Quel pourcentage d’énergie est libéré lors de la fermentation ?

7% seulement ? Sérieux ? C’est… dérisoire ! J’avoue, je suis un peu sidérée. Je m’imaginais, naïvement peut-être, que la fermentation, ce processus ancestral, serait plus… performant. Genre, au moins la moitié, quoi ! Bon, ok, ça marche pour faire lever ma pâte à pain (et ça, c’est magique, avouons-le !) ou pour brasser une bonne bière fraîche – tiens, d’ailleurs, la dernière fois que j’ai fait de la bière avec mon cousin, on a… bref, c’est pas le sujet. Mais 7%… Imaginez le gaspillage ! Toute cette énergie potentielle, laissée de côté, pfff… C’est comme si on remplissait le réservoir de sa voiture et qu’on ne pouvait utiliser que quelques gouttes. Un peu frustrant, non ? Et encore, ces 7%, ce n’est même pas directement utilisable comme ATP, l’énergie de nos cellules. Il faut encore des transformations. C’est un peu comme si on vous payait en monnaie étrangère, vous voyez ? Obligé de tout convertir, et ça prend du temps et de l’énergie ! On perd encore au change. Alors oui, la fermentation, c’est pratique, c’est historique, mais niveau efficacité énergétique… on a vu mieux. Franchement. Quelqu’un m’explique pourquoi la nature a choisi ce chemin-là ?