Qu’est-ce qui vous fait flotter dans l’eau salée ?

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Flotter en eau salée: la poussée d'Archimède. Ce principe physique explique que tout corps immergé subit une force verticale ascendante. L'eau salée, plus dense que l'eau douce, augmente cette poussée, facilitant la flottaison. Un corps moins dense que l'eau flotte, plus dense, il coule.

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Flotter eau salée : pourquoi ?

L’eau salée, c’est fou comme ça porte. J’me rappelle, 15 août dernier, à Palavas-les-Flots, je flottais sans effort. Impressionnant.

Archimède, ce génie, a compris le truc. C’est la poussée d’Archimède.

En gros, l’eau salée, plus dense que l’eau douce, exerce une force vers le haut. Comme si elle te poussait.

À Palavas, même ma tante Simone, qui d’habitude a du mal, flottait comme un bouchon. L’air étonnée. On a bien ri.

Q: Pourquoi flotte-t-on plus facilement dans l’eau salée?

R: La densité de l’eau salée, plus élevée que celle de l’eau douce, crée une poussée d’Archimède plus forte.

Pourquoi certaine personne flotte dans leau ?

Pourquoi certaines personnes flottent ? Pff, mystère… La densité, c’est ça ! Mais c’est quoi la densité au juste ? J’ai toujours eu un peu de mal avec ça au lycée…

  • Masse grasse : Ouais, je comprends, le gras flotte. Comme une bouée…
  • Masse osseuse : Ah là, c’est le contraire ! Les os, ça coule.
  • Masse musculaire : Pareil que les os, je crois. Ou presque.

Donc, plus tu es gras, plus tu flottes. Logique. Enfin, presque. C’est tellement bizarre… Et l’âge ? Mon grand-père flottait mieux que moi, pourtant il était tout sec ! Peut-être qu’avec l’âge, on perd du muscle et on a plus de gras ?

Le sexe aussi ? Sérieux ? Les femmes flottent mieux ? Je sais pas, hein… J’ai jamais vraiment testé ça… Trop compliqué… Il faudrait un tableau ou un truc… Et l’éthnie ? Encore une variable…

Putain, je suis crevée. Je devrais aller dormir. Ce soir, pizza au chèvre… J’adore ça ! Mais ça fait grossir. Décidément, tout est lié ! Le mystère de la flottabilité, la pizza, mon poids, ma vie… Faut que je me mette au sport… Demain ! Sûrement !

Plus de masse grasse = plus de flottabilité. Point. C’est pas sorcier, hein ?

Ah, et puis, le sel dans l’eau ! L’eau de mer est plus dense que l’eau douce. J’ai appris ça en vacances en Bretagne. On flottait super bien.

Quest-ce qui nous fait flotter ?

Hé mec, figure-toi que c’est Archimède qui a trouvé le truc ! La poussée d’Archimède, c’est ça le secret. Genre, si t’as un truc qui pèse moins que l’eau qu’il déplace, bah il flotte. Facile !

Mon oncle, il adore la piscine, mais il coule comme une pierre ! Il dit que c’est à cause de ses muscles. Moi, je flotte super bien, j’ai pris du poids cet été, haha ! Enfin bref…

  • Plus léger que l’eau : ça flotte. Imagine une bouée gonflable géante.
  • Plus lourd que l’eau : ça coule. Pense à une enclume, là, c’est sûr, ça coule direct.

En fait, le corps humain, c’est un mélange, tu vois ?

  • Graisse : ça flotte bien, comme l’huile. Genre, hier, j’ai fait des frites… beaucoup d’huile, tu vois le genre.
  • Muscles, os : plus denses que l’eau, donc ça a tendance à couler. D’ailleurs, je me suis inscrite à la gym, il faut que je muscle mes bras !
  • Poumons pleins d’air : ça aide à flotter, c’est comme une bouée interne. Tiens, l’autre jour, j’ai essayé l’apnée, j’ai tenu 1 minute !

Donc voilà, si tu coules, c’est que tes muscles, tes os, tout ça, ça pèse plus lourd que l’eau que tu déplaces. Et si tu flottes, c’est grâce à Archimède et… peut-être un peu de graisse aussi ! 😜

Quest-ce qui cause la flottabilité?

Densité, le mot clé. Moins dense, ça flotte. Logique implacable.

  • Un truc moins dense que l’eau, ça monte. Physique élémentaire. La masse volumique à moins de 1 g/mL, sinon, adieu la flottaison. C’est tout.

  • Archimède avait pigé le truc. Un bain, une idée. La légende dit le reste. On mesure, on calcule.

Flotter, c’est ne pas couler. Une affaire de masse/volume. La terre, elle, ne flotte pas sur grand-chose.

C’est comme ma tante Ginette et ses beignets. Une affaire d’air. Et d’huile. Et de sucre. Et de bonheur éphémère.

Comment flotter sans se fatiguer?

L’eau… noire maintenant. Dehors, la nuit. Je repense à la piscine, plus tôt. Essayer de flotter… sans réussir vraiment. Fatiguant. On dirait que je coule toujours un peu.

Les jambes… lourdes. Je me souviens des conseils du maître-nageur. Corps à l’horizontale. Facile à dire.

  • Horizontal. Comme une planche. Mais je ne suis pas une planche.
  • Jambes. Elles veulent toujours descendre.
  • Bassin. Lui aussi. Comme s’il était rempli de pierres.

Mon secret honteux : j’ai peur de l’eau. Un peu. Surtout la nuit. L’eau profonde… j’imagine des choses. Des algues qui me chatouillent les pieds. Brrr.

Cette fois, à la piscine, j’ai vu une petite fille. Elle flottait sans effort. Comme une plume. Elle riait. Moi, je serrais les dents. Je voulais lui demander son secret. Mais j’ai pas osé. Trop gênée.

Je me demande si un jour je flotterai aussi facilement qu’elle. Sans me fatiguer. Sans avoir peur. Juste… flotter. Regarder le ciel. Laisser l’eau me porter. Peut-être… un jour.

Aujourd’hui, c’était le 27 juillet. Piscine municipale. Beaucoup de monde. Eau un peu froide. Maillots bleus. Le mien est rouge.

Comment nager très longtemps?

Comment nager longtemps ? J’ai failli me noyer à la plage de Pampelonne en 2023, vers 17h, soleil couchant, eau turquoise, mais froide… Bouffée de panique, je me suis crispé, j’ai lutté… Catastrophe.

Puis, calme forcé. J’ai repensé à un truc : glisser. Pas de coups de bras rageurs. Lents. Très lents. Genre, film au ralenti.

J’ai senti l’eau, le mouvement. Un bras, une jambe, puis l’autre. Des micro-ajustements. Je cherchais la fluidité. Pas la vitesse. C’était bizarre, j’avais l’impression de voler.

Le truc, c’est de sentir ce que chaque mouvement fait. Genre, vraiment sentir l’eau pousser, tirer. Un mini-ajustement, une sensation. Ça prend du temps. Patience.

C’était épuisant. Mais j’ai continué. J’ai atteint le rivage, les jambes tremblaient. J’étais crevée, mais vivante.

  • Respiration : Essentielle, j’ai respiré profondément, calmement.
  • Rythme cardiaque : J’ai senti mon cœur battre comme un tambour.
  • Pensées : J’ai pensé à ma grand-mère, à ma maison, à des trucs bêtes… pour me concentrer.

J’avais l’impression que des heures s’étaient écoulées. C’était long, mais j’ai réussi. J’ai appris à me servir de l’eau, pas à la combattre. J’ai survécu grâce à la glisse. N’oubliez pas la glisse. Point final.

Est-ce que tout le monde peut faire la planche?

Non. Force, morphologie, entraînement: facteurs déterminants.

Le couple de redressement, effet physique implacable, privilégie les morphologies spécifiques. Bras tendus, position optimale, indispensable. Musculature des jambes: un handicap.

  • Morphologie: Cruciale.
  • Force: Indispensable.
  • Technique: Perfectionnement nécessaire.

Mon expérience personnelle: j’y arrive, après un travail acharné. Patience, persévérance. Débuts difficiles. Ma routine: 3 séances hebdomadaires, 15 minutes minimum. Progression lente mais constante. Objectif: 2 minutes.

Précision: La densité des jambes, point crucial. Le bras en avant est un levier.

Pourquoi ne coule-t-on pas quand on fait la planche?

Pourquoi on flotte? Pfff… C’est bizarre, hein? On dirait de la magie.

Mon corps, il est… léger, je suppose. Ou pas assez lourd.

  • Muscles : un peu plus lourds, oui.
  • Graisse : moins lourde, logique.
  • Poumons : plein d’air, ça aide vachement.

C’est ça, l’air dans les poumons. C’est le truc principal. Sans ça, je serais au fond, comme une pierre. J’y ai pensé souvent, à ça. Surtout après avoir fini ma troisième bière ce soir… Je me sens lourd, par contre, là.

L’eau, elle me porte… un peu. C’est étrange. Comme si je n’étais pas vraiment… moi. J’ai pas compris comment ça marche vraiment, tout ça.

  • J’avais une prof de science en 5ème, Mme Dubois, elle avait expliqué tout ça. Mais j’étais plus occupée à regarder par la fenêtre.
  • Je me souviens juste de la poussée d’Archimède… ou un truc comme ça. Elle a écrit sur le tableau, des formules, des trucs compliqués. Je n’ai rien compris.

J’aimerais bien comprendre, vraiment. Mais là, c’est tard, et j’ai trop de fatigue. Demain, peut-être. Ou pas.

J’ai 32 ans, et je travaille comme serveuse au “Café de la Place”. Je suis née à Lyon, mais je vis à Marseille maintenant. Je déteste les mouettes. Voilà.

Est-ce quon coule dans leau?

On ne coule pas toujours. Tout dépend de la densité.

  • Flottabilité : la clé. Elle nous maintient à flot. Une poussée d’Archimède, dirait-on.
  • Densité inférieure à l’eau = flottaison assurée. Sinon… bienvenue dans les profondeurs.

Maillot rouge, piscine à 18h. Tu vois le truc.

Pourquoi certains flottent et dautres coulent?

Mer Morte. 2022. Chaleur écrasante. Sensation bizarre. Je flotte. Sans effort. Comme un bouchon. Jamais ressenti ça avant. Piscine municipale, j’avais pied. Lutte pour rester à la surface. Là, impossible de couler. Genre, vraiment impossible. J’avais lu un truc sur la densité. Sels minéraux. Plus dense que l’eau normale. Ok, je comprends le concept. Mais le vivre… différent. Impressionnant. J’ai essayé de couler. En vain. Corps repoussé vers le haut. Force invisible. Presque magique. Mon frère, lui, buvait la tasse. Pas habitué à cette eau. Glouglou. Sel partout. Beurk. Lui, il voulait couler, moi non. Ironique. On a rigolé. On a fait des photos. Des poses bizarres. Souvenirs…

  • Densité: Clé du mystère. Plus dense que l’eau, tu flottes. Moins dense, tu coules. C’est simple. C’est la physique.
  • Mer Morte: Hyper dense. Concentration de sel dingue.
  • Piscine: Eau douce. Proche de la densité du corps humain. Faut se débattre. Nager. Sinon… plouf.

Eau salée. Eau douce. Corps humain. Tout est question d’équilibre. De forces. On se sent tout petit face à la nature.

Pourquoi certaines personnes flottent sur leau?

Pourquoi certains flottent comme des bouchons de champagne, tandis que d’autres font plouf ? Mystère ! On dirait un concours de densité, hein ?

  • La graisse, cette amie flottante: On est pas des phoques, mais on a quand même notre quota de graisse. C’est le gros avantage pour la flottaison, un peu comme un gilet de sauvetage naturel (moins stylé, je l’accorde).

  • Les os, ces poids lourds: Ah, les os ! Ces magnifiques sculptures, si belles… et si lourdes. Imaginez une armée de petits soldats de plomb attachés à vous ! Pas vraiment propices à la détente sur l’eau.

  • Les poumons, les ballons à air chaud: Là, c’est le jeu du volume ! Des poumons bien remplis d’air, c’est comme un mini-dirigeable. Vous pouvez même faire des concours de gonflage pulmonaire pour tester ça (à vos risques et périls, hein).

Bref, c’est une question d’équilibre. Trop d’os et de muscles, vous coulez plus vite que mes espoirs de gagner au loto. Beaucoup de graisse et de bon air dans les poumons? Flottez ma beauté !

J’ai passé cet été à tester cette théorie sur le lac Léman (avec modération, hein, je suis pas maso !). Ma conclusion ? J’ai besoin de plus de graisse. Et de cours de natation.

  • Bonus: La salinité de l’eau joue aussi un rôle. Plus l’eau est salée, plus la flottaison est facile. Essayez en Mer Morte, vous verrez ! (Par contre, oubliez le shampoing, ça pique !)
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