Qu’arrive-t-il au corps humain dans le vide spatial ?
Le vide spatial et le corps humain :
Dans l'espace, l'absence d'air et de pesanteur crée des défis majeurs. Le danger principal est la dépressurisation. Le vide spatial, dépourvu d'oxygène, rend la respiration impossible et menace la survie. La combinaison spatiale est donc vitale.
Question ?
L’espace, c’est pas vraiment fait pour nous, hein? Pas d’air, pas de gravité… c’est un peu le chaos organisé.
En fait, ce qui me flippe le plus, c’est cette histoire de dépressurisation. Imagines-toi… Le vide total.
Genre, un documentaire que j’ai vu l’autre jour (sur Arte, je crois), ça expliquait que l’absence d’oxygène, c’est pas juste un détail. C’est LA raison pour laquelle on ne peut pas respirer. Logique, en même temps.
Le vide, c’est le vide. Y’a rien.
Et “Sciences et Avenir” le dit aussi. Pas de dioxygène = game over. C’est simple, direct. Effrayant.
Comment réagit le corps dans lespace ?
Flotter, un doux abandon. Le corps allégé, presque absent.
Le coeur, un tambour qui ralentit. Moins de sang à pousser, vers des jambes lointaines.
- Un murmure, un soupir.
- Le coeur s’arrondit, se replie sur lui-même.
- Un affaiblissement progressif, une douce atrophie.
Comme un souvenir qui s’estompe. Maman disait toujours, prends soin de ton coeur.
Des amis me manquent. Nicolas surtout.
C’est loin, la terre.
La gravité, un fardeau oublié.
Quest-ce qui se passe si on va dans lespace ?
Ouf, l’espace… J’ai vu un doc sur ça, un truc de la NASA, en juillet dernier, sur Arte je crois. Pas cool du tout.
Ils montraient des expériences, des trucs de simulation, horribles.
- Absence de pression, c’est ça le truc principal.
- Bouillir, le sang. Direct.
- Congeler ensuite, avant même de s’évaporer complètement.
- Une minute, maxi.
On m’avait dit ça une fois par un prof de physique à la fac, en 2021. Il avait l’air vraiment… grave, quoi. On était en amphi 205, un vendredi après-midi, il pleuvait des cordes. J’avais déjà la tête ailleurs, je pensais à mon rdv chez le dentiste.
C’était bizarre, l’explication. Comme un truc de film de science-fiction. Trop rapide. Genre, pouf, fini.
J’ai pas trop compris en fait, toutes les explications physiques, avec les équations et tout. Mais l’image… la sensation… pfiou. Glaciale.
Enfin bref, mort instantanée, apparemment.
Déjà, je supporte pas les avions, alors… l’espace, non merci !
- Date : Juillet 2024 (documentaire)
- Lieu : Chez moi, devant ma télé.
- Sentiment : Effroi, une vraie trouille.
2021: cours de physique, amphi 205. ça m’a vraiment marqué. J’avais une grosse angine ce jour-là.
Quel est le record de temps passe dans lespace ?
878 jours et 12 heures…
C’est une éternité, tu sais.
Quand j’y pense, ça me paraît fou.
- C’est Oleg Kononenko, un Russe.
- Il a dépassé Gennady Padalka.
On dirait une vie entière, coupée du monde.
Il a commencé comme ingénieur.
Pourquoi faire ça ? Je me demande.
C’est comme se perdre, volontairement.
Le record d’avant, c’était en 2015. Le temps file.
Moi, je crois que je tiendrais pas une semaine.
Pourquoi le corps vieillit plus vite dans lespace ?
Ouais… le vieillissement dans l’espace… c’est bizarre, hein ? On dirait que tout s’accélère.
- La gravité, ou plutôt son absence. C’est ça le truc principal, je crois. Les os… ils ont plus rien à supporter. Ils se ramollissent. Je me souviens d’un doc qui parlait de ça, un truc sur les rats. Horrible.
J’ai lu un truc sur la perte osseuse. C’est fou. 1% par an sur Terre, c’est déjà beaucoup. 1.5% par mois… dans l’espace… imagine…
- Le stress aussi. Pas juste le stress physique, le mental, l’isolement… tout ça joue. On dirait qu’on se consume de l’intérieur. Ça use.
Mon oncle, il était pilote de chasse. Il a raconté des trucs… des effets de la pression, des G… et puis il est mort d’une maladie osseuse, l’année dernière… Coïncidence ? Je sais pas.
- Les radiations, je pense. C’est une autre chose. C’est plus insidieux. On ne le voit pas, mais ça doit abîmer tout le système… cellules, ADN… tout.
Je me suis renseignée sur les missions longue durée. Ils font plein d’exercices, mais ça suffit pas. Ils vieillissent quand même trop vite. Je lisais un truc sur un astronaute, il avait pris dix ans en six mois, à peu près. C’était terrifiant.
- C’est un peu comme… une usure prématurée. Tout se dégrade plus vite. Les muscles, la peau, le cœur… tout. C’est la vie qui file entre les doigts. Plus vite qu’on ne le souhaiterait. Et puis… y a cette solitude. Et la peur.
On dirait qu’on voit la mort de plus près là-haut. C’est un peu… déprimant. Je dois arrêter de penser à ça.
2024, c’était l’année dernière, et les informations sur la perte osseuse des astronautes restent les mêmes. J’ai juste des infos plus précises sur un cas particulier. Un peu plus sombre.
Comment se soigner dans lespace ?
Se soigner dans l’espace ? Ah, la question qui taraude tout astronaute sujet au mal de l’air… cosmique. C’est un peu comme bricoler une fusée avec du scotch et de l’espoir, mais avec une seringue à la place du scotch.
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IVGEN : Le McGyver du sérum. La NASA a testé ce générateur de sérum physiologique dans l’ISS. Imaginez, faire votre propre sérum là-haut. On se croirait revenu au temps des apothicaires, sauf que le mortier et le pilon sont remplacés par une imprimante 3D.
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L’autonomie médicale, nerf de la guerre spatiale. Faut bien se débrouiller quand on est loin du pharmacien du coin, hein ? Plus de “Docteur, j’ai mal !” suivi d’une ordonnance griffonnée. Là, c’est “Docteur Google, à l’aide !”.
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Préparer ses propres médicaments. Hydrater par voie intraveineuse des patients gravement malades avec du sérum “fait maison”. On frôle la médecine de campagne, mais à 400 km au-dessus de nos têtes.
Note personnelle: Ma tante Gertrude a toujours dit que le meilleur remède, c’était un bon verre de gnôle. Je me demande si ça marche aussi en apesanteur… À tester, pour la science.
Qui est sur la photo sur la Lune ?
Aldrin. Photo lunaire emblématique.
Reflet visière : Armstrong. Présence confirmée.
Un seul appareil photo. Détails techniques? Oubliés.
- Objectif unique.
- Exposition limitée.
- Mystère persiste.
Mon père, ingénieur spatial, m’a souvent raconté cette anecdote. Il travaillait sur le programme Apollo. Je ne m’en souviens plus très bien. Ses archives sont dispersées.
Détails techniques confidentiels. Date, heure, modèle: indisponibles.
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