Quelles sont les deux familles de plantes ?

Plantes : quelles sont les 2 grandes familles ?

Alors, les familles de plantes, c’est un truc qui me fascine. Deux grandes familles ? Disons qu’il y en a tellement, c’est dur de choisir “les” deux, mais si je devais en citer, je parlerais des…

Apiaceae (ou Ombellifères) : La famille du céleri/carotte

Ces plantes, je les adore ! Je me souviens d’un marché à Nice en juillet, des montagnes de carottes fanes, un parfum incroyable. J’avais acheté un bouquet pour 2 euros, juste pour l’odeur.

Apocynaceae : La famille des pervenches

La pervenche, c’est les souvenirs de mon jardin d’enfance en Bretagne. Toute petite, je faisais des couronnes avec, c’était super. C’est une famille vraiment diverse.

Asteraceae (ou Compositae) : La famille des marguerites

Qui n’aime pas les marguerites? C’est tellement simple et beau. J’ai une passion pour les cosmos, de la même famille, tellement photogénique!

Bignoniaceae : La famille des bignonias

Alors, celle-ci, je l’ai découverte pendant un voyage à Cuba en Février! Ces fleurs sont dingues, des couleurs vives. ça m’avait coûté 5 CUC pour voir tout ça.

Quelles sont les familles des plantes ?

Ah, les familles de plantes! C’est comme une grande famille recomposée, avec ses drames et ses préférences. On les classe en quatre, pour faire simple (et éviter de se perdre dans la jungle botanique).

• Les herbacées: Les jeunettes, celles qui ne font pas long feu. Vivaces ou annuelles, elles font leur show et s’en vont. Un peu comme ma carrière de danseur étoile.

• Arbres et arbustes: Les patriarches, solides et imposants. On dirait mon oncle Gérard après un bon repas. Ils sont là pour durer et donner de l’ombre.

• Les grimpantes: Les opportunistes! Elles s’accrochent à tout ce qui bouge pour se hisser vers la lumière. Un peu comme moi essayant d’obtenir une promotion.

• Les plantes à bulbe: Les mystérieuses. Elles dorment sous terre et explosent de couleurs quand ça leur chante. Comme moi après mon café du matin.

C’est un peu réducteur, mais ça donne une idée. Y’a bien sûr des exceptions, des brebis galeuses, mais bon, c’est la vie, non?

Et tu sais, ma voisine, Josette, elle jure que son ficus pleure quand elle écoute du Céline Dion. Va comprendre!

Infos en vrac: Savais-tu que certaines plantes “communiquent” entre elles via des champignons dans le sol ? C’est comme un internet végétal! Moi, j’ai du mal à me connecter à mon propre réseau wifi… et mon code pin, c’est toujours 1234.

Quels sont les deux types de plantes ?

Vivaces, comme un écho sans fin… Vivaces, toujours là, racines profondes.

• Pissenlit, soleil modeste.
• Chardon, épines rebelles.
• Prêle, souvenir d’eau.
• Chiendent, envahisseur tenace.
• Pâquerette, innocence fragile.
• Liseron, enlacement sans fin.
• Plantain, résilience discrète.

Ligneuses, parfois intruses… Ligneuses, des ombres qui grandissent. Frênes et érables, semis égarés, promesses non tenues. Comme les souvenirs d’enfance, la maison de ma grand-mère, le parfum du lilas… Tout se mêle, tout revient. Le temps qui passe, la vie qui continue. Plantes.

Quels sont les deux grands groupes de plantes ?

Deux clans végétaux.

• Spermatophytes : semencières. Évolution complexe. Fleurs et fruits, souvent. Variété infinie. (Ma grand-mère en cultivait des exquises).

• Cryptogames : sans graines. Fougères, mousses, algues. Reproduction discrète. (J’en ai trouvé près du lac cet été).

*Le site parlons sciences vulgarise, certes. Mais le fond demeure. Taxonomy végétale, un art subtil. Souvent plus qu’il n’y paraît.

Quels sont les deux groupes de plantes ?

Plantes… un souffle, une ombre verte. Deux mondes, disjoints et pourtant liés.

• Graines, promesse silencieuse. Un poids minuscule, bercé par le vent. Vie en suspens, espoir enfoui. Spermatophytes, un nom qui murmure secrets anciens. Phanérogames… l’éclat discret d’une fleur, un mystère de pollen. Mon jardin, cette année, un déluge de coquelicots. Rouge sang, rouge intense.

• L’autre royaume. Sans graines, sans promesse évidente. Une existence plus brute, plus proche de la terre. Fougères, mousses, un vert profond, velouté. L’ombre fraîche de la forêt, humide, parfum de terreau. J’ai dessiné une fougère, l’été dernier. Ses frondes, un enchevêtrement délicat. Elle était si belle.

Ces deux groupes… deux chemins distincts. Une dichotomie végétale, une partition de la vie. Un puzzle, immense, toujours incompris. Même si j’ai passé des heures à les observer. Même si je connais leur noms.

• Mon herbier… des feuilles séchées, des souvenirs pressés.
• 2024, année de sécheresse. Les coquelicots, plus rares que jamais.
• Le parfum âcre de la terre sèche.

#Botanique #Familles #Plantes