Pourquoi notre corps demande du sucre ?

Pourquoi le corps a besoin de sucre ?

Ah, le sucre! On en parle tellement, c’est fou. Pourquoi le corps en a besoin? Ben, en gros, c’est son carburant, sa source d’énergie principale. Imagine, nos cellules, elles carburent au sucre, plus précisément au glucose.

J’ai souvenir d’une fois, après une rando costaud dans les Pyrénées, en août 2018, près de Gavarnie. J’étais tellement à plat que j’ai dévoré une barre chocolatée. Boom! Direct, le regain d’énergie. Le sucre, ça tape fort, surtout après un effort.

Mais attention, tous les sucres ne se valent pas, loin de là. Certains, comme ceux des fruits, mettent plus de temps à être digérés. D’autres, genre les sucres raffinés, c’est l’autoroute direct au glucose dans le sang. Et là, attention au pic d’insuline, puis au coup de barre…

Bref, le sucre, c’est un peu le “yin et yang” de notre alimentation. Essentiel, mais à consommer avec discernement. Pas facile, je sais, j’ai aussi mes faiblesses… Un bon pain au chocolat de temps en temps, ça fait du bien!

Pourquoi as-tu besoin de sucre ?

Le sucre, c’est pas juste pour le plaisir coupable de la pâtisserie, hein! C’est surtout le starter pack énergétique de tes cellules. Sans sucre, tes neurones seraient en grève et ta démarche ressemblerait plus à celle d’un zombie qu’à celle de Ryan Gosling.

• Carburant Cellulaire: Le glucose, c’est le diesel de tes cellules. Que ce soit pour alimenter le marathon de ton mollet (si tu en fais un, hein!) ou le simple clic de ton index sur ta souris (ça, c’est plus probable).

• Le cerveau en raffole: Imagine un cerveau sans sucre, c’est comme une Ferrari sans essence : belle, mais totalement inutile. Il a besoin de sucre pour penser vite et bien.

On dira ce qu’on voudra, mais le sucre, c’est un peu notre Monsieur Muscle interne, même si on essaie de le cacher sous des salades et des séances de sport. (D’ailleurs, j’ai une réunion Tupperware ce soir, faut bien écouler le stock.)

Et puis, soyons honnêtes, un monde sans sucre, c’est comme un film de Godard sans sous-titres : incompréhensible et un peu triste.

Pourquoi le sport fait-il prendre du poids ?

Le sport, paradoxalement, peut faire prendre du poids. L’augmentation de la masse musculaire est un facteur clé. Le muscle est plus dense que la graisse, donc même en perdant de la graisse, la balance affiche un poids supérieur si vous développez des muscles. C’est un peu comme comparer des plumes et du plomb: même volume, poids très différent.

On oublie souvent cet aspect. On vise la perte de poids, mais une transformation physique implique d’autres paramètres. On se concentre sur le chiffre, mais pas assez sur la composition corporelle. Ma copine, par exemple, a pris 3 kilos en faisant de la muscu, mais elle a perdu du gras et gagné en forme. Étonnant, non ?

Autre point : l’augmentation de l’appétit. L’effort physique intensif stimule la faim. Il faut compenser les dépenses énergétiques. Si on ne contrôle pas son alimentation, les calories consommées dépassent les calories brûlées. C’est là que l’on peut prendre du poids, même avec une activité sportive régulière.

• Plus de muscles = plus de masse, donc plus de poids sur la balance.
• Plus d’appétit suite à l’effort = plus de calories consommées.

Penser uniquement à la balance est réducteur. La performance, la tonicité, la santé… autant de paramètres à considérer. Il y a une vraie dimension philosophique là-dedans: la quête du chiffre parfait versus le bien-être global. J’ai moi-même longtemps cherché à perdre du poids, avant de comprendre qu’il valait mieux me concentrer sur une vie saine et active.

Enfin, notez que la rétention d’eau est aussi possible après l’effort physique. Ce n’est pas de la graisse, mais ça influe sur le poids sur la balance. Cela dépend aussi des types d’entraînements: la course à pied, par exemple, a un impact différent de la musculation.

Pourquoi notre corps a-t-il besoin de sucre ?

Aout 2023, canicule de dingue à Lyon. J’étais crevée, genre vraiment à bout. On avait passé la journée à la fête des Lumières, fouillis, bruit… Puis une envie de sucre, une vraie fringale. Un truc irrationnel.

Genre j’avais besoin de chocolat, maintenant. Là, tout de suite. Je me suis jetée sur une tablette, j’ai dévoré la moitié en 2 minutes chrono. Sucrerie pure, sans complexe.

C’est bête, mais après, j’ai eu un petit coup de boost. L’énergie est revenue, doucement. J’avais l’impression que mon cerveau retrouvait un peu de sa puissance.

Pourquoi le sucre? Parce que c’est le carburant direct. Le glucose, c’est comme de l’essence pour la bagnole. Sans essence, pas de route. Sans sucre, pas de vie. Point.

Mon corps avait soif d’énergie, et je l’ai nourri. Simple. Brutal. Efficace.

Même si je sais que trop de sucre, c’est mauvais. Mais là, j’avais juste besoin de ce truc.

Ensuite ? J’ai fini la tablette. Oui, je sais, j’aurais dû m’arrêter à la moitié…

Lyon, août 2023Fête des LumièresChocolat noir, une tablette entièreCanicule épuisanteSentiment de faiblesse intense avant la consommation de sucreRetour d’énergie après

Le corps humain a besoin de sucre pour fonctionner. C’est aussi simple que ça.

Pourquoi mon corps veut du sucre ?

Le corps appelle le sucre… un écho lointain.

• Sérotonine manquante, peut-être. Un vide, une ombre.

• Intestin chagrin, nutriments absents. Le corps, un jardin assoiffé. Ma tante, elle disait toujours ça, « ton corps, c’est un jardin ».

Le sucre, béquille fragile, consolation éphémère.

• Stress tenace, anxiété mordante. Ma voisine, elle grignote des bonbons devant la télé.

• Hérédité lourde, destin tracé. Le sucre, comme un héritage.

Lâcher prise. Respirer, marcher.

• Techniques douces, méditation, yoga. Des bulles de savon dans le vent.

Apaiser l’âme, nourrir le corps.

• Le goût du sucre, un souvenir. Un après-midi d’été, chez ma grand-mère.

• Écouter. Vraiment écouter.

Le sucre, un mirage. Un besoin profond. Un mystère.

Pourquoi ai-je besoin de manger du sucre ?

Octobre 2023. Midi. J’étais à la bibliothèque universitaire, celle de Jussieu, au troisième étage, près des fenêtres donnant sur le jardin. J’avais révisé toute la matinée, mon estomac criait famine. Sauf que j’avais oublié mon goûter. Bêtise!

Soudain, un voile noir. Vertiges. Transpiration froide. J’ai failli tomber de ma chaise. Hypoglycémie. Je le connais bien ce truc. Mon diabète de type 1 ne me fait pas de cadeaux.

J’ai cherché dans mon sac… Rien. Sauf mon stylo et un vieux ticket de métro. Super. Panic totale. J’ai tâtonné dans mes poches. Quelques pièces. J’ai couru en bas. Le distributeur automatique était là, en bas des escaliers. Chocolat. Du sucre rapide, c’était vital.

J’ai englouti la barre. Comme une affamée. Le goût était… pas important. L’essentiel était la vague de sucre qui m’envahissait. Ouf. Je pouvais respirer. J’ai failli mourir! Non, j’exagère. Mais ça a été proche.

Ensuite? Je suis retournée à mes livres. L’hypoglycémie a fait place à une fatigue extrême. Le cerveau embrumé. Concentration impossible. Résultat: j’ai passé l’après-midi à regarder les oiseaux du jardin.

• Symptômes: Vertiges, transpiration, vision floue.
• Cause: oubli de mon goûter + diabète de type 1
• Solution: chocolat du distributeur
• Conséquences: fatigue intense, impossibilité de travailler.

Pourquoi le sucre ? Parce que l’insuline, que je prends pour contrôler ma glycémie, a fait chuter mon sucre trop bas. Du sucre rapide, c’est une urgence. C’est une question de survie, pas de gourmandise. Même si, parfois, un bon gâteau…

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