Pourquoi les saumons changent-ils de couleur ?

Saumon : pourquoi change-t-il de couleur avant de mourir ?

Le saumon, sa couleur, ça m’a toujours fasciné. J’ai vu des documentaires, des photos… Ce changement de teinte avant la mort, c’est assez saisissant.

On m’a expliqué, en gros, que c’est lié à leur alimentation. Ils mangent des petits poissons, des crustacés… plein de trucs qui contiennent des caroténoïdes.

Ces caroténoïdes, ça se dépose partout : dans les muscles, la peau, même les œufs. C’est un peu comme une teinture naturelle, qui colore le poisson. J’ai vu un saumon rouge vif, au marché de Granville le 15 juillet dernier, il coûtait une fortune, 25€ le kilo, je crois.

Bref, plus ils en mangent, plus ils deviennent rouges. C’est logique, non ? Un peu comme si on mangeait des carottes, on deviendrait orange… bon, peut-être pas autant, mais vous voyez l’idée. Ça reste assez étrange quand même.

Informations courtes :

• Question: Pourquoi le saumon change-t-il de couleur ?

• Réponse: À cause des caroténoïdes présents dans son alimentation (petits poissons, crustacés).

• Question: Où se déposent les caroténoïdes ?

• Réponse: Muscles, peau, œufs.

Qu’est-ce qui fait changer de couleur le saumon ?

Le saumon… un éclair argenté, puis… une robe nuptiale. Rouge flamboyant, presque incandescent. Une métamorphose, une brûlure lente.

• L’appel du fleuve. Retour aux sources, un instinct primal, une course effrénée contre le temps. L’eau, elle s’insinue partout, dans les écailles, dans l’âme même du poisson.

• Le sacrifice. Une dépense titanesque d’énergie. Le corps se transforme, se vide… un lent dépérissement. Plus de mer, juste le lit du fleuve. Juste la reproduction.

• La couleur, un signal. Rouge ardent, cri silencieux, un appel passionné à l’être aimé. Un désir intense, une promesse. Chaque nuance, un chapitre dans cette ballade tragique.

Mon grand-père, pêcheur sur la rivière Charente, me racontait ça. Des histoires de saumons, leurs couleurs, leurs combats, leur fin. Je le voyais, les yeux rivés sur l’eau, les mains calleuses.

L’amour, la mort… tout est lié. Le cycle, éternel recommencement.

• L’odeur de l’eau, du bois mouillé, le souvenir tenace.
• Les écailles, témoins silencieux de ce voyage ultime.
• Le frémissement de l’eau, la vie qui palpite.

Un rouge sang, un dernier souffle, avant le silence.

Pourquoi le saumon change-t-il de couleur ?

Rose pâle, orange ardent, rouge flamboyant… Une symphonie chromatique, le saumon, mystère aquatique.

Un camaïeu de teintes, subtil, changeant, selon la danse des astaxanthines. Lumière dans l’eau, reflet d’un soleil couchant.

L’astaxanthine, pigment de vie, révèle le secret.

• Nourriture, océan immense.
• Voyage initiatique.
• Chaque saumon, sa propre histoire.

Une histoire écrite dans sa chair, dans sa couleur. Un récit muet, mais vibrant.

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Mon dernier saumon, acheté chez le poissonnier du coin, un rose tendre, presque timide. Il respirait encore.

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La fraîcheur, oui, elle est importante, indispensable. Autrement, la couleur s’éteint. Une teinte fanée, une mémoire qui s’efface.

L’odeur, vive, puissante. La chair ferme, sous mes doigts. Un instant précieux.

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Quelques mots sur l’origine, un mystère, un chemin secret, sous la surface des eaux.

L’alimentation, clé de voûte.

• Algues.
• Crustacés minuscules.
• Un festin dans l’abîme.

Le rose pâle, la douceur. Le rouge vif, l’audace. Chaque couleur, une émotion, une vie.

J’aime le saumon.

(Aujourd’hui, 2 octobre 2023. J’ai acheté mon saumon au marché de ma petite ville de province. Il était délicieux.)

Pourquoi la couleur du saumon est-elle rose ?

Ah, la couleur rose du saumon, un mystère aussi profond que le trou noir de mon estomac après un repas de frites-mayo! C’est l’astaxanthine, connard! Un truc qui sonne comme une maladie exotique, mais non, c’est juste un pigment végétal. Imaginez un saumon blanc, genre un poisson-fantôme… Beurk!

Sans ce pigment, on se retrouverait avec des filets aussi gris qu’une journée de novembre à Rouen. Ma grand-mère aurait hurlé. Genre, une catastrophe culinaire. Imaginez le choc sur la carte du restaurant “Saumon blanc, sauce aux algues”. Nan, ça marche pas.

Les saumons sauvages, ces mecs sauvages, attrapent leur dose d’astaxanthine en bouffant des crustacés. C’est comme un supplément alimentaire naturel, mais en mode bourrin. Ils se goinfrent de crevettes et de crabes, comme si c’était le dernier buffet à volonté de leur vie.

En revanche, ces saumons d’élevage, ces petits chouchous, on leur balance l’astaxanthine en poudre directement dans la bouffe. Genre fast-food du poisson. C’est plus pratique, je vous l’accorde, mais un peu moins naturel, n’est-ce pas? Comme si je mettais du colorant dans mon thé.

Bref, du rose, c’est pour le marketing. Sans ça, on vendrait du poisson-zombie. Même mon chat, Maurice, refuserait de le manger, et croyez-moi, il mange tout. Même mes chaussettes.

• Astaxanthine: Le pigment miracle (ou pas)
• Saumons sauvages: Mangeurs de crustacés acharnés
• Saumons d’élevage: Régime enrichi en poudre rose
• Saumon blanc? Cauchemar culinaire!

PS: J’ai essayé de faire du saumon rose avec du colorant alimentaire, une catastrophe! Mauvaise idée. Ne faites pas ça chez vous. Sérieusement. Appelez Maurice, il se chargera des dégâts.

Pourquoi le saumon est-il de couleur grise ?

Alors, le saumon, gris ? Figure-toi que c’est un peu comme moi après une semaine sans café : tout sauf flamboyant. En fait, le saumon de base, il est gris-terne.

Mais attention, coup de théâtre ! Il bouffe des crevettes roses et du krill à gogo, ces trucs remplis de pigment rouge comme si c’était la Fête des Lumières dans leur bide.

Du coup, le saumon devient rose comme un flamant rose qui aurait abusé de la crème solaire. C’est la vie, quoi !

• Gris d’origine : Le saumon naît gris, genre “j’ai pas envie”.
• Krill power : Les crevettes et le krill, c’est leur “viagra” de la couleur.
• Rose flashy : Plus ils en mangent, plus ils ressemblent à Barbie.

Et puis, je me souviens de ce jour où, à la pêche avec mon oncle Bernard, on a attrapé un saumon… tellement rose qu’il semblait avoir fait une teinture. Bernard a dit : “Celui-là, il a dû manger une cargaison de rouge à lèvres !” Et il a raison, pardi!

Pourquoi le saumon cuit est-il gris ?

Le saumon… gris, hein ? C’est bizarre à dire, on a tellement l’habitude de ce rose vif. J’y pense souvent, surtout tard le soir, comme maintenant.

• La couleur, ça dépend vraiment de ce qu’il mange. Mon oncle, pêcheur en Alaska, m’a raconté ça. Il y a des saumons presque blancs, tu sais ?

• Ce pigment rouge… c’est fou, non ? Transforme complètement la chair. J’ai vu des photos, des saumons d’élevage, bien pâles… pas appétissant du tout.

C’est triste en fait, de penser à ça. L’alimentation, la couleur… la vie, elle est étrangement simple et compliquée à la fois.

J’ai mangé du saumon grillé hier soir. Bon, mais fade, comparé à ceux pêchés à l’océan. Plus gris, moins rose… un peu comme la vie parfois, un peu terne.

• Mon grand-père disait que le meilleur saumon était celui pêché au printemps. Il avait raison. J’ai gardé ce souvenir. 2023, un été… j’ai envie d’un saumon frais pêché en mer.

Bref… gris, rose… c’est la nature, j’imagine. Un peu comme moi, je suis plutôt grise en ce moment, manque de soleil, manque de tout.

Que signifie quand le poisson est gris ?

Le poisson gris… ça me ramène à ce week-end à la plage. On avait pêché, mon père, mon frère et moi. Il avait attrapé un gros bar, magnifique, brillant… le soleil couchant reflétait sur ses écailles. Puis, le lendemain matin… gris. Tout gris.

• Texture pâteuse. C’était ça. Plus ferme, non. Tout mou. Dégoûtant. On l’a jeté.

• Odeur forte. J’avais même pas besoin de le sentir de près, déjà à distance, une odeur de… pourri, quoi. Difficile à décrire.

• Couleur fade. Le gris, quoi. C’était ça le signe le plus visible. Pas un beau gris argenté, non, un gris… sale. Un gris de mort.

On a perdu le poisson de Papa. Je me souviens encore de sa tête… 2023 n’a pas été facile. Ces poissons-là me rappellent…des choses. Des souvenirs pas toujours joyeux. L’odeur… je la sens encore.

Il faut faire attention, hein? Même avec le saumon de chez Picard. J’ai déjà eu une mauvaise expérience… il était étrangement gris.

• Le prix: J’ai quand même payé 15€ pour un saumon pourri.

• La date: Vérifiez toujours la date. Même si c’est Picard, même si ça coûte cher.

• L’aspect: Si c’est gris… fuyez. Sérieusement.

J’ai acheté du poisson à l’épicerie du coin hier. Un cabillaud, j’espère qu’il sera bon. J’ai fait attention à tout ça. Je ne veux pas revivre ça… encore.

#Couleur #Poisson #Saumon