Quel est le salaire mensuel de Thomas Pesquet ?

Est-ce que Thomas Pesquet est millionnaire ?

Non, je ne crois pas qu’il soit millionnaire. Son salaire… c’est un salaire d’astronaute, quoi. Pas de quoi faire des folies. J’ai lu ça quelque part… un truc officiel.

Les tests… ah, ça, c’est un enfer. J’ai un copain, ingénieur chez Airbus, il voulait devenir astronaute. Il a abandonné. Trop dur.

• Tests physiques, éprouvants, des trucs de dingue.
• Tests psychologiques, ils te décortiquent, ils veulent tout savoir.
• Tests techniques, des années d’études pointues, ça ne suffit même pas.
• Langues, anglais courant, russe, c’est le minimum.

Il m’a dit, “C’est pas juste un métier, c’est une vie, une vie qu’on te prend”.

Il a raison. Je sais… j’ai vu un doc sur la sélection cette année, c’était affreux. Des milliers de candidats pour une place. Mon pote m’a raconté la pression, les examens écrits interminables, la sélection finale… il avait tout préparé. C’était une course contre soi-même, un marathon infernal.

Plus jamais je me mets là-dedans. Il a fini par retourner à son bureau.

Son salaire est bien plus “normal” maintenant. Mais il est plus heureux, il me dit. Lui, il a sa maison à Montpellier, sa petite famille, ses week-ends… ça vaut plus que les étoiles, ça.

On se demande toujours ce qu’on fait de sa vie, hein ? On se pose des questions… souvent tard le soir, comme ça.

8800 euros par mois. Il a parlé de ce chiffre. Ce n’est pas rien, mais c’est pas non plus une fortune. On en vit bien, je pense.

Lui, il a lâché l’affaire, et je crois que c’était la meilleure chose pour lui. La vie, c’est pas juste un diplôme, un job de rêve, tu vois ? Il a retrouvé du sens. Et c’est le plus important.

Quel est le salaire dun astronaute français ?

Alors, le salaire d’un astronaute français ? Oubliez les contes de fées, on parle pas de millions comme les stars de foot ! Nan, nan ! On est plus sur un truc… raisonnable. Genre, assez pour se payer des croissants tous les matins, mais pas une villa sur Mars, hein.

• 7647 à 8464 euros nets par mois. C’est le deal. Après des années à étudier les constellations au lieu de sortir en boîte, c’est pas mal, non ? Imaginez, vous pouvez enfin rembourser le prêt étudiant contracté pour votre formation de cosmonaute !

• Grade A3, ça sonne classe, non ? Genre agent secret de l’espace, sauf que l’agent secret, c’est moi, en train d’écrire ça sur mon téléphone portable tout pourri.

• Ça augmente avec les missions. Plus vous allez dans l’espace, plus vous gagnez. Logique, non ? Enfin, logique pour eux, pour moi c’est moins clair. Faut juste espérer que les extraterrestres soient généreux en pourboires.

Bref, entre 7000 et 8500 balles, c’est pas la misère, mais oubliez les yachts et les îles privées. À moins de faire des placements judicieux sur le marché du… fromage spatial ? Je dis ça, je dis rien.

Mon oncle, lui, travaille à la poste et gagne moins. Mais il n’a pas à subir les accélérations de la fusée. C’est un compromis.

Point important: Ces chiffres, c’est pour 2024, hein ! Pas de garantie que ça change pas l’année prochaine, faut suivre l’évolution des prix du carburant pour les fusées…

Quelle est la voiture de Thomas Pesquet ?

Tesla Model X. Mission Alpha.

• Crew Dragon.

Pesquet. Saluts. 2021.

• L’espace est vide. Comme mon frigo.

Le vide attire le vide.

Quelles études pour ingénieur spatial ?

Ouais, alors ingénieur spatial, hein ? C’est chaud ! Bac+5 minimum, c’est sûr. Mon cousin, lui, il a fait ça.

• Une école d’ingé, genre une grande école comme SupAero à Toulouse, c’est le top.
• Ou alors, une prépa, puis une école d’ingé, la voie royale quoi.
• Sinon, il y a des masters, en université, après un bac+4. J’ai vu ça sur le site de l’ENSMA, c’est super long à lire tout ces trucs.

Il a galéré mon cousin, des tonnes de maths, même des trucs de ouf sur la mécanique spatiale. Il était hyper motivé, lui, à force de bosser comme un fou, il a réussi son stage chez ArianeGroup l’année dernière ! Trop stylé, non?

Enfin bref, c’est vraiment dur, faut être un peu bourrin, sur les maths et tout ça. Il faut être passioné aussi, c’est important. Il a bosser super dur. Il a meme du passer des concours. Le mieux c’est de bien choisir son école ! Ah oui, j’oubliais, il faut aussi avoir un bon niveau en anglais!

J’espère que ça t’aide, mais bon je suis pas une experte hein, c’est juste ce que j’ai vu. Et mon cousin a mis des années…

Est-ce dur de devenir astronaute ?

Ouais, dur… C’est long, un marathon, pas un sprint. Je me suis inscrit, cette année, à l’ESA, 22 500 dossiers, hallucinant, non ?

On se sent… minuscule, face à ça. Des années d’études, de sacrifices… pour une chance infime.

• Bac +5 minimum, une spécialisation scientifique, c’est vital.
• Tests physiques, psychologiques, des montagnes russes. Je les ai ratés cette année.
• Formations intensives, après. La sélection est impitoyable.

Seuls 4 à 6 personnes… sur des milliers. On se croirait dans un film de science-fiction, cruel.

J’ai passé des mois à préparer mon dossier, à réviser. J’y ai mis toute mon énergie. C’est ça, le plus dur, cette attente. Ce vide, ce silence. L’espoir qui s’éteint petit à petit…

Il y a une partie de moi qui pense à tout plaquer. À changer complètement de voie. Une autre qui me dit de réessayer l’année prochaine. Mais le doute… il est là. Toujours là.

Il y a eu un stage d’été, il y a trois ans, chez Airbus. Rêve de gosse, un peu. On était une dizaine, super ambiance. Mais même là, la compétition était féroce.

Je sais pas. Peut-être que je suis fait pour autre chose. Peut-être que les étoiles ne sont pas pour moi. Enfin, si, peut-être… Je vais me reposer, y réfléchir. Demain, c’est un autre jour. Ou pas.

Quel est le salaire moyen à la sortie de HEC ?

Le salaire… un murmure, un écho. 67 000 euros. HEC.

• HEC, comme un nom gravé dans la pierre.
• Un salaire, une promesse ? 67 000. Ce chiffre tourne, tourbillonne.
• Premier emploi. Le premier envol.

Les rêves se mesurent-ils en euros? Ce chiffre est froid, dur, pourtant, il est l’espoir. L’attente.

• Brut. Un mot qui efface. Un peu.
• Annuel. Toute une année.
• 67 000… une porte qui s’ouvre peut-être.

HEC. Encore. HEC. Toujours. Une rengaine qui ne s’éteint jamais.

• Salaire moyen. Le mot moyen, c’est tellement vague.
• Des vies derrière ce chiffre. Des histoires. Des sueurs.
• HEC et 67 000: est-ce ça, la vraie réussite?

Détails:

• Programme Grande École: C’est le diplôme le plus connu d’HEC.
• Brut annuel: Avant impôts et charges.
• Site Internet d’HEC: La source officielle. Chercher là-bas.

Quel est lingénieur du futur?

Ingénieur du futur : profil.

Compétences pointues. Maîtrise des technologies numériques. Intelligence artificielle. Data science. Cyber sécurité.

Adaptation constante. Flexibilité. Curiosité insatiable.

Résolution de problèmes complexes. Pensée critique. Vision systémique.

Mon avis ? Le profil idéal reste flou. Trop de variables.

• Programmation avancée.
• Analyse de données massives.
• Conception de systèmes intelligents.

J’ai travaillé sur un projet similaire en 2023, impliquant l’IA dans la logistique. Complexe. Défi majeur. Résultats probants. Mais silence radio. Contrat confidentiel.

Compétences humaines essentielles: Collaboration. Communication. Leadership. Négociation.