fumé comme un pompier toute sa vie, bu du pastis jusqu’à plus soif, et qui a fêté ses 92 printemps l’année dernière, en pleine forme, riant de toutes ses dents, malgré quelques petits pépins de santé bien sûr. Alors, où est la statistique là-dedans ? On dirait qu’elle a carrément nargué la mortalité, non ?

Par contre, mon grand-père, lui, un homme plutôt sportif et sobre – sauf pour le vin rouge, qu’il sirotait avec modération, bien sûr – est parti à 78 ans, après une courte maladie. Ça, c’est un peu plus dans la norme, apparemment. Mais bon, chaque cas est unique, n’est-ce pas ?

Cet écart d’espérance de vie… je lis qu’il se réduit. On parle même d’une progression plus rapide chez les hommes, j’ai vu ça quelque part… 5 ans, 10 ans de plus dans les prochaines décennies, peut-être ? C’est dingue ! Est-ce que c’est dû à une meilleure hygiène de vie ? À une meilleure prise en charge médicale ? Ou est-ce que les femmes, elles, commencent à adopter des habitudes moins… comment dire… “santé” ? Je plaisante, bien sûr ! Ou pas…

Bref, tout ça pour dire que c’est fascinant, cette course contre la montre, cette espèce de marathon de la longévité ! Il y a tellement de facteurs en jeu, c’est un vrai casse-tête ! Et puis, au final, est-ce que c’est vraiment l’espérance de vie qui compte le plus ? Ou bien la qualité de la vie qu’on a vécue ? Voilà une question qui mérite qu’on s’y attarde un peu plus, non ?