Quelle est la matière des routes ?
Routes : l'asphalte ou béton bitumineux les compose. Ce mélange de gravillons, sable et fillers (fines particules) est lié par du brai, dérivé du pétrole. Pose à chaud ou à froid possible.
De quoi sont faites les routes ? Matériaux et composition routière ?
Alors, les routes… c’est fascinant, non ? J’ai toujours trouvé ça intéressant, ce mélange bizarre.
En fait, j’ai vu une fois, genre en juillet 2022 près de chez ma tante à Aix-en-Provence, un camion déverser ce truc noirâtre et collant. Ça sentait vraiment fort, le pétrole, quoi.
C’est de l’asphalte, paraît-il. Un mélange de cailloux, du sable, des trucs fins, et ce fameux bitume, dérivé du pétrole. On dirait une grosse purée foncée.
On m’a dit que ça pouvait être posé chaud ou froid, mais je suis pas expert hein. J’imagine que ça dépend de la recette, des conditions… Bref, mystère.
Comment construit-on les routes ?
Les routes… un souffle de goudron chaud, un ruban sans fin.
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Revêtement bitumineux flexible : Des larmes noires qui s’étendent, un horizon sombre. Souvent, souvent…
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Agrégats non liés : Des pierres murmurantes, un secret enfoui. Sous, toujours sous…
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Sous-couche, base granulaire… un lit de cailloux, mon enfance dans la carrière du village. Enrobé, un mot lourd, comme le silence après l’orage.
Des couches, des couches… comme les années qui s’accumulent. Le bruit des machines, la chaleur étouffante. La route avale tout. Construction en couches, encore et encore.
- Le bitume, c’est comme cette odeur chez mon grand père, mélange de vieux pneus et de soleil brulant…
- Agrégats du nord, du sud, c’est la france entière sous mes pieds… enfin, sous les pneus des voitures qui passent maintenant devant chez moi à Rouen.
- La base granulaire: C’est un souvenir vague de vacances en Bretagne.
Quels sont les matériaux utilisés pour construire une route ?
Routes : composition.
Enrobés. Point. Froid, tiède, rouge. Durabilité variable.
- Bitume haut de gamme (rouge). Porphyre. Oxyde de fer.
- Drainant. Sols poreux.
- Bicouche. Parking. Allées. Moins résistant que le macadam.
Mon père, ingénieur, parlait souvent de ces bétons spéciaux. Chimie complexe.
Macadam. Référence. Plus solide que le bicouche.
Béton. Autre solution. Plus rare en surface.
J’ai passé l’été 2023 à travailler sur un projet autoroutier. Expérience instructive. Problèmes de sols.
Résistance au gel. Critère primordial. Épaisseurs variables. Dépend du trafic.
Comment tracer les routes ?
Tracer des routes ? Détails sans importance.
- Zoomer. Évidence.
- Échelle à 20m. Plus ou moins.
- Suffisamment de points. Le but, non ?
Rester sur la route. Comme dans la vie.
Peu importe les détails. Le résultat compte. Image satellite. Froideur du progrès.
Les routes se tracent. Les destins aussi. Parfois.
Informations additionnelles:
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Ma grand-mère disait toujours : “Le chemin est plus important que la destination.” Foutaises.
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J’ai mangé une pomme. Vert pomme.
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Mon chat s’appelle Nietzsche. Ironique.
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Hier, j’ai pensé au néant. Aujourd’hui, je vais faire des courses.
Comment tracer des routes ?
Tracer des routes. Une affaire de projection.
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Projection sur l’horizon. Vue d’ensemble. Utile.
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Plan topographique. Le support. Le terrain parle, si on l’écoute.
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Axe de la route. Ligne de fuite. Vers où ?
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Profils en travers. Découpes. La route n’est jamais plate.
C’est aussi simple que ça, paraît-il. Comme la vie, finalement. Mon père aimait les cartes.
Comment tracer une route sur Google Maps ?
Cartographier un itinéraire. Simple.
- Ouvrir Google Earth.
- Cibler la localisation.
- Sélectionner Ajouter un trajet.
- Cliquer, glisser, définir le point final.
Précisions : Google Earth, pas Maps. L’outil polygone permet des formes complexes. Possibilité d’ajuster, modifier le tracé après création. Données d’altitude intégrées au parcours. Export possible (KML, KMZ). Mon dernier tracé ? Segment Islande-Groenland, 9 juin 2024. Intéressant pour visualiser la tectonique des plaques.
Comment fait-on une route ?
Bâtir une route, c’est un peu comme sculpter le paysage. On part d’une idée, d’un besoin de relier deux points.
- Planification : C’est la carte au trésor. On étudie le terrain, les contraintes environnementales et les besoins des usagers.
- Préparation : On déblaie, on aplanit. C’est un peu comme faire le vide avant de créer.
- Terrassement : On sculpte la terre. On remblaye, on décaisse. On donne forme.
Ensuite, on solidifie le tout :
- Fondation et base : Graviers, pierres concassées. C’est le squelette de la route.
- Chaussée : L’asphalte, le béton. La peau de la route.
Enfin, on habille :
- Signalisation : Les panneaux, les marquages au sol. Le langage de la route.
- Finitions : Bordures, glissières. Les détails qui comptent.
Tout ça, c’est un ballet complexe, une coordination entre des gens qui savent ce qu’ils font. Et au final, on a une route. Une route qui relie, qui permet d’aller voir ailleurs. C’est pas mal, non ? J’ai fait ça une fois, j’étais jeune, sur la RN7, au sud de Lyon. C’était avant, bien avant. L’époque des mobylettes et des copains. On se sentait invincible.
D’ailleurs, ça me fait penser à une phrase que j’ai lue quelque part : “On ne fait pas de grandes choses, seulement de petites choses avec un grand amour”. C’est un peu ça, construire une route.
Comment fait-on les routes ?
Nuit… encore. Je repense à ces routes… leur noir lisse… On dirait du chocolat fondu. Sauf que c’est dur. Et froid, la plupart du temps.
- Chaud d’abord. Dans un… truc. Une machine.
- Bitume. Ça me rappelle vaguement… les cours de chimie. Lointain souvenir.
Mélange. Avec des… cailloux ? Graviers ? Petits morceaux. Différentes tailles. J’imagine.
- Granulats. Le mot me revient. Comme un éclair. Dans le noir.
Puis… étalé. Comme une pâte à crêpe géante. Sauf que… beaucoup plus épais. Et noir. Toujours ce noir.
- Épandeuse. Je vois la machine. Dans ma tête. Floue.
Enfin… aplati. Écrasé. Par un monstre d’acier. Lourd. Puissant. Pour que ce soit bien lisse. Bien plat.
- Rouleau compresseur. Vibrations. Dans le sol. Jusqu’à mes os.
Je me souviens… l’été dernier. Route barrée. Travaux. L’odeur… forte. Acre. Le bruit… assourdissant. On a dû faire un détour. Par la forêt. Chemin de terre. Cahots. Poussière. On est arrivés en retard. Au mariage de ma cousine. Elle était… magnifique. Dans sa robe blanche. Maintenant… elle attend un enfant. Le temps passe. Comme les voitures… sur les routes. Noires. Lisses. Indifférentes.
Comment fabrique-t-on les routes ?
Fabriquer une route, c’est plus qu’étaler du bitume. C’est un savant mélange d’ingrédients et de savoir-faire.
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L’asphalte, ce n’est pas juste ce truc noir qu’on voit. C’est un cocktail de granulats (pierres, graviers, sable) liés par un liant bitumineux. C’est lui qui donne la couleur sombre et l’imperméabilité.
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L’application ? On étale, puis on compacte. Le but : une surface lisse, résistante, capable d’encaisser le passage incessant des véhicules.
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Et pour que l’eau ne stagne pas ? On prévoit une pente légère, un genre d’inclinaison subtile pour que l’eau ruisselle vers les côtés. C’est plus agréable pour les conducteurs, et ça préserve la route.
C’est un peu comme faire une tarte, en fait. Faut doser les ingrédients, respecter la recette, et espérer que le résultat soit à la hauteur. Et si ma tante en avait, on l’appellerait mon oncle, n’est-ce pas ? Mais bon, une route, c’est quand même un peu plus utile qu’une tarte (quoique, parfois…). Tiens, ça me rappelle cette route de campagne près de chez mes parents, à côté de Saint-Étienne. Une vraie catastrophe, à chaque printemps.
Un détail, souvent oublié : la fondation de la route. Sous l’asphalte, il y a plusieurs couches de matériaux, comme du gravier, qui assurent la stabilité et le drainage. C’est un peu comme les fondations d’une maison, sans elles, tout s’écroule.
#Construction #Matériaux #RoutesCommentez la réponse:
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